Continuant son cycle de conférences devenu une tradition ramadanesque, c’est à M. MEKAHLI que revint l’honneur de clôturer par une intervention sur le sujet controverse des « Droits de l’homme dans un environnement sain »
C’est M. YOUSFAT qui présida la conférence et en cette qualité, il présenta brièvement le conférencier du jour, avant de lui céder la parole.
M. MEKAHLI dans une intervention quoique brève pour un sujet aussi important et vaste, réussit à cerner le concept partant du développement de la genèse historique sur le principe des droits de l’Homme qui évoluèrent jusqu’à ceux de seconde et troisième génération. En universitaire, il focalisa sur l’analyse purement intellectuelle du sujet, ce qui conféra un cachet de sérieux qui aurait du susciter un débat à hauteur de l’intervention.
Mais c’était sans compter sur la sensibilité du sujet et de l’auditoire -quoique parsemé – représentant en majorité une « population relativement vieille » ce qui orienta automatiquement le débat sur le volet politique, conjoncture internationale oblige.
On eut droit donc à « la faiblesse des gouvernants », à la «dictature imposée par les différents dirigeants arabes », au « complot des USA et de la CIA » pour conclure que finalement ce concept des droits de l’homme, n’est en fait qu’un outil mis en place pour asservir les peuples et spolier leurs richesses. Quelques tentatives de réorienter le débat sur le sujet furent vaines tant l’intransigeance des intervenants sur le volet politique restrictif fut dominatrice à laquelle, il faut ajouter le zèle du président de la conférence qui, à aucun moment n’a essayé d’orienter les débats et surtout faire adhérer le reste de l’auditoire.
Au-delà du sujet et de son importance, il faut relever l’absence de communication de la part de la Fondation qui aurait pu faire adhérer un plus grand nombre de personnes, les jeunes surtout, pour au moins avoir le droit de réponse sur les critiques qui leur ont été assénées par leurs ainés et formuler leur avis sur le sujet.
Car, même avec une assistance aussi réduite, le débat aurait pu être plus prolixe, si le Président de la conférence a fait preuve de plus de sérénité et de sérieux en jouant son rôle d’animateur au lieu de réduire tout le débat à un «conclave amical» réduisant la majorité des présents à des spectateurs au lieu d’acteurs. N’est-ce pas, M. YOUSFAT ?
Il ne faut cependant pas faire la fine bouche et saluer la Fondation pour l’initiative qui mérite d’être renouvelée autant que possible et féliciter le Docteur MEKAHLI Mohamed, professeur à l’université Djillali Liabes de Sidi Bel-Abbes qui n’est pas à sa première conférence et ses écrits, pour sa remarquable intervention.
Pour une reconnaissance historique pour Mr Abderrahmane Yousfate étant une fois comme recteur, avait initié une chose »Faire un restaurant pour les enseignants » » cette décision a levé un tollé générale..C’était un séisme. et pourtant un simple restaurant pour les enseignant ça se voit un peu partout dans le monde…La question pourquoi ce lever de bouclier c’est tout simplement parceque l’université jusqu’a maintenant n’a pas pus sortir de l’esprit de les grandes ecole et des instituts..a bel abbes il n ya pas une université dans le sens universel du terme…si tu donne l’université a un ingenieur la faculté prendra l’allure d’une école, si tu la donnes un universitaire jeune née apres 1968 ça prendra l’allure d’un lycée, si tu la donne a un medecin ça prendra l’allure d’un institut,et si tu la donne a un vieux phamrmaciens ça prendra l’allure d’un Polytechnique, je pense que la wilaya de sidi bel abbes doit ramner un vieux pharmacien qui a touché la science et le commerce et le mettre a la tete de l’université ..en reconnaissance de cause c’est le seul recteur qui avait fait des etudes dans une université et qui avait tenté de creer une Université…
…voila donc pour les jeunes enseignants qui ne connaissent pas le passé de leurs paires…
pour le droit de l’homme et l’environnement ce sont des concepts vides qui n’ont aucun sens si le débat ne fait entrer deux choses fondamentale ‘’la boussole ‘’et ‘’le maitre ruban’’ …Mr Yousfate étant je crois mathématiciens j’aimerais bien qu’il essaye d’introduire les mathématique appliquées dans l’environnement et le droit de l’homme…si on introduit ces calculs, on va traité le sujet de recherche celui du ‘’droit productif’’ et de’’ l’environnement productif’’…Faut il appliqué un droit ou posséder un droit ?? faut il protéger un environnement ou posséder un environnement ?
