M. MEKIDECHE nous a fait parvenir une contribution à propos de l’article « la force du droit, un magistrat de
qualité, Une décision de justice de qualité » du D. REFFAS. Nous la publions intégralement
Cher Monsieur
Je tiens à préciser d’emblée que je partage avec vous le même sentiment critique à l’égard de l’institution judiciaire. Qui peut ne pas être d’accord avec vous sur cette question ? Néanmoins permettez-moi de vous dire que je n’enfourcherais pas le même cheval fougueux que vous pour combattre les moulins à vent et n’utiliserai pas la même véhémence. Si en littérature les mots ont un sens, en droit ils ont en sus, des effets et des conséquences. Ils n’admettent ni synonymes ni para-synonymes. Ils peuvent, dés leur prononcé, être constitutifs de délits et répréhensibles en soi. C’est pourquoi le premier reproche que je me permets de vous faire et d’ordre formel : la non maitrise des mots techniques que vous utilisez à mauvais escient. Mon deuxième reproche est relatif au fond de votre pensée. D’abord parce que vous semblez adhérer aveuglement à la déclaration du ministre de la justice garde des sceaux sur la formation des juges qui, me semble t-il, s’est dédouané aisément de la responsabilité de l’état dans lequel se trouve l’institution pour des raisons qui ne sont pas inhérentes aux juges. Chose que j’expliquerai plus tard. Ensuite parce que vous avez saisi l’opportunité de cette déclaration ministérielle pour faucher, d’un seul coup, deux corps qui ne sont pas tous pourris ; le corps des enseignants universitaires, auquel j’appartiens, et le corps des magistrats que je côtoies tous les jours, étant avocat, et que je connais donc mieux que vous, pardon de le préciser. Que les deuxièmes me permettent de me charger d’office de leur défense étant donné qu’ils ne le feront pas d’eux même puisque soumis à l’obligation de réserve. Quant aux professeurs « encadreurs de vos enfants » qu’ils le fassent par eux même ou qu’ils se taisent à jamais.
D’abord les mots
Imaginez que moi, enseignant de droit, formé uniquement en cette matière (ou un juge), je m’aventure à critiquer ou à disserter sur la chirurgie dentaire ou sur la mécanique cantique, sur la fission de l’atome ou sur le mur de planck. Aurai-je la maitrise nécessaire de la technicité des mots propres à chacune de ces disciplines ? Mes propos seraient-ils crédibles ? Aurai-je le droit de m’offusquer si on m’accuse de charlatanisme ?
On attribue à Einstein les paroles suivantes « La connaissance s’acquière par l’expérience, le reste c’est de l’information». Il voulait dire, je crois, que seule l’expérience d’une science, d’un métier ou d’un art ouvre le droit de dire. Quant à l’information, surtout quand elle est légère, elle n’est pas habilitante. Elle n’ouvre que le droit à écouter l’expérience parler, dans l’espoir de comprendre ce que celle-ci dit.
…quant à moi (et je crois tout juge) je reconnais que je n’ai aucune expérience de la chirurgie dentaire et que le peu d’information que j’ai de la rage dentaire ne me permet pas de juger le métier de dentiste ni l’enseignement de sa science.
Que voulez vous dire docteur Reffas quand vous écrivez « …un éclaircissement de droit qui ouvre le chemin pour un commentaire de droit aboutissant obligatoirement à une décision de droit donc de qualité ». Ou « la qualité des décisions de justice permet de faciliter l’accès au juge » ou encore « La justice c’est le droit… ». Ou encore que « Le magistrat est le symbole de l’autorité de l’état de droit et doit être aussi le porte parole de la société dont il est issu ». Ou encore que « La qualité de la décision de justice est une finalité ». Ou encore « …comprendre notamment la norme de droit créée d’une part par la jurisprudence et d’autre part par le temps nécessaire à apprécier les éléments du dossier constitutifs de la notion de la preuve ou du motif ».
Véritable capharnaüm. Véritable cacophonie. Phrases sans sens. Je ne réponds pas à tout, l’espace ne le permet point.Aucun connaisseur en la matière ne verrait, comme vous l’affirmez, de relation entre la qualité de la décision de justice et l’accès à la justice. Voulez vous dire, à contrario, que si la décision de justice est de qualité médiocre l’accès à la justice est interdit ? C’est absurde. Personne n’este en justice par plaisir ou gaité de cœur, qu’il soit demandeur ou défendeur, victime ou coupable. On y va contraint, sans faire de chichi en exigeant comme préalable une bonne qualité de la décision de justice. L’accès à la justice n’a rien à voir avec la qualité de la décision de justice. C’est une garantie constitutionnelle, assuré par les principes directeurs du procès (art 1 à 12 du code de procédure civile et administrative).
Affirmer que « le magistrat –tel que vous l’entendez de manière incorrecte- est le symbole de l’autorité de l’état et doit être le porte parole de la société » est juridiquement dénué de sens et va à l’encontre de la sacro-sainte séparation des pouvoirs. Vous faite du juge, sans le savoir, l’égale d’un député, d’un syndicaliste, d’un intellectuel (au sens que donne J P Sartre au mot intellectuel) et même un imam, puisque vous lui assignez le devoir de porter la parole de la société. Porter la parole de la société, ou une partie de celle ci, est, cher monsieur, un acte politique, interdit au juge au regard de son devoir d’impartialité. Au magistrat l’acte de magistrature, au souverain l’acte de souveraineté et au politique l’acte politique. Tel est du moins l’enseignement de Montesquieu sur la séparation des pouvoirs que vous ne prétendez pas bouleverser j’espere.
La troisième manifestation de l’imprécision linguistique que je vous reproche est votre affirmation ex cathedra que « le juge est créateur de la norme de droit ». Par cette affirmation, et par enchantement, vous le profane, vous venez de clore un débat deux fois séculaire que doctrine et jurisprudence dans tous les pays de culture juridique latine n’ont pas pu clore, de PORTALIS, l’ancêtre père du code civil français, à GUY CANIVET, seulement hier président de la cour de cassation française, à MOTULSKY et MOLFESSY, deux autorités qui, quand elles parlent, on répond en chœur : La messe est dite.
Bravo l’artiste.
Je vous renvoie, pour être bref, aux dispositions de l’article 116 du code pénal qui qualifient de forfaiture et puni de 5 à 10 ans le magistrat qui s’immisce dans l’exercice de la fonction législative. Toute une histoire derrière ce texte. Toute une idéologie. Comprenez donc la démesure de vos affirmations. Sans l’épuiser, j’arrête là la critique du formel de peur d’ennuyer le lecteur outre mesure. Je ne m’y suis attardé que pour démontrer que si la forme vous échappe vous ne pouvez avoir aucune prise sur le fond. Et pour cause :
Ensuite les maux
Que le système judiciaire connaisse des dysfonctionnements cela est patent.
