L’élue Fatah Samira, fait partie de l’équipe de la précédente mandature qui a foulé l’espace de l’hémicycle de l’APW, avec beaucoup de passion, de responsabilité et de sérieux dans se qu’elle effectuait et son passage n’a pas été à vide. Elle a dans la commission de la santé et du mouvement associatif, farouchement lutté en évoquant les réalités sur le terrain dans le monde la santé, comme elle n’a pas cessé d’aider les associations et leurs émancipations. Son travail ne se limitait pas uniquement à un recensement des préoccupations, elle donnait du temps, pour présenter des rapports complet ficelés avec un assemblage de photos et de vidéo comme preuve de l’importance de ses revendications d’élue convaincue.
Nous la croisons également dans ce mandat, avec le regret de ne pas l’avoir vue reconduite dans sa première mission, pour la continuité des dossiers dont elle avait commencé le travail. Cependant, à la lumière de ce qu’elle fait et de l’humeur de femme engagée et battante, nous avons compris dans ses dernières interventions au cours des plénière passées et particulièrement celle du 02 avril que Fatah Samira est plus que jamais dévoué aux services de son pays, de l’institution, de son parti et des citoyens, qu’elle ne cessera de présenter les insuffisances et contribuer pleinement à trouver des solutions.
Ainsi au cours de la dernière assise de la plénière, elle mit en relief des questions se rapportant au secteur de la santé. Dans son début d’intervention, elle n’a pas manqué, d’exprimer le peux d’importance, accordé à la plénière de par la rapidité de son exécution par rapport à l’APW d’Oran qui a consacré 2 jours pour traiter 4 dossiers. Comme elle aurait souhaité que chaque volet traité, soit présenté dans un dossier à part au lieu de la présentation global de la déclaration annuelle des activités 2017 et perspective 2018 de la wilaya.
Puis dans un véritable réquisitoire en faveur de la frange médicale et à travers elle, les services pour le bien être des populations en besoin de prestation, elle évoqua le problème des rendez-vous prolongés pour les séances de radiothérapie au niveau du CLSS (centre de lutte contre le cancer). Elle signala l’insuffisance en spécialistes, qui aurait pu être réfléchi en parallèle avec la construction du CLCC, par rapport au nombre important de patient. Comme elle souhaita plus de formations utiles au lieu que d’investir dans des formations à caractère administrative, qui seraient solutionnable avec des instructions écrites tel que (déclaration de décès. Elle exprima le besoin impératif de logement de fonction pour les médecins spécialistes, signalant que le médecin affecté est contraint de payer la moitié de son salaire pour se loger et pour imager la situation, elle cita l’exemple des médecins d’urologie et ceux d’autres lieux ou il y a déficit de médecins, découragés par l’absence de logement.
Le wali tout en ayant félicité l’intervenante, rappela que parmi les points traités, certain ont surgit et pris en considération, lors de la visite de l’EPH. La parole fut donnée à Mr El Haj Driss Khodja, directeur de la santé et de la population, qui avait réponse sur l’ensemble des préoccupations soulevées, par l’élu.
En lisant l’article ci-dessus, on a l’impression que l’intervenante faisait partie de la commission santé de la précédente APW.Or, elle était au sein de la même assemblée tout en étant membre de la commission sport et culture. Désolé d’apporter ces clarifications.