C’est avec une grande tristesse ,et un profond regret que nous avons appris le décès de feu HADDOU Mohamed,ancien directeur de la CNAS,et président d’honneur de l’association de la protection des droits des assurés sociaux, le mercredi 23/01/2012 ,à l’age de 79 ans ,suite à une longue ,et éprouvante maladie;
L’enterrement à eut lieu le même jour au cimetière de Sidi Abdelkader/
Domicile mortuaire:Rue Mahtougui Blaha ,Sidi Yacine derrière le commissariat du 4 èm arrondissement.
INNA LILLAH OUA INNA ILAYHI RADJI3OUN
كل تعازينا إلى أسرتكم إن لله و إن إليه راجعون
رَحِمهُ الله
عظم الله اجركم ومثواه الجنه ان شاء الله.
Nous savons qu’un jour l’existence se termine pour chacun d’entre nous.Ces quelques mots, bien que sincères, ne modifieront pas ce triste état de fait.Pourtant je tiens à vous témoigner ma profonde compassion.Je partage votre douleur mais les mots me manquent pour l’exprimer pleinement.Pour vous, j’espère voir cette épreuve s’effacer petit à petit, au fil du temps.
Je m’inspire de ce sujet pour parler de comment sont vécus les moments graves de vie, telles que la maladie et la mort d’un être cher, . Qu’advient-il si un membre de la famille ou un ami tombe malade ou doit subir une chirurgie à des kilomètres de distance de nous? Être loin est toujours vécu, dans ces cas, comme un obstacle. Le fait de ne pas être physiquement présent et de ne pas être en mesure d’évaluer l’état véritable de la personne malade déclenche l’anxiété, qui découle également de la sensation que les autres ne nous disent jamais comment les choses sont vraiment.
Voyons ce qui arrive quand vous habitez loin:
« …Je ne lui avais pas fait mes adieux (dans mon fort intérieur, je veux dire) bien que le sachant malade et que son état se soit détérioré soudainement et plus rapidement que nous l’imaginions….. Je me souviens qu’à un moment j’ai vraiment eu le besoin presque physique d’aller au cimetière pour voir où il reposait parce que je sentais un truc fou, comme de ne pas avoir été en mesure de faire vraiment cette chose réellement mienne…. »
Ne pas à assister à l’enterrement équivaut à stopper la phase de déni. Nous n’acceptons pas l’idée de la mort. Sans accomplir le rite, qui donne un véritable sens et une reconnaissance collective à la mort, nous sommes confrontés à l’absence dure et crue, avec un sens important de consternation. »… Mais le bon coté de ces décès est que, en ne les vivant pas sur place, cela nous pousse à penser à la personne disparue, comme si elle était encore en vie, comme si elle continuait à vivre là-bas, dans mon pays, comme chaque jour . Justement parce que je ne peux pas remarquer le manque de cette personne, je n’arrive pas à me sentir complètement détachée. Et peut-être, d’un certain point de vue, cela même bien
Mon papa est decedé ..Ça a été trop vite ! C’est tellement injuste que lui sois parti…il ya de la 13ans Mais il restera toujours en moi cette carence… Celle de ne pas l’avoir vu une derniere Fois… Quitte a être hanté par cette image de lui… J’aurais tant aimé le toucher et l’embrasser…Je me sens très mal à l’aise de ne pas pouvoir pleurer mon papa, j’ai l’impression d’être indigne de tout l’amour qu’il m’a donné en ne pouvant exprimer mon chagrin…
J’avais besoin de le voir pour me dire une bonne fois pour toute qu’il nous a quitté…
Mon Deuil est en sursis…0_0. للهم اجعل قبره روضة من رياض الجنة ولا تجعله حفرة من حفر
النار
اللهم إن كان محسنه فزد في إحسانه، وإن كان مسيئه فتجاوز عنه سيئاته