Je ne me souviens pas qu’il y ait eu un restaurant dans le programme que j’avais initié avec mon équipe en 1994, mais je me souviens du tollé général quand j’ai ouvert la gestion des cafeterias de l’Université au privé.
Bien sûr, comme vous le dites, les expressions « droits de l’homme » ou « environnement » ne sont que des mots creux s’ils ne sont pas accompagnés de la «boussole» et du «mètre ruban». Ils n’auraient aucun sens s’il n’y avait pas un travail de fond qui mettrait du discernement dans les concepts qu’ils supportent. L’évolution du concept ne peut se faire alors qu’en interaction avec la réalité du « terrain » et une éducation omniprésente; la société civile devant y jouer un rôle salvateur.
Pour ce qui est des mathématiques appliquées dans l’environnement, reprenez les résultats du PRIE (Programme de Recherche Intégré en Ecodéveloppement initié à Sidi Bel Abbès en 1994 incluant quatorze laboratoires de recherche à l’époque et qui avait organisé son premier congrès national à Sidi Bel Abbès en 1995) et vous allez vous en rendre compte que la contribution des mathématiques appliquées n’étaient pas des moindres. L’objectif était de construire des modèles puissants pour étudier l’écosystème du bassin versant de Oued Mekerra (de Ras-El-Ma à Arzew) sur plusieurs niveaux : Topographique, hydrique, atmosphérique, géologique, botanique, zoologique, économique, santé, … On devait développer des outils permettant d’identifier les unités fonctionnelles de l’écosystème permettant au spécialiste et au décideur de tenir un discours commun permettant d’évaluer avec les mêmes principes les conséquences de toute action amenant une modification sur l’écosystème du bassin versant de Oued Mekerra.
En ce qui concerne les modèles qui décrivent les interactions humaines ou de « groupes humains », en mathématiques, on utilise des modèles de la théorie des jeux qui donnent des résultats très intéressants quant à l’interprétation des comportements individuels ou sociaux. Le droit devient alors synonyme d’arbitrage (avec effectivité) pour trancher en cas de litige et pour maintenir un certain ordre au sein de l’Etat. Ainsi le droit devient un processus dynamique qui évolue avec les pouvoirs en place (les trois pouvoirs devraient être une émanation de la majorité du peuple dans une démocratie). Toutefois, même en démocratie, la majorité va agir comme une dictature, d’où la nécessité de préserver certains droits (les droits naturels incluant les droits de l’homme) quels que soient les objectifs fixés par l’Etat.
L’approche naturelle du droit et l’approche positiviste ne font pas « bon ménage » en général, cependant dans les sociétés évoluées, l’approche naturelle (incluant les droits de l’homme) façonne le droit positif de manière substantielle et continue.
Pour entamer un processus de développement «sain», possède-t-on des données fiables sur notre société pour pouvoir construire des modèles relativement fidèles à la réalité nationale ?
Même si l’on répond positivement à la question précédente, je doute fort de nos capacités pour les exploiter de manière satisfaisante.
Pour se créer le bon environnement et redresser la barre en matière de droits (et d’obligations), on voit bien que la tâche n’est pas facile. Les concepts sont plutôt philosophiques, l’analyse est multidisciplinaire et le « terrain » est des plus ardus.
Pour entamer un processus de développement «sain», il faut commencer par encourager toutes les bonnes initiatives qui poussent la société dans le « bon » sens (pour peu que l’on ait une bonne boussole) et mener une lutte acharnée contre l’égocentrisme, le népotisme, l’obscurantisme, la déculturation et tout ce qui va à l’encontre de l’intérêt du peuple.
Pour ce faire, il y a un travail colossal à mener envers les jeunes pour les impliquer, car l’aboutissement n’est pas pour demain. Nous devons avoir également comme leitmotiv pour le restant de notre vie « il ne faut pas baisser les bras » devant la médiocrité quelle que soit sa source.
