La saison à grande chaleur transforme la demande de ce liquide vital en une obsession. L’eau qui coule des robinets préoccupe et pose d’embarrassantes questions.
– Est-elle pure ?
– Est-elle propre à la consommation ?
– D’où vient cette odeur qui sème le doute et la peur ?
Autant de questions auxquelles le consommateur n’arrive pas à trouver une réponse consolante qui le délivre de cette torture. L’idée d’une contamination et de consommer cette eau avec la présence de cette odeur qui devance la gorgée ne peut être chassée de la tête aussi facilement. « La peur pour notre santé et celle de nos enfants est désormais trop forte »lançe un habitant de la rue de mascara.
Le problème touche une très grande majorité à travers la wilaya, cité Bremer, sidi djillali (S6- S3 – 400 LOGEMENTS- et autres quartiers….). LALA KHEDIDJA, GUEDILA, SAIDA, IFRI, SIDI EL-KEBIR, MANSOURA, ECT…) cette croissance de mise en bouteille qui prend une ampleur effrayante confirme une demande aggravée d’un citoyen pris en otage.
Les camions de distribution de cette eau embouteillée comme des transports urbains est une preuve tangible, la population ne consomme pas l’eau de robinet et ceux qui la consomment sont contraints par l’impuissance de sa facture journalière. Ce liquide précieux symbole de la vie, de l’existence devient un ennui permanent.
Certains, ce qui en ont les moyens se déplacent à travers quelques points dans la ville, hôpital, fermes limitrophes à la recherche d’une assurance, d’un repos moral. D’autres rassemblent le plaisir de la détente avec le souci de cette eau devenue rare malgré son abondance et se déplacent jusqu’aux monts de tassala, mais ces derniers jours, des chaines interminable, Il faut s’armer de beaucoup de patience pour apporter de quoi boire pour quelques journées
Le retour, vous y pensez déjà, même pas arrivé à la maison et vous êtes déjà harcelé par l’idée de ne pas échapper de revenir demain ou un jour prochain. L’eau, le plus élémentaire aliment qui devrait être accessible à toutes personnes, en particulier les plus démunis se raréfie même en étant disponible. Les questions vont plus loin encore.
– Peut-on se laver les dents avec?
– Peut-on faire la vaisselle avec?
Des techniques, des vigilances s’imposent. L’eau devient douteuse et il n’y a pas mieux que de prendre ses précautions. Évidement, l’eau ne donne pas l’envie d’être bue et fait même peur. Les contaminations que peut provoquer une eau impure sont dangereuses et parfois d’une grande gravité pour les personnes fragiles, malades, nourrissons ou enfants de bas âges, femmes enceintes et les personnes cancéreuses.
Acheter quotidiennement l’eau n’est pas aussi agréable à supporter. Avec 5 litres/jour pour chaque personne, conseillée à boire en particulier en cette canicule, les pauvres, d’une majorité de la société seront pénalisés à payer ce liquide vital de grande nécessité pour subsister.
Les associations ayant pris conscience des problèmes qui touchent directement le citoyen ont préféré le droit chemin, communiquer directement avec les concernés. Après biens sur avoir adressé une demande d’audience au directeur de l’hydraulique, ce dernier à préférer attendre son départ en congé pour remettre le sort de ces préoccupations dans la main de son intérimaire.
Dans une rencontre accordée par BOUASSABAH (intérim) en présence de ses chefs de service (BAKHTI- BENCHAA- GHOZALI ET LA CHIMISTE MLLE FIDJEL) aux responsables des associations (OURED – CHADLI- MAHDJOUB- ZOUGAR), l’ordre du jour était trouvé une réponse à ces questions sur la qualité de l’eau des robinets ou une solution au problème s’il en existe vraiment dans le but de transmettre le message et calmer le citoyen.
Mr bouassabah, par sagesse a préféré passé la parole à Mlle FIDJEL étant spécialiste dans sa fonction, de déterminer tout en convainquant les messagers de la société de la pureté de cette eau et lever toutes suspicion quant à sa consommation son danger. Avec une certaine réserve, elle confirme quand même « l’eau est potable malgré la présence de cette odeur du fait que les étapes de traitements sont respectés jusqu’à la station de distribution ». Elle enchaine « il y a certaines molécules responsable de cette odeur ». À une autre question, comment palier à cette inconvénient ?, elle répond « le charbon actif peut régler définitivement ce problème, mais c’est un produit chère et rare dans le marché ».