Que le juge soit le Pape infaillible, aux voies impénétrables, cela personne ne le prétend, et personne ne le souhaite.
En revanche bâtir le système judiciaire sur la présomption de faillibilité du juge, comme vous semblez le suggérer, populariser la critique du juge, du jugement et de la justice, comme vous semblez le souhaitez est d’une dangerosité telle que les anarchistes les plus dures ne l’ont jamais souhaité. Rappelez vous les dégâts qu’a engendré la démocratisation tout azimute des années 90. Quel pays au monde, y compris les grandes démocraties, accepterait de soumettre le juge au jugement de ceux la même qu’il a jugé ? Qui dans ce cas est le véritable juge ? Que resterait-il du respect du à la justice?
Votre référence aux articles 147 du code pénal algérien et 434 du code pénal français est juste mais ne vous arrêtez pas au sens littérale des textes. Cherchez, comme dirait Montesquieu l’esprit de ces textes et demandez vous pourquoi des peines si lourdes pour le discrédit jeté sur les décisions de justice. La pénalisation du discrédit de la justice est à mon avis le corolaire nécessaire de la vérité juridique que tous les systèmes de droit accordent aux jugements. Il y va de l’autorité de la chose jugée ; Tant qu’un jugement n’est pas réformé par voie d’appel ou cassé par la cour suprême, il constitue une vérité juridique et est susceptible d’être exécuté par la force publique même s’il n’est pas juste et même s’il n’est pas conforme à la loi. C’est le prix nécessaire à payer pour que la justice ai un sens.
Ceci dit, chez nous comme chez les autres, dans les amphithéâtres et dans les salles de TD, dans les cours d’appel et la cour suprême nous ne faisons que critiquer et discuter les jugements et les arrêts, mais sous l’habillage scientifique et professionnel que permet explicitement le texte du code français et implicitement le texte algérien et sous les appellations savantes de commentaires d’arrêts et moyens d’appel ou de cassation. Et je peux vous témoigner, en tant que universitaire et avocat, que durant un quart de siècle d’exercice jamais je n’ai vu un enseignant ou un avocat inquiété pour avoir discuter un jugement.
Vous avez pris pour vérité biblique la déclaration du ministre de la justice mettant en cause la formation des juges et vous en avez fait un syllogisme pour déclarer, en gras, votre sentence sans appel et sans circonstances atténuantes : L’un juge, l’autre enseigne et le peuple subit. Vous parliez du juge et de l’universitaire.
Ahurissant.
Escaladons les hauteurs, si vous le voulez bien, pour ne pas nous contenter de voir seulement le bout de nos nez et pour voir au-delà de ce que cache l’arbre (la déclaration ministérielle) ; je veux dire les contraintes abyssales que subissent les juges au quotidien et qui constitueront, tant qu’elles persistent, l’obstacle majeur à la justice de qualité que nous appelons tous de nos vœux (la foret amazonienne).
D’abord quelques chiffres(les plus frappants) puisés des statistiques officielles du ministère de la justice :
En 2000 les affaires inscrites au rôle de la cour suprême étaient 57054. Les affaires jugées 20494 et 36560 restées en stock. En 2012 les affaires en stock étaient au nombre de 276317 dont 55310 jugées et 221OO7 restées en stock pour l’année 2013 qui a enregistré 70000 nouvelles affaires selon Mr DIB ABDESSALEM président de la chambre commerciale et maritime. 118 magistrats étaient en charge de ces dossiers en 2000, avec une moyenne mensuelle de 15 dossiers par juge. En 2012 ils sont de l’ordre de 149 hauts magistrats avec une moyenne mensuelle de traitement de 34 dossiers par magistrat.
Constatez donc l’augmentation vertigineuse du nombre des dossiers en souffrance depuis l’année 2000 à l’année 2012. De 36560 à 221007. Une multiplication par 6 en 12 ans.
Conclusion dramatique :
Sclérose à la cour suprême .Problème systémique insoluble. Comparez ces chiffres avec ceux de la cour de cassation de France, pays dont la population est de 65 ,7 million d’habitant (soit presque le double de la population algérienne) : Pour l’année 2004, 29908 dossiers en stock. Les nouveaux dossiers 21905. Les dossiers jugés 23539 soit un nombre de dossiers restant de 6369 dossiers. Chiffre insignifiant par rapport aux 221007 dossiers en attente au niveau de notre haute cour. Voila donc deux pays de la même culture juridique, l’un copiant l’autre. Pourtant là-bas un flux de dossiers régulé et maitrisé. Ici un véritable tsunami.
Par la magie de l’internet il vous est possible de consulter les statistiques de chaque tribunal et chaque cour du pays. Je vous conseille de les consulter vous allez tomber des nues.
A qui incombe la responsabilité de cette situation ? Le juge l’engendre t-il ou la subit ? Que peut faire un juge prodige recruté avec 19 de moyen au concours d’accès à l’école de magistrature, écrasé par le poids des dossiers et les impératifs des statistiques et obligé parfois à siéger dans plusieurs sections ou plusieurs chambres parfois au tribunal et à la cour et , le comble, au tribunal administratif et à la cour d’appel. Je sais de vous que vous êtes impliqué dans la vie associative. Cela vous honore. Vous savez donc forcement que la justice est le réceptacle de tous les maux sociaux. La délinquance juvénile, la drogue, des infractions les plus banales aux crimes les plus crapuleux, les effritements de familles, les cupidités mercantiles, les conflits fonciers et les injustices sociales, bref, la déliquescence sociétale. Tout cela finit par prendre un numéro de rôle dans les tribunaux. Si ces maux étaient résolus en amont tout le monde en profiterait, y compris la justice.
D’autres solutions techniques sont possibles. L’étude comparative spécialisée permet de les découvrir. J’en ai une petite idée.
C’est mon travail. Je me ferai un plaisir d’en discuter avec vous.
Je conclus que nos juges dans leurs extrêmes majorités sont des personnes honorables. Ils travaillent sous les contraintes que j’ai essayé d’expliquer avec les moyens mis à leur disposition. Ils sont comme la majorité des algériens d’origine humble. Ils connaissent les soucis quotidiens de tout le monde et habitent, dans leur grande majorité dans les quartiers populaires. Que deviendraient-ils s’ils devenaient une oligarchie, recrutée à l’âge de puberté, isolée pendant des années de la société, abreuvée à satiété d’un sentiment de supériorité et d’élitisme ? Des étrangers pour nous. C’est peut être à cela que conduirait la reforme de la formation des juge annoncée par le ministère de la justice, que vous avez pris pour vérité coranique et qui vous a permis de faucher tout le monde . Heureusement que vous n’êtes pas juge.