M. Yousfat, bonjour.
Je vous respecte, et j’ai de l’estime et de la reconnaissance pour le rôle que vous jouez dans la développement de l’Université.C’est pour cela entre autres, que mon éducation ne me permet pas de vous dénigrer. Toutefois, votre semblant de mise au point m’a surpris au plus haut point:
– D’abord, vous parlez de « dénigrement » alors qu’il ne s’agit que d’un simple constat que vous reconnaissez d’ailleurs. Je n’ai jamais dénigré le PR Yousfat, mais relevé qu’il a succombé aux « caresses dans le sens du poil », ne permettant pas le développement d’un débat à hauteur de la communication
-Monsieur YOUSFAT culpabilisé tente d’expliquer son comportement par une agressivité inexpliquée de l’auteur de l’article, reconnaît à plusieurs reprises que l’auteur avait raison et qu’il s’en excusait.
Mon respect aurait décuplé pour M. YOUSFAT s’il s’en est arrêté là, mais hélas,dans son « ésotérique conférence en ligne » il remet en valeur l’intervention de M. MEKAHLI, chose que nous n’avons jamais renié; bien au contraire, développe une nouvelle fois, le concept des droits de l’homme en y incluant des références bibliographiques, et enfin essaye de justifier l’absence d’engouement pour la conférence, alors que ce point de constat s’adressait à la Fondation et non au Président de séance. A moins que M. YOUSFAT ne se sente obligé vis-à-vis de ses membres tant dans les prises de position que dans l’orientation des débats, cela se comprendrait.
Quant aux « jeunes, il y a un groupe qui travaille…. » ce leitmotiv lancé à chaque fois pour justifier des insuffisances aura été le hara kiri de notre développement. L’ensemble des personnes, (une vingtaine!) aura remarqué que depuis le lancement de ce cycle de conférences par la Fondation, rien n’a été fait pour communiquer et la Fondation n’est pas seule responsable! Nous le sommes tous. Le mérite de la Fondation existe déjà dans l’initiative. Mais il appartient à nous tous et en particulier à l’Université de sensibiliser les jeunes et les faire adhérer aux projets que nous menons. Il est facile de les accuser à tout bout de champs de « moins patriotiques » que nous autres vieux; mais que leur a-t-on donné pour qu’il le soit plus, encore faut-il le prouver!
Le plus grave, et le plus décevant, c’est que vous usez d’un paternalisme primaire et ironique au lieu de vous contenter du mea culpa qui aurait été largement à la hauteur du respect que je vous voue en me suggérant des conseils à vous donner.Dommage! Mais je vais me permettre au moins un: « Les conseils on les donne à ceux qui ne savent pas! Pas à ceux qui savent mieux que tous, mais qui font délibérément des actes contraires. Les effets sont là plus gravissimes! »
Saha ftourek Oustadh, et sachez que mon respect vis-à-vis tant du Professeur que de l’Homme n’a pas diminué d’un iota!
Merci de l’éclairsissement Monsieur Djillali; ça me rassure. Je porte à votre connaissance que je n’ai jamais fait dans l’ésotérisme et vous connaissez bien ma spécialité. Je préfère en rester là.
Tous mes respects et je m’excuse encore une fois si je vous ai froissé.
Saha f’tourkoum et Aïdek mobarek.
Pr Abderrahmane Yousfate
Tout d’abord saha syamkoum et aidkoum moubarak saïd.
C’est vrai que le sujet mérite plus de temps et plus de débat. Il peut être développé aussi bien sur le plan philosophique que sur le plan de la position des droits de l’homme (qui font partie du droit naturel selon certains philosophes) par rapport au droit positif et son interaction avec ce dernier. Mettre du clair dans des sujets pareils relève plutôt du travail académique que le Pr Mohamed Mekahli a essayé d’éviter pour ne pas faire de sa conférence un cours magistral qui n’aurait suscité de l’intérêt que pour les juristes présents. Il a préféré réduire le temps qui lui était alloué pour permettre une rallonge au temps réservé au débat.
