L’affaire des palmiers plantés par l’APC sur la place publique du 1er novembre vient de faire l’objet d’une enquête initiée récemment par les services de sécurité a-t-on appris de sources proches du dossier. Cette affaire qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive a été sérieusement mise sous la loupe des enquêteurs appelés à trouver des réponses à bien des questions restées mystérieuses. De prime abord, l’on annonce que les enquêteurs sont intéressés par la disparition des palmiers en moins d’une semaine après leurs plantation et la destination qu’ils ont pris après l’échec dans la plantation. Ont- ils été récupérés par le fournisseur ? That is question. Secundo, la surfacturation présumée des palmiers, puisque des élus ont dénoncé des prix exagérés (80 000 Da l’unité à partir de Blida contre moins de 10 000 Da à partir de sidi Brahim ). Tertio, toute la lumière sera portée sur l’histoire du procès verbal d’achat de la commission de l’environnement « falsifié » selon le président de la dite commission qui précise qu’un PV de démenti à été signé . Enfin, d’autres questions qui taraudent les esprits des élus ayant été à l’origine de l’éclatement de ce scandale seront certainement passées au peigne fin à l’exemple de la mystérieuse consultation d’achat des fameux palmiers qui bizarrement n’a vu se présenter que trois soumissionnaires de la région de Blida. La remise à l’ordre de cet imbroglio autour d’une scabreuse affaire de l’APC de sidi bel abbés qui baigne dans une gestion opaque en est l’objectif principal des enquêteurs indique des sources d’information .