DR MEKIDECHE. A
Enseignant universitaire et avocat
* Le titre est de la Rédaction (tiré du texte)
وزير العدل حافظ الأختام الطيب لوح لـ « الشروق »:
القضاة سيحددون مبلغ الاستفادة من صندوق المطلقات
سميرة بلعمري
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2014/05/31 (آخر تحديث: 2014/05/31 على 20:51)
الطيب لوح وزير العدل
صورة: (ح.م)
تدنو وزارة العدل من وضع الروتوشات الأخيرة على مشروع قانون « تجريم » العنف ضد المرأة، أو مكافحة العنف ضد المرأة، في وقت قرر وزير العدل حافظ الأختام، الطيب لوح، إحالة مشروع القانون المتعلق بصندوق المطلقات على الأمانة العامة للحكومة، هذا الأسبوع، قصد إدراجه ضمن رزنامة مشاريع القوانين والمراسيم التنفيذية المزمع جدولتها للمرور في اجتماع الجهاز التنفيذي قريبا.
ضمن هذا السياق، أكد وزير العدل حافظ الأختام، الطيب لوح، في تصريح خاص لـ « الشروق »، أن مصالحه أنهت العمل على مشروع قانون صندوق المطلقات وسيحال على الأمانة العامة للحكومة، مشيرا إلى أن النص القانوني الذي سيؤطر صندوق المطلقات الذي طالب رئيس الجمهورية الحكومة به، في آخر عيد للمرأة، هو عبارة عن صندوق يتولى دفع منحة أولاد المطلقة، نيابة عن طليقها، وبحسب مقدار المنحة التي يحددها القاضي، إلى حين فصل العدالة في القضية بصفة نهائية. كما يحدد مشروع النص، بحسب الوزير، موارد الصندوق وكيفية تمويله بنسبة محددة من أموال الخزينة العمومية، شأنه في ذلك شأن صندوق المعاشات الذي أقر له الرئيس نسبة 2 بالمائة من مداخيل الجباية النفطية لتمويله .
وأوضح لوح أن صندوق المطلقات سيكون بمثابة آلية تلجأ إليها المطلقة الحاضنة لأولاد، لضمان العيش لأبنائها وحفظ كرامتها في الفترة التي تسبق فصل العدالة في ملف نفقة المطلقة وأبنائها. وبعد أن تصدر العدالة حكما نهائيا ملزما للزوج المطلق، يتولى هذا الأخير سداد المنح التي دفعها الصندوق للمطلقة بقوة القانون- على حد تعبير الوزير-على نقيض ما ذهبت إليه بعض المصادر في أن منحة المطلقة الحاضنة لأبناء سيتكفل بها صندوق المطلقات بصفة دائمة ومنتظمة.
وحسب مشروع نص القانون الذي سيحال هذا الأسبوع حسب لوح، للأمانة العامة للحكومة، فيتضمن نظام تمويل وتسيير صندوق المطلقات، وتحديد الحالات التي يسمح فيها باللجوء إلى هذا الصندوق. وردا على سؤال « الشروق » بخصوص قيمة المنحة التي يوفرها الصندوق للمطلقة الحاضنة، قال لوح إنها القيمة المالية التي يحددها القاضي وبحسب ما يحدده قانون الأسرة والأحوال الشخصية.
وكشف محدثنا أن مصالحه تشتغل هذه الأيام على وضع اللمسات الأخيرة على مشروع قانون حماية المرأة من العنف، في خطوة نحو « تجريم » العنف ضد المرأة. وهو النص القانوني الذي شكل مطلب رئيس الجمهورية مؤخرا، حيث سيتضمن النص الجديد عقوبات ضد كل من يستخدم العنف اللفظي أو الجسدي ضد المرأة في مختلف مواقعها، سواء ضمن الأسرة أم أماكن العمل أم في الشارع. ومن شأن هذا النص الردعي أن يقضي على العديد من السلوكات غير الأخلاقية، التي يعرفها المجتمع الجزائري والتي تطال المرأة، بما فيها التحرشات.
وعن مشروع إعادة النظر في تصنيف معهد القضاء وإدراجه ضمن قائمة المدارس العليا التي يؤطرها قانون خاص ويحتكم الراغب في الالتحاق بها إلى مسابقة وطنية، أكد وزير العدل أن التحضير لجعل معهد القضاء مدرسة عليا جار، وستكون هذه المدرسة شأنها شأن المدرسة العليا للإدارة ومدرسة الطب وغيرها، والالتحاق بها يستوجب انتزاع معدل عال في البكالوريا والدراسة بها تمتد إلى مدة سبع سنوات وليس ثلاثا، مؤكدا أن إصلاح العدالة ينطلق من إصلاح الموارد البشرية وسياسات تكوين القاضي الذي يعد الطرف الأساسي في المعادلة، منتقدا مجددا التحاق طلبة قضاة بالسلك بمعدلات ضعيفة وعند مستوى 7 بالمائة. وأكد لوح أن هذا الزمن انتهى وولى، والراغب في الالتحاق بسلك القضاء والعدالة مطالب بأن يكون جديرا بذلك وإما فلا.
cet article n’est pas a sa place. la redaction aurait le mettre en sujet a part. car ce sujet est fortement holeux il concerne tout le monde.
Deja les couteaux s’eguise sous les couvertures..
existe t’il un moyen de toucher cette manne tout en restant sous cette couverture ou sous ce bourabah »
comme disait les sidistes en chanson
»dir ammah
dire attah
taht el bourabah
fikahatr sidi louh
essakéne fi zriba louh »
@abbassia
un constat c;est different d’une analyse. en medecine un constat n’est pas prie en compte car il émanent des gens qui ne sont pas du monde chacun constate ce qu’il voudra. si le medecin demande une anlyse du sang ça y est les rumeurs cessent et chacun retourne chez lui car le medecin suivant les resulats de l’analyse il va appliquer un tratement, s’il faut une ablation c’est le bloc chrirugicale. endormissement du patient par injection, attachement des bras et des pieds et ablation…
si vous revenz a la chronologie l’université a cessé d’etre lorsque les coperants ont quité le pays en 1984..A partir de cette datte l’université et revenu pour devenir un lycée. lorsque tu fais adapter les conges et les vacances sur le ministère de l’education national ici tu as touché a l’identité meme de l’université. car lorsque l’etudiant passe du lycée a l’université il ne va constaté aucun changement. Des gens ont donné l’argument de vouloir passer leurs vacance avec leurs enfants. C’est du n »importe quoi.
si tu veux passer des vacances avec tes enfants va enseigner au lycée que fait tu ici a l’université?? ils viennent avec une mentalité du lycée du l’ecole coranique de la charika et meme de la ferme agricole et imls applique cela sur l’université. apres 1984 l’université a été infiltré. les gens qui étaient exclus de partout sont venu se caser a l’université..ils etaient nombreux et Mesli a l’epoque ne pouvait pas faire face. A l’époque de du recteur le medecin on a oublié son nom il a carement transporter je dis transporter toute l’ecole d’agriculture et l’école de machinisme agricole sis route d’oran dans l’université pour lui c’est faisable de mélanger la formation propfessionelle agricole dans la formation universitaire. Il a eu des problémes monstre a cause des équivalence, celui qui enseiganit dans ces strutures devrait il enseigner a l’université?