Le mérite du Pr Mekahli est d’avoir préparé la conférence en mettant suffisamment de souplesse pour obtenir une réaction naturelle de l’assistance et, je crois sincèrement, qu’il a obtenu le résultat escompté. En fin de compte, moi, mon rôle était de diriger le débat dans la convivialité dans la mesure du possible. Peut être que j’aurais froissé une personne (voire plusieurs) si la parole ne leur était pas donnée dans l’ordre chronologique de la parole demandée. Que l’on m’en excuse, d’autant plus que je n’avais aucun moyen technique qui m’aurait permis de couper le son quand une personne prenait la parole sans l’accord du Président. Il est à noter qu’il n’y a eu ni refus ni censure envers qui que ce soit et tous ceux qui ont demandé la parole l’ont obtenue (sauf rétractation). De toutes les manières, je remercie Monsieur Djillali pour ses remarques et je lui demande des excuses s’il a senti qu’il a été marginalisé ou s’il avait l’intention de développer un axe du débat (ce n’était pas les axes qui manquaient) et qu’il s’était autocensuré ou qu’il s’est senti qu’il était là juste comme spectateur. Je le remercie également pour ses remarques qui vont me permettre d’être plus incisif avec le «conclave amical» dans l’avenir. En passant, je porte à la connaissance de Monsieur Djillali que son sentiment n’est pas partagé avec la majorité des présents qui m’ont fait part de leurs réflexions quant au déroulement de la conférence en fin de séance.
Pour ce qui est de la phrase « il faut ajouter le zèle du président de la conférence qui, à aucun moment n’a essayé d’orienter les débats et surtout faire adhérer le reste de l’auditoire », je crois quand on est zélé, on a plutôt tendance à donner une orientation aux débats, alors je ne comprends vraiment pas le sens de la phrase sauf si c’est pour me piquer, alors je dirais que c’est réussi. Pour ce qui est de mon manque de sérénité, mon manque de sérieux et tout le reste, je préfère ne pas répondre à la provocation; c’est la première fois dans ma vie qu’on me traite de la sorte. Parler de moi, alors que le sujet traité est beaucoup plus important, dénote une certaine focalisation d’une agressivité naïve de la part de Monsieur Djillali. Si le but inavoué est de me faire parler (et c’est de bonne guerre de la part du journal), je crois qu’il faut respecter les gens (surtout quand ces gens ne prennent pas de vacances juste pour pérenniser certaines bonnes traditions de la Fondation.) Evitons le dénigrement, ça n’amène rien de positif. Si par contre, Monsieur Djillali daigne me donner des ficelles pour apprendre à diriger des débats de conférence, je lui serai toute ouïe et je lui en saurai gré s’il arrive à me convaincre.
A la place de Monsieur Djillali, j’aurais axé mon information plutôt sur ce qui a été dit dans les débats, cela aurait été plus enrichissant.
En ce qui concerne les jeunes, je porte à la connaissance de Monsieur Djillali que depuis le mois de mars un groupe de jeunes est en train d’activer au sein de la Fondation, ils sont tenus au courant hebdomadairement (des fois plusieurs fois par semaine) des activités de la Fondation au même titre que les « vieux ». Ils ont déjà fait part de leur excuses quant à leurs présences aux réunions et conférences tardives.
En revenant au sujet, je crois que les débats ont fait resurgir que les droits de l’homme (faisant partie du droit naturel selon certains philosophes comme Norberto Bobbio) dans sa première phase (génération) étaient liés à l’individu pour le préserver du « poids » du droit positif. En passant à la deuxième phase, les aspects économiques ont pris leur importance d’où l’intérêt de mettre en exergue des droits sociaux qui, des fois, sont partiellement en opposition au droit naturel de l’individu. La troisième phase, formulée en 1979 par l’expression « droits de l’homme de troisième génération », a été à l’origine de l’émergence de nouveaux droits ayant des règles distinctes de celles qui gouvernent les relations entre Etats (comme des droits « de solidarité autour de valeurs morales communes», « le droit du développement », « le droit à la paix », le « droit à l’environnement », les « droits bioéthiques », …) Dans la troisième phase, l’environnement a pris une grande importance et s’est imposé comme un « must » dans les droits de l’homme (certains vont jusqu’à considérer que la quatrième génération doit regrouper tous les droits de l’homme sous l’axe des droits à un environnement sain incluant le cyber-espace). C’est exactement dans ce contexte bien circonscrit (un axe important des droits de l’homme de la troisième génération) que Pr Mekahli a fait son intervention, mais a laissé la possibilité au public d’intervenir pour « brasser large ».
