Un génial metteur en scène de la Shoah nous a quitté

La Hongrie, l’Europe et tout l’Occident civilisé sont inconsolables.

L’univers pleure la disparition d’un inégalable Nobel de Littérature. Le génie méconnu Imre Kertész n’est plus.
Pour les décennies à venir, les prochains Nobel sont réservés.

Prioritairement à : Mme et M. Badinter, S. Veil, Finkielkraut, …

A titre posthume un Nobel est dédié tout spécialement à Glucksmann

Après H. Kissinger, Beguin, S. Pérès…, il va de soi que des futurs Nobel de la Paix sont destinés à B. Netanyahu, aux Klarsfeld père, mère et fils ou à l’agent spécial, BHL.

Pour le pseudo Nobel d’économie, la Banque Centrale de Suède hésite entre J. Attali et A. Minc (et beaucoup d’autres du même sérail).

Tout cela prouve à toute l’humanité que le genre humain est divisé en deux : les génies qui descendent très naturellement et très divinement de la cuisse de Jupiter, d’un côté, et le reste de la plèbe, « toutes couleurs et toutes odeurs confondues »…, de l’autre (sacré Chirac !)

C’est pourquoi très logiquement la majorité des Nobel leur est accordée.

Chacun est bien évidemment libre d’incliner au mythe: de croire qu’il s’agit là de l’expression d’une inqualifiable méchanceté, sous-tendue par une jalousie reflétant une ignorance crasse de peuples incapables, culturellement inaptes à la créativité et à l’innovation, voire au simple labeur honnête, jaloux de la cohésion et des performances d’un peuple “élu” qui a beaucoup souffert dans l’histoire de l’agressivité d’une multitude indolente, stérile et envieuse.

Djeha,
J. 31 mars 2016

Mort d’Imre Kertesz, écrivain de la Shoah contre “l’arbitraire barbare”
AFP le J. 31/03/2016 à 09:51, mis à jour à 12:51
L’écrivain hongrois et prix Nobel de littérature Imre Kertesz, décédé jeudi à l’âge de 86 ans, laisse une oeuvre nourrie de son expérience des camps de concentration nazis qui est aussi “un appel contre toutes les dictatures”.

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