Dans les normes des choses une strutures vouer a la fermeture doit liberer le personnel et le mettre a la retraite avec une prime de sortie de 300 millions afin qu’il achéte son logement s’il etait logé dans le logement de fonction.
Question ufc tout le monde le sait et la fonctionest complice. je me demande pourquoi l’etat pousse les fonctionnaire d’aller vers le trafqiue. Pourquoi obliger un fonctionnaire de détenir une fausse licence pour l’augmenter??
Les gens ne se ressemble ya ceux qui peuvent faire du trafique et offrire leurs filles au diable pour un poste et ya ceux qui prennent les armes si vous touchez au pays. Il faut faire comme l’armée. l’évolution passe en fonction de la carrière. Le travailleurs est là il a droit d’evoluer d’anée en années ne ce serais que pour compenser l’inflations qui est de l’ordre de 10%..lorsque l’évolution sera introduite personne ne fera ufc et seul ceux qui veulent vraiment faire des études iront le faire. tu as besoin des teudes tu les fait tu n’as pas besoin tu ne les ferais pas point barre. Et entre nous tu crois que ceux qui choissisent un directeur ils le font a l’improviste. ces gens là veulent faire du trafique donc tu crois ils vont chosir une benghabrite qui va croire que l’ufc que l’ufc c’est pour la formation et va serrer les boulons…
Ceux qui choississnet ont l’habitude de faire le choix..de l’oeil il voit si le bonhomme est fort physiquement ou pas..d’autres part il faut toujours faire attention des gens qui etaient bourssier a l’etranger car un tri stanaique etait opéré en europe..Si tu constates que quelqu’un est revenu apres sa bourse c’est qu’il etait contrain de le faire »on lui a dit d’entrée sinon…. »
car tout le monde souhaitait vivre en europe ..chauffeur taxieur en france que chercheur a bel abbes….si le bonhomme est directeur de l’ufc soit c’est nos freres les arabes qui l’ont choisi pour leur delivere les diplome soit nos confreres les europeens qui l’ont placé…
un conseil de frere
commencez par retourner a la culture universitaires. changer les vacances et les refaires comme ils etaient avant 1984 comme vacance inter semestriels..
ensuite forcer les cutés universitaire de faire un cloisonnement et chaque faculté doit ouvrire sa bibiotheque pour que l’etudiant entame son travail apres 17 heures..Forcer les enseignants de donner a leurs etudiants de faire des traveaux de bibliographies.
faites des stages de perfectionnement pour les enseigants qui n’ont pas fait un cursus universitaire qui ne savent pas c’est quoi un travail bibiographiques..
alleger les programmes et donner des sujets simple en incistant sur le travail bibliographqiue qui doit etre tres severes…
bazzaf alikoum pour le moment
vous n’etes pas entrain d’analyser la situation vous êtes entrain de faire des constats. Primo seul qui peuvent donner leurs avis pour être exploiter en analyse ce sont les fondateurs de l’université de sidi bel abbes. Comme Mesli par exemple. sans étude de chronologie on ne peut pas faire d’analyse. La faculté la plus importante malheureusement mis de coté c’est la faculté d’histoire je ne sais pas si elle existe et pourtant je suis de cette ville. Vous voyez normalement ce sont les enseignants chercheurs qui doivent se prononcer sur l’évolution general a bel abbes. Ils se taisent et d’autre essayent de faire le boulot a leurs place.
les enseignants venues dans les années 84 après le départ massif des coopérants techniques ont trouvé l’université déjà faite, il ne peuvent pas faire une analyse de la situation du fait qu’ils prie le train en marchant.
Historiquement l’université du soir a été crée pour permettre au gens de la fonction publique de monter en échelon et ainsi augmenter leurs salaire. l’ufc n’a pas été crée pour former des gens mais pour faire évoluer certain. je ne sais pas si elle reconnue dans la fonction publique. si elle ne l’est pas donc ipso facto ça été créer dans un but bien précis tout sauf de formation. Allez y aussi comprendre pourquoi on a crée le DEUA?? on ne peut pas créer dans un pays un diplôme et oublier de lui intégrer dans un statut. Ces gens sont toujours victimes et on leurs fait signer une déclaration chez le notaire comme quoi il se désiste de demander un avancement dans leurs statut une fois le poste de travail prie. Il ya surement quelques choses qui se passe sur le dos de ces diplômés qui vous dit que leurs salaires ne soit pas manipulés par la comptabilité ?
Pour la justice en dehors du système introduit par les musulmans y’a pas une autre justice.
Le système judé chretien actuel ne pourra jamais générer une justice indépendante car le juge est en même temps juge et propriétaire. Le Roi est propriétaire et il exerce la justice. En islam on lui prie de choisir une et sortir de l’autre. Depuis la chute de baghdade une secte intégrée dans le jdeo christiansime essaye toujours de déposséder les gens de leurs propriétés car elle ne reconnait pas le droit a la propriété privé a quiconque. Pour la philosophie de cette secte ou de cette tribus tout ce qui est dans l’univers Dieu les ont fait d’eux des associés. On les appelles les mouchrikounes et ça ne date pas d’hier. Ils ont ruinés tous les juifs et ensuite tous les chrétiens et ensuite tous les musulmans et ensuite tous les asiatiques. Ya que les états unis qui résiste encore et vous avez vu comment il lance a chaque fois des campagnes pour les désarmer. Le problème fondamental de l’Algérie est là dans la reconnaissance de la propriété privé. Parce que si l’Algérie reconnait ce droit tout va se régler. Car l’étudiants va dire ‘’j’ai de l’argent et l’argent c’est ma propriété j’en fais de cette argent ce que je voudrais’’ il se lance pour créer sa propre école son propre lycée sa propre université son propre hôpital etc…
Sur le terrain si ce pouvoir est capable de gérer la situation on aime bien se désister de la propriété et qu’on lui laisse tout les bras. L’expérience a tété faite dans les pays socialistes et vous voyez ou se trouve des pays pourtant réputer être les initiateurs comme les russes dans le domaine de la géologie la peinture la sculpture l’optique etc. et vous voyez comment la russie est redevenue, au point de redevenir des mendiants. Si les noirs américains ne leurs envoient pas les cuisses de poulet les russes meurent de faim.