Rappelons que la division des droits de l’homme en trois générations a été initialement proposée en 1979 par le juriste franco-tchèque Karel Vasak à l’Institut international des Droits de l’Homme à Strasbourg.
Notre pays a signé plusieurs les conventions liées aux droits de l’homme, toutefois la notion de droit, dans notre pays, tout en s’inspirant du droit positif s’inspire également des principes de l’Islam qui est la religion d’Etat dans notre constitution. Des intervenants se sont posés la question : « est-ce qu’il y a une compatibilité entre le droit positif et un droit basé sur la charia » laquelle charia se considère comme étant un droit naturel (car divin) en opposition au droit positif. Au niveau de l’occident, cette approche du droit est considérée comme contradictoire. A notre sens, on considère qu’il y a compatibilité, mais qu’il faut acquérir un niveau de connaissances assez élevé et assez partagé dans le pays pour faire émerger une nouvelle classification des droits de l’homme préservant la souveraineté du pays et les droits naturels du citoyen dans un équilibre acceptable.
Sommes-nous capable de préparer une génération qui pourrait faire suffisamment de discernement pour infléchir les concepts de droits de l’homme vers une perception qui ménagerait nos valeurs ? Sommes-nous capables d’élever le débat des nations sur le concept des droits de l’homme (qui est un concept noble) pour que l’hégémonie occidentale n’en fasse pas uniquement un outil pour asservir les peuples sous-développés et spolier leurs richesses ?
A la fin il n’y a pas eu de conclusion de la conférence, mais il y a eu plusieurs avis que l’on doit respecter tous. Les soucis des intervenants sont tous légitimes : chacun l’a exprimé par rapport à son vécu.
Arriver à une conclusion fédératrice dans un débat sur un thème aussi épineux relèverait de la fiction ou de la prétention.
Cordialement.
Pr Abderrahmane Yousfate
PS : Voici quelques références rendant effectifs certains aspects des droits de l’homme dans notre pays (pour peu que l’on ait une société consciente de ses droits et de ses devoirs) :
Décret n° 87-37 du 03 Février 1987, JO N° 6 du 04 Février 1987, portant ratification de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, adoptée à Naïrobi en 1981.
Loi n° 89-08 du 25 Avril 1989, JO N° 17 du 26 Avril 1989, portant approbation du pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, du pacte international relatif aux droits civils et politiques et du protocole facultatif se rapportant au pacte international relatif aux droits civils et politiques, adoptés par l’Assemblée générale des Nations-Unies le 16 décembre 1966.
Loi n° 89-10 du 25 Avril 1989, JO N° 17 du 26 Avril 1989, portant approbation de la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, adoptée par l’Assemblée générale des Nations-Unies le 10 décembre 1984.
Décret Présidentiel n° 89-67 du 16 Mai 1989, JO N° 20 du 17 Mai 1989, portant adhésion au pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, au pacte international relatif aux droits civils et politiques et au protocole facultatif se rapportant au pacte international relatif aux droits civils et politiques adoptés par l’Assemblée générale des Nations Unies le 16 décembre 1966.
Arrêté du 11 Avril 1987, JO N° 38 du 06 Septembre 1989, portant agrément de l’association dénommée « Ligue algérienne des droits de l’homme ».
Arrêté du 19 Juillet 1989, JO N° 39 du 13 Septembre 1989, portant agrément de l’association dénommée : « Association pour l’égalité devant la loi entre les femmes et les hommes ».
Arrêté du 26 Juin 1989, JO N° 44 du 18 Octobre 1989,
Portant agrément de l’association dénommée « Association algérienne pour la défense des droits de l’homme ».
Décret Présidentiel n° 01-71 du 25 Mars 2001, JO N° 18 du 28 Mars 2001, portant création de la commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme.
Décret Présidentiel n° 03-90 du 03 Mars 2003, JO N° 15 du 05 Mars 2003, portant ratification du protocole relatif à la Charte africaine des droits de l’Homme et des peuples portant création d’une Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples adopté à Ouagadougou (Burkina Faso) en juin 1998.
Décret Présidentiel n° 06-62 du 11 Février 2006, JO N° 8 du 15 Février 2006, portant ratification de la Charte arabe des droits de l’Homme, adoptée à Tunis en mai 2004.