Apparemment, le problème existe même si on veut brouiller les pistes de sa réalité. Ce qui est claire c’est qu’il y a toujours des solutions même si elles s’avèrent dans ce cas chères ou rares. L’important et de retenir que rien n’est plus chèr que la vie. Une personne en bonne santé est un facteur actif pour la société et même s’il ne l’est pas, il est loin d’être un fardeau. Les hôpitaux sont bien remplis de malade.
D’autre part les communes connaissent pire. La distribution de l’eau ce fait une fois tous les deux ou trois jours. Cette manière de laisser stagner l’eau dans les canalisations en l’exposant aux risques multiples de contamination.
Ce que l’on puisse constater à travers BAI et la radio locale est quelque chose qui va pas le doute demeure sur cette eau pendant ce temps là Mr le directeur avec âme et conscience se permet de prendre ses vacances ( après moi c’est le déluge) des gestionnaires pareils ne jettent pas l’argent par les fenêtres mais sous LA TABLE en réponse à la responsable lors de son intervention à la radio locale qui n’a pas été convaincante au sujet de cette eau impure non filtrée lorsqu’il s’agit de la santé du citoyen à mon avis c’est la mobilisation et non à une sensibilisation, ce n’était pas le moment de parler des dettes dans une situation pareille réponse pour ADE chaque chose a sa place Au lieu de donner trop d’importance au festival du rail alors que le problème de l’eau impure demeurait dans nos robinets depuis plus d’un mois j’appellerai ça c’est de la politique et personne ne doit parler il faut laisser MAMI chanter, le payer frais de commission sous LA TABLE après on verra ce qu’on peut faire de l’argent qui reste (errai ettalaf ouine daini nachrob el mae khanaze mel robini ) .
Qui prouve que ce ne sont pas les bassins de traitement qui ne sont pas moisi, pourquoi tous ce silence après tant de semaines ?
Qui peut qualifier cette négligence comme mauvaise gestion ? La prévention est une nécessité sociale qu’elles ont été vos interventions ? Pourvue que l’eau est potable le reste on s’en fou ! IL est préférable de s’arrêter ici il y a boire IfRI, SFID et à manger sur LA TABLE et chanter pour ne pas voir et oublier. Pour terminer l’image de oued makarra reflète celle de ses responsables ! qui peut m’éclairer ?
Le système d’approvisionnement en eau potable dans notre wilaya est subordonné à une odeur et un gout désagrable ce qui signifie que l’eau qui arrive dans nos robinets n’est pas douce.Il existe des composés organiques et inorganiques qui sont à l’origine de ce désagrément qui devait étre traité afin que cette eau devienne et convienne à la consomation humaine; Aprés SAIDA IFRI SFID nous voici devant une attente déclarée de la part de nos hydrauliciens à savoir plus de dix mois pour que le problème soit réglé entre autre Si ce léger goût ou cette odeur vous déplaît, . Il est également possible d’utiliser des filtres au charbon pour éliminer le goût ou l’odeur, toutefois ces derniers doivent être soigneusement entretenus.voici une solution pour remplir les caisses de ces vendeurs de produits s’il est disponible sinon l’importer .A QUI LE TOUR !
Il est difficile de convaincre les habitants touchés que l’eau est bonne à boire , elle n’a pas bon gout et elle ne sent pas bon , si l’on s’en tient à ce que prévoit la règlementation algérienne l’eau doit être claire , limpide, équilibrée en sels minéraux et agréable à boire se pencher sur le gout de l’eau sur l’agrément qu’elle procure au consommateur. La présence d’une odeur avec mauvais gout dans l’eau potable est presque infailliblement le signe d’une forme de pollution de la source d’eau ou d’un dysfonctionnement à l’une des étapes du traitement ou de distribution Le gout et l’odeur qui arrivent avec l’eau dans nos robinets proviennent de la source de la station de traitement il y a une responsabilité en chaine .