On ne finira pas a dire a ce groupe a cette secte a cette tribus judeo chertienne qu’elle n’a pas les moyens de gerer qu’elle manque de connaissance qu’elle est ignorante, qu’elle ne sait rien faire, qu’elle fait trop dans le theorique, qu’elle ne contrôle absolument rien du tout, qu’elle-même est dépendante, de la recette fiscale si le noir americain ne lui envoient pas un poulet et le lait de chèvre elle se nourrie pas dans les salons. Une tribu qui attend la recette fiscale pour vivre ce n’est une secte de Roi mais de mendiant si elle demande gentiment ou un groupe de brigand si elle le prend de force en envoyant les collecteurs d’impôts faire la saisie des biens.
si vous voulez évoluer que la faculté d’histoire demande officielemnt l’ouverture des archives et le droit de consulataion.
Ici oui car le travail d’un historien se base sur un protocole bien precis. il ne fait pas dans l’emotionel. il a une chronolgie a étidier et des conclusions a tirer…là dans ces archives on va découvrir l’historique des personnes..d’ou ils viennent comment ils ont grandit, leurs parents travaillaient ou et chez qui?…
@tlscontact
Lorsqu’on fait un constat c’est aussi une analyse d’une situation concrète , vécue. Toute personne consciencieuse, pourquoi pas instruite, travaillant dans l’intérêt général est à même de donner son avis sur des situations données surtout lorsqu’elles sont dépravées.
Par ailleurs, les fondateurs d’une université algérienne sont des commis de l’Etat. Ils sont payés par le service public et c’est de leur devoir d’y travailler pour construire cette institution . Alors, ils n’ont pas le monopole de l’analyse. D’ailleurs, très souvent ces recteurs sont soucieux des privilèges du « KOURSI » et préfèrent adopter un silence complaisant lorsque des scandales éclatent dans leur institution. C’est le cas de ce fondateur de l’université de Sidi Bel Abbès (comme vous le dites) qui jusqu’à l’heure ne s’est pas offusqué, ni scandalisé lorsque trois de ces étudiants » faux docteurs » ont été dénoncés pour fraude doctorale AVEC PREUVES A L’APPUI.
Le comble du comble, vous qui parlez de l’UFC , un des faux docteurs dirige l’UFC à Ain Témouchent. Malgré les différents écrits au Recteur du centre universitaire de Témouchent ,( ce faux docteur est enseignant aussi) , pas la moindre réaction .
La question qui me tracasse encore et encore où est la Justice , celle du droit et du respect de la LOI?
Du DR MEKIGECHE
A ABASSiA
Vous aussi vous avez raison à propos de l’université. IL est indéniable qu’elle a touché le fond et que les scandales qu’elle a connu à SIDI BEL ABBESS, ORAN et ailleurs ne lui apportent que le déshonneur. Donc ne croyez pas que je défends l’indéfendable. Relisez ma lettre au DR REFFAS ou à propos des universitaires j’ai dis qu’ils se défendent ou qu’ils se taisent à jamais. Mais la aussi à qui la faute ? Sans faire dans le détail (notre sujet actuel étant la justice) et sans vouloir disculper les enseignants universitaires (et je crois que vous en êtes une) je vous ferais remarquer que par exemple l’université de Sidi Bel Abbes a connu tous ses scandales pendant les dix (dix pas moins) dernières années. N’était-ce pas à cause de la politique des deux poids deux mesures exercée par les responsables locaux (les seconds dans la chaine).Et combien de temps est resté l’avant dernier ministre de l’éducation national dans le poste et pour quel bilan ? Qui de lui ou des enseignants est responsable ? (par exemple el ataba). Nous sommes d’accord en fin de compte sauf que moi je préfère distinguer la cause de l’effet étant convaincu que la solution viendrait de la correction des causes non des effets. Je serais heureux qu’un débat sur l’université soit ouvert, même modeste comme celui-là. On verra alors ce qui pourra être dit. Revenons à notre sujet.
Pleinement d’accord avec vous sur les ravages causés par l’UFC. J’avais essayé jadis de lutter contre de l’intérieur de l’université et par des actions en justice (documents existants) ? La justice a donné raison, l’université non. (Vous connaissait les règles de la loi des nombres).
Pleinement d’accord aussi sur la connexion université- justice. (La loi des vases communicants vous connaissait aussi).
Enfin pleinement d’accord avec votre diagnostique sur la santé.
La justice, l’éducation (avec un grand E), la santé se décident par les politiques et s’exécutent par les technocrates et les fonctionnaires au bout de la chaine. On cas de disfonctionnement qui en assume la responsabilité en premier lieu ? Celui du début, l’intermédiaire ou celui du bout de la chaine ? Moi je crois que c’est le premier parce qu’il a le redoutable pouvoir de la décision nationale. S’il n’en use pas ou s’il en use mal ALORS EN DANCE (clin d’œil pou souhaiter la bien venue à l’immense chanteur belge STROMAE qui va chanter PAPAOUTE).
Quand à l’approfondissement de l’analyse de la satiation de la justice et des professions auxiliaires je crois qu’elle s’impose. Assez des tabous vous avez raisons.
@avoceignant
Il me semble que vous avez tort de reporter l’entière responsabilité de la défaillance de l’ Education, de la santé et j’en passe sur le dos des politiques seulement . Oui, ils sont les décideurs au pouvoir mais quand il y a dysfonctionnement c’est aussi de la responsabilité de l ‘Élite de ne pas se taire et de ne pas pratiquer la « politique de l’autruche ». Malheureusement, c’est ce qui se passe actuellement, la majorité de celle-ci est muette, silencieuse, complaisante avec cette situation déliquescente. L’université doit être le lieu non seulement du savoir mais elle doit être la garante d’une certaine éthique , une grande moralité . Un lieu des débats critiques, débats constructifs pour l’ évolution d’une société civile avec des vraies valeurs. Or, nous assistons présentement à une dégradation des mœurs ( valeurs morales, professionnelles). Des universitaires sans aucune conscience, ni professionnelle, ni morale, faisant allégeance aux décideurs du pouvoir pour mieux garder leurs postes administratifs pour certains afin de préserver leurs privilèges personnels.
@Abbassia
Depuis les premiers balbutiements héléniques,la polique est le ferment qui produit le progrés, le changement, et la paix mais aussi le ferment des guerres ,la déstruction.et la décadence.Donc,il m’est incompréhensible d’absourdre les politiques et culpabiliser la justice !
