Comme à chaque mois de ramadhan, la consommation du lait pasteurisé connait une augmentation vertigineuse qui fera surgir sur les surfaces des défaillances et problèmes toute l’année négligés. En effet l’intensification de la consommation de ce produit de grande nécessité pour les familles démunies met en exergue le manque considérable de distributeurs, qui, selon GIPLAIT n’est que de 15 camions afin de couvrir toute une wilaya qui s’étend jusqu’au extrême sud ouest, Ras El Maa ex Bedeau entre autre.
Le groupe industriels des produit laitières (GIPLAIT) et d’ailleurs comme la majorité des communes dont ce produit arrive rarement, sinon difficilement, sont loin d’être satisfait de cette déstabilisation qui pénalise en premier lieu le consommateur d’une manière ou d’une autre.
Ainsi, le lait de sachet distribué en ville et profitant de cette demande croissante, les distributeurs profitent de cette situation pour s’épargner des déplacements inutiles de grandes distances, et meme s’il arrive que ces camions prennent le chemin vers ces communes éloignées telles celles de Telagh, Tabia ou encore Ras El Maa qui se trouve à plus de 90 Km ,il en demeure que ce lait, exposé à une chaleur atteignant les 40 degrés pendant le trajet, arrive certainement aux consommateurs tout autre, sauf lait
Ceux qui pousse désormais à dire que la quantité de lait produite, même si elle parait suffisante, connait malheureusement des secousses à fortes tendances dans la distributions qui parait dans ce mois sacré loin de tout calcul au préalable afin de veiller à « l’equitabilité » des droits des citoyens.
Il était 9 heures du matin quand j’ai croisé un camion GAK en arret surement en panne il s’agissait d’une crevaison il etait chargé de caisses de lait à découvert son itinéraire depuis cette unité jusqu à sidi jilali exposé au soleil par une hausse de température depassant les 30° franchement j’ai été stupéfait sachant au départ que ce produit comment et sous quelles conditions va t’il etre livré. allons nous consommer un lait frais j’epère que non il sera décomposé aigre,.les règles de l’ignorance font partie de ceux qui négligent nos valeurs; nous avons certaines qualités de distinguer le bien du mal je ne suis pas content notre éducation est ancrée par rapport à ceux qui l’ont dans leurs sabots qu’y a t’il dans ce famaux cahier de charges?.En effet MR Djilali.T votre sujet est objectif il est à l’origine d’une denonciation de liberté aveugle et muette que faire d’elle si elle deguisée , elle est menacée est devenue ennemi de l’anarchie d’où la règlementation n’est que titre sur papier la prévention n’est plus necéssaire elle trébuche de jour en jour. On sens la menace lorsqu’on prive le cityoen de ces droits , lui oter la moralité à ses actions abuser de notre santé qui est outragée de jour en jour ce que je conclus certains opportunistes sont propres de corps et sales d’esprits qui ne cherchent qu’à nuire ;notre société n’arrive plus à accepter ce mode de vie.Avons nous le courage d’éliminer ces fleaux !hélas nous sommes endoctrinés par le silence mais accepter ce qui nous est imposé est considéré comme demande le rai et ce lait sont tous deux laids .la vérité rendue exclave accisée par le mot NAMIMA c’est pour la tuer, tout est entrain de périr y a t’il une issue!camions frigorifiques ENSEG pourquoi ne pas l’exiger aux livreurs.