Cette justice est aussi victime d’une configuration batarde de la notion de l’état et un des dommages collatéraux du déspotisme. elle s’est corrompue malgré elle dés sa politisation ,créant une une inégalité devant la loi.
On ne peut pas penser justice avec les neuronnes d’un déspote ! c’est meme antinomique !Alors comment voulez vous que les principes de séparation des pouvoirs soient appliqués ? que la justice soit indépendante ? Alors que nous savions depuis Montesquieu que le pouvoir déspotique a un effet inversement proportionnel sur l’ensemble des institutions y compris l’institution judiciare.
En toute KAMARA DERIE merci. ET merci pour la contribution intelligente au débat.
Dr MEKIDECHE
Le KAMARA-DE vous salue
DE MEKIDECHE
Bonjour DR REFFAS
Il me semble que vous avez ouvert la boite de pandore. Vous avez initié un débat qui, à l’évidence, n’est pas anodin. Il vous incombe par conséquence de l’alimenter et de l’encadrer car il risque de dévier.
J’ai cru comprendre que la question posée était de savoir quelle place accorder à la justice parmi les institutions de l’état et quel doit être le rôle du juge algérien après plus d’un demi-siècle d’Independence : simple fonctionnaire ou détenteur d’un réel pouvoir? C’est de la réponse à ces questions fondamentales que dépendent les attentes légitimes de nos amis commentateurs- et autres – et leur droit à une justice qui apaise et à laquelle on peut faire confiance. Ce droit est si sacré qu’il mérite sacrifice et doit s’arracher, comme la liberté, s’il n’est pas naturellement accordé. A ces questions centrales se greffent certainement d’autres périphériques telles que celles relative à la formation des juges, à la moralisation de la justice – mais pas seulement- au droit à un procès équitable.
KAMARA (joli pseudo auquel j’ajouterai volontiers un « DE » pour faire KAMARADE pour être plus sympathique) se trompe on croyant que je suis élitiste et que je distingue « le citoyen ordinaire », que je n’oserai jamais qualifier de « premier venu », de je ne sais qui d’autres. Néanmoins il reste certain que comprendre l’institution judiciaire, c’est-à-dire son fonctionnement les règles qui la régissent ,sa hiérarchisation ,ses offices ses forces et ses faiblesse …etc. requiere un minima. On ne peut éluder cette évidence sauf à vouloir être populiste et ne rien apporter au débat serein et bénéfique. N’est ce pas KAMARA DE. Quant au corporatisme ?
Bonjour Dr Mekideche.
Dans la boite de Pandore se trouvaient tous les maux de l’humanité. Par curiosité elle fut ouverte, et seule l’espérance resta au fond de la boite. C’est à travers un débat dénué de peur qu’on peut enjamber le tabou et extirper l’espérance de la boite pour une justice qui répond aux vœux du citoyen. Désolé de vous dire que le débat a été initié par monsieur le ministre de la justice. Ma modeste contribution s’inscrit dans le sillage d’une réflexion pure et dure ou la réalité ne peut-être occultée par une expression que je trouve mal placée: »Vous avez initié un débat qui, à l’évidence, n’est pas anodin. Il vous incombe par conséquence de l’alimenter et de l’encadrer car il risque de dévier. » Au contraire, je trouve le débat très intéressant, surtout après la publication de votre lettre. Cette dernière a été consultée à cet instant par 472 lecteurs. La mienne arrive à 412 lecteurs. Donc , le sujet sur la justice demeure d’actualité, autant que celui sur le temps complémentaire, (heureusement suspendu par l’actuel ministre de la santé), qui a dévié le médecin de sa véritable vocation. et les scandales qui secouent l’université. Tout est lié Dr Mekideche. Heureusement que les sciences médicales, les sciences exactes, l’ingéniorat, et les sciences de l’informatique ne sont pas autorisés dans les programmes de l’UFC. Je suis convaincu que vous avez saisi le message, du fait que vous êtes avocat et enseignant en même temps. Connaissant vos capacités intellectuelles, j’aurai souhaité de votre part une analyse scientifique de la situation actuelle de l’appareil judiciaire dans toute son étendue, en extirpant les sentiments. La santé et la justice sont des repères fondamentaux dans l’évolution de la société.
Mes amitiés et Djoumâa makboula inchallah.
Cette discussion me semble un peu biaisée parce que qu’il y a réaction par réflexe de corporatisme. Après cette discussion on ne sait toujours s’il y a moyen de rendre mieux la justice dans notre pays. On ne peut pas tout expliquer par le poids du système. Si c’est le cas, il faut admettre explicitement et simplement qu’il n y pas de justice dans notre pays. Est ce la faute des juges ? En partie, car ils sont acteurs et peuvent dire des choses pour défendre l’Etat de droit, pas la justice. La justice est difficilement accessible parmi les hommes. Pour espérer rendre justice on ne peut être un fonctionnaire mais plutôt’’ un missionnaire’’. La justice, ce n’est une mécanique, ce n’est un emploi comme les autres, auquel cas demain des robots érudits rendront ‘’la justice’’. Ce je trouve un peu dommage dans les propos du Dr Mekideche, c’est le fait de dire pratiquement que comprendre le fonctionnement de la justice n’est pas à la portée du premier venu, du citoyen ordinaire. Je ne sais si le Dr Mekideche se rend compte de l’énormité de son affirmation. On est tous justiciables mais on a pas, surtout quand on est citoyen ordinaire comme moi , à comprendre le fonctionnement de l’appareil qui nous juge. C’est dramatique.
Par ailleurs, je ne crois pas, sans être désagréable pour nos juges, et le Dr Mekideche, ils sont des Algériens comme nous, qu’il faille réduire l’intelligence à la médiocrité. C’est entre autres, le postulat trompeur dans lequel se fourvoie le Dr Mekideche et qui produit ce sentiment d’impuissance.
Salutations docteur Reffas, c’est Dr Mekideche.
Je tiens à réitérer le respect que je porte à votre égare.Votre engagement notoire pour les causes publiques relève d’un altruisme dont peut de personnes sont capables. Ne prenez pas donc mon ecrit pour une attaque , quoi que je persiste à penser que vous aviez tore d’utiliser la fauche au lieu de la pincette quand vous avez jugez les autres. Quand on s’exprime dans un espace public c’est une invitation à un débat public contradictoire qu’on fait.C’est ainsi que j’ai compris votre écrit qui a immédiatement suivi la journée d’étude organisée par notre faculté et à laquelle j’ai eu le privilège de contribuer: une suite du débat extra-muros. Je n’est pas l’habitude des controverses publique. Cette fois j’ai cédé à la tentation pour cause de sujet fort intéressant et de contradicteur méritoire,;
J’ai été maladroit en utilisant le » vos » en parlant des étudiants encadrés. Évidement ce n’est pas des vôtres que je parlé. Le vos dans mon esprit était absolu.
Heureux de savoir que vous êtes géniteurs d’apprenants universitaires. Pourvu qu’ils héritent de vous vos qualités, avec un peu moins de virulence quand même.
Amicalement votre
@ avoceignant je crois que vous n’avez aucune idée sur ce que pensent les citoyens de la justice des juges des avocats des enseignants d’université etc ……et que vous ne maitrisez pas bien le sens des mots que vous utilisez dans vos écrits ? vous faites de la girouette monsieur en tous les cas le constat de ce que vous défendez est dans un piteux état .
Bonjour Dr Mekideche.
Au contraire, j’ai considéré votre lettre à sa juste valeur. Aujourd’hui, je réponds à votre commentaire, et hier j’ai été obligé de considérer votre lettre qui m’était adressée comme un commentaire pour engager un débat. Ce qui est inacceptable, et je pense que vous serez d’accord avec moi, c’est de constater des pratiques qui n’honorent nullement les « administrateurs » du site. Mettre en ligne une lettre adressée à une personne nommée et de surcroît lui donner un titre sans l’aval de son rédacteur, est une atteinte grave à la déontologie qui lie l’administrateur au contributeur. Il en tire les dividendes( tous genres) grâce à des personnes comme vous et moi(elles sont nombreuses) et aux commentateurs , qui souvent leur participation est de haut niveau. Si le site est une propriété « privé », alors je conseille à l’administrateur de changer l’intitulé et de mette son nom suivi d’un point net. On ne gère pas un site public avec les humeurs. Cette façon de faire dénote le degré d’approche dans les relations humaines.
Dr Mekideche, je vous assure que votre lettre s’inscrit dans le débat contradictoire au vrai sens du terme.
Dr Mekideche, sincèrement, vous pensez que je suis virulent? Autant que vous, j’ai fait l’école du syndicat qui m’a apprise que seule la vérité peut promouvoir une société. Elle dérange, mais elle demeure triomphante. Dans l’éducation de mes enfants (une fille et un garçon), j’ai insisté fortement sur l’amour de la patrie. Aujourd’hui, ils sont autonomes et pacifiques dans leurs actions.
Merci Dr Mekideche et bon week-end.
Si les ésquimaux ont vingt mots pour désigner la neige, nous en avons autant pour désigner la justice Algerienne.Malheureusement dans le sens péjoratif et pour cause:
Il est indéniable que la justice est subvertie , dysfonctionnelle et que la génese comme les solutions dépassent l’étendu d’une simple chamaillerie.En effet ,le chapeauteur si Driss,meme si le vocabulaire judiciaire lui a échappé,sur la fond ,a raison de mettre les mots sur les maux et de tirer a boulets rouges en prenant la sage précaution d’éviter de mettre sciemment la décripitude de la justice sur vos dos.
Vous n’etes pas sans savoir que la socle fondamendal d’une société n’est que son cadre juridique comme une ramification de l’état de droit.Cet état de droit, est de fait la préeminence de la loi ,une loi s’applique,elle est observée et respectée.Punkt
Ce n’est pas le cas en Algerie ,la manupilation politique de la justice n’est plus a démontrer,les multiples tentatives unanimistes de circonvenir et de violer la loi sont monnaie courante donnant l’impréssion que cette institution est directement soumise au pouvoir politique et instrumentalisée selon ses ambitions.Sinon comment expliquer l’inéptie de la justice devant le banditisme politique ? la corruption généralisée?. et comment cette institution se montre particuliérement sévere contre les voleurs de poules?
comment cette institution accorde le benefice de doute et des circonstances atténuantes aux zélotes du systeme impliqués dans la criminalité économique d’envergure?
Ma réponse est qu’il existe des lois officielles et officieuses ,une justice plébeienne et autre patricienne……
Que les juges sont sommairement formés n’est pas une nouveauté, le probleme est que dans une mentalité de « magister dixit » et sans feed back, on continue dévoluer dans la médiocrité ,coupés de l’evolution du reste du monde.
Dans les pays Germaniques ,apres 5 ou 6 ans d’études de droit , 3 ans comme avocat greffier (avocat en formation) ,9 a 12 ans d’experience comme avocat , en suite on peut postuler le metier de juge apres 01 année de formation . c’est lonnnnnnng
évitez la justice europeene ils ont la sienne nous avons la notre.
allez y chez eux est appliquer le droit islamqiue algerien??
Apres 5 siecle de domination du droit muslmans sur presque la totalité de l’europe, l’europe est revenue vers son pratqiue du droit..Je demande a l’université d’incister pour le moment sur le droit islamqiue algerien..celui qui voudra appliquer un autre droit qu’il va ou il a été crée et l’applique a sa guise..
le droit islamique algerien est basé sur la propriété privé..
l’algerien chez lui est propriétaire donc un malak..un ange si vous le preferez..Le droit europeen refuse ce droit a la proprieté..voila le clivage entre nous et eux voila pourquoi nous sessons pas de leurs faire la guerre..tu touche a ma proprieté je te butes….
que des enfants de pauvres malheureux ont été récupérés et recrutés par les envahisseurs europeens et qui ont fait d’eux des profs, des syndicaliste, des maires, des juges, des senateurs , et qui parlent de leurs langages cette frange d’algerien sont les notres on sait ce quel estrade il sont debout et qui sont derrières eux, on laisse la nature faire..tu ne peux pas t’opposer a un orage avec un parapluie..il ya la genetique algerienne…un juge issus d’une famille de miserable récupérés et mis de l’ENA ..ce juge ou va mener l’europe??
il est idiot..donc il va renverser tout autours de lui..
attendez nous allons comme 1914 recevoir des europeens fuillant l’enfer
vous deux, je ne suis pas juriste mais je suis citoyen qui est mis devant une situation de fait. M’imposer un juge, m’imposer un avocat, m’imposer un notaire, m’imposer un enseignant etc..on sait tous les rouage de la justice importer d’ailleurs de France ou d’Europe. Tout le monde sait ce qui se passe et comment sont choisi les professionnels de la justice.
J’avais dans un ex texte mis en évidence une autre justice non européennes la notre. Comment on forme nos juges chez nous. Car jusqu’a maintenant personne en Europe ne sait pourquoi les juges arabes ont crée l’université. Révélez la philosophie grecque qui anime l’Europe catholique c’est leurs philosophie c’est leurs façon de voir le mercantilisme.
Le mercantilisme c’est lorsque un juge devient homme d’affaires et commence à vendre le jugement. Le jugement devient un objet donc un produit commercial. Les américains vue leurs histoire avec ce mercantilisme si tout est au fond commerce alors on va faire haut ce que les européens nos ancêtre fond en cachète. Allez pose l’argent et tu auras ta liberté provisoire.
Y’a-t-il a bel abbes des juges vendeurs de jugement et y’a t’ils des avocats qui ont réussi de créer une sarl avec des juges et d’être actionnaires ??
Question de fond chez nous les musulmans algériens Malékite pas khalijite nous avons notre propre école..Qui doit être juge ? qui est cette fonction d’avocat qui vient de s’ajouter ?
Que fait le juge mercantile europeen de salons ? Il faut savoir que lorsque la monarchie a disparue c’est l’administrateur collecteur d’impôt qui a prie le rôle du juge a la place du Roi ?? Je me trompe ?? non je ne me trompe pas car pour exercer dans la justice il faut être diplômé de l’école d’administration. Vrai ??Dans le jargon français administratif il ya une anecdote chez eux..Il faut que le texte de lois ne soit jamais de la langue de Molière mais tordus afin de l’interpréter selon les circonstances..
Aujourd’hui nos sommes dans le cas de l’administration pénitentiaire et non pas comme jadis dans les tribunaux de justice.
Continuez dans la rotation de cette SARL juridique faire un peu d’argent en attendant le plats de résistance, ou tu es né juge et tu ne le seras jamais ni avec l’aide d’une SARL ni a l’aide de l’école d’administration. Lorsque le juge est contrains de tirer son arme pour imposer le jugement et qu’il face de la mort, ce jours là, personne ne squattera le tribunal, seul les vrai y siégeront..mais un vrai juge..shihe..vrai..capable..indépendant..franc..et machi colporteur
chakamme…sireure de botes…nous les algeriens nous sommes de nature ‘’incompatible’’ avec la monarchie..si quelqu’un veut cette monarchie il n’a qu’a aller en Grèce…ici c’est ouled MohamedBonjour.
Le docteur Mekideche m’a adressé une lettre à travers le journal en guise de réponse à ma contribution sur le système judiciaire, et non une contribution comme stipulé par le rédacteur « professionnel » du site. De surcroît, il ose donner un titre à la lettre et la publier en bafouant les principes élémentaires de la déontologie. Le docteur Mekideche avait toute la latitude de commenter ma contribution, mais il a préféré m’envoyer une lettre, que le journal devait automatiquement m’informer.
Néanmoins, je suis obligé de considérer la pseudo-contribution comme un commentaire, de là à accepter le débat dont je suis un fervent défenseur.
Monsieur Mekideche, ma contribution s’inscrit dans ma ligne de conduite en tant que militant des droits de l’homme.
La déclaration de monsieur le ministre est lourde dans son contenu, et demeure un constat. Cela ne veut pas dire que tous les magistrats ne sont pas de qualité. Je vous prie de bien relire la déclaration de monsieur le ministre, et en même temps dégager une appréciation qui s’éloigne du corporatisme dont vous faites preuve dans la rédaction de votre lettre. Ma contribution est rédigée avec un esprit critique et non de critique, avec des mots qui ont une valeur acheminée à travers ma modeste expérience dans le mouvement militant des droits de l’homme au sein d’organisations nationales et internationales qui font la part des choses dans la justice prononcée et défendue par l’homme. Ce n’est pas gai chez nous.
Il me semble, docteur Mekideche, que vous n’arrivez pas à faire la différence entre un cours « magistral » et une appréciation d’une situation donnée; peut être par un profane comme vous l’avez affirmé.Vous êtes avocat, donc votre réaction est légitime par rapport à votre profession vis à vis des magistrats que vous côtoyez quotidiennement, et vraisemblablement que vous aviez formé et vous continuez à former. Mon appréciation est tout autre et mon respect et de rigueur. Ainsi, vous dites cacophonie, mais il faut savoir de quel côté elle se situe.
Ma formation me permet de m’inscrire dans votre spécialité, d’apprendre aisément et avoir la possibilité d’apporter des critiques qui restent à débattre pour mieux apprendre, et ce que j’ai toujours fait dans mon parcours de militant des droits de l’homme. Je peux être juge ou avocat.Le contraire reste impossible. C’est la qualité universelle d’un scientifique.
A travers votre lettre, vous voulez démontrer que la justice est une institution fermée, et la critique est interdite. Vos menaces ont été bien saisies. C’est le grand tort des hommes qui s’habillent de « droit » pour camoufler l’incompétence, l’erreur et la dépendance des pouvoirs publics. Heureusement, que les deux corps (magistrat et avocat) sont enrichis de personnalités honnêtes, compétentes et indépendantes quelque soit la pression exercée. Par respect, je refuse de commenter d’autres aspects contenus dans votre lettre et qui me donnent beaucoup à réfléchir.
J’aurai préféré un débat ouvert et solennel au sein d’un de vos amphis autour de ma contribution et votre lettre. Quant à mes enfants que vous évoquez (pourquoi?), sont à l’université, et ils savent faire la différence dans l’assimilation des connaissances à travers leurs enseignants. Vous savez docteur Mekideche, que l’université Algérienne est à la traîne dans l’espace universitaire régional et continental. Quant au niveau mondial , elle s’étouffe par manque d’oxygène. La réalité est là, elle est palpable par le commun des mortels, même vous avocat expérimenté et formateur, vous ne pouvez trouvez les mots justes pour une plaidoirie qui retient le souffle d’un magistrat assisté d’un jury. On n’a pas le droit de défendre l’indéfendable. En conclusion, je tiens à vous remercier docteur Mekideche pour votre aimable lettre, à travers laquelle j’ai saisi beaucoup de choses sans étonnement aucun.
Mon respect et mes sincères amitiés.
Bonjour Dr. MEKIDECHE.
Je vous connais personnellement et je connais votre valeur, dans l’enseignement ou en qualité d’avocat. J’ai appris énormément auprès de vous…Au point que bon nombre de personnes pensaient que j’étais juriste. J’ai appris une chose certaine…Auprès de vous… Et preuve à l’appui ! Que la loi c’est presque des mathématiques pures !
Cependant, mes propos vont diverger quelque part !
J’ai assisté dernièrement à une « grosse » audience sur le social(Oran). Le juge a traité 580 dossiers. Il s’est retiré pour délibérer . Une demi-heure plus tard.. Il reviens avec le délibéré. Le calcul est simple : 1800 secondes/580 Dossiers = 36 secondes par dossier ! Comment a t-il fait ?
Affaire à suivre !