La fraude derrière,…les islamistes devant,…l’ironie du choix

La phase finale d’un système semble frapper à la porte. On a compris le système, le système sait qu’on a compris son système,… sauf qu’il veut toujours y croire dans sa façon de nous faire rouler encore, ne serait-ce que pour une dernière fois. L’antidote de la coalition a perdu son efficacité avec les mensonges à travers les années.

Un jeune homme, tout en joie, a dit à son père « mon cher papa ! Je vis dans un village avec des mensonges »…. Mon fils ! «  Il viendra le jour où même en disant la vérité, on ne te croira jamais ».

Coalition ! …pourquoi ne pas dire famille pour mieux comprendre et peser la valeur réelle des membres, leurs sentiments, leurs degrés de responsabilité, leurs sincérités.

En comparant la coalition dans le sens famille politique à celle d’une vraie famille où l’amour dans tous ses états règne, on s’aperçoit que c’était un vulgaire passage qui a enfoncé d’avantage le pays dans l’incertitude. Et puni le citoyen de régression.

Comment peut-on expliqué que des frères deviennent du jour au lendemain des ennemis même si dans leurs déclarations on cherche toujours à cacher un ciel dans l’ironie.

Parfois, on n’est pas obligé de dire à quelqu’un qu’on ne l’aime pas. Ça se sent à travers des comportements, qu’ils soient verbaux ou gestuels…. Dans ce cas, les intérêts sont mêlés à la politique, la politique à son tour, donne du pouvoir pour préserver ces intérêts, la vision alors change totalement.

La famille n’existe pas, ce qui inclut une absence totale de l’amour et présence de tout autre moyen purement POLITIQUE qui conserve en exclusivité la gouvernance… Au diable le citoyen.

L’ampleur des fraudes électorales a laissé des séquelles.  Le citoyen a acquis à travers les années une expérience, dont-il ne tient plus revivre une énième fois. Devant cette position de méfiance, la fraude est analysée comme une bombe qu’il faut éviter.

Mais, le problème reste toujours non résolu.  Comment s’accrocher à la chaise sans éveiller de soupçons devant ce gardien ? ….. Créer une confusion ! ….avec qui et comment ?

Faire de la propagande,… surtout, pas avec les présidents des partis !…le citoyen a fini de croire dans ces mouvements. Alors !…Ould Kablia fera l’affaire. Il commence d’abord dans l’ironie que les islamistes n’ont aucune chance dans cette course. Pour rappeler à ceux qui ont oublié la décennie sanglante de tourner le dos sans y penser. De cette façon, vous aurez devant, un monstre, et derrière vous, un autre monstre…. Entre nous !… Vers lequel préférez-vous allé ?

On peut frauder en glissant des bulletins dans les urnes. Cette pratique est dénoncée et fera l’objet d’une vigilance. Mais, vous faire renoncer d’aller vers le monstre en vous ouvrant la porte du retour à la cage piégée reste possible et d’une grande probabilité.

Vous voyez ! …Le système peut ne pas frauder comme il a l’habitude, mais il peut toujours créer une façon pour rester dans le palais en obligeant  à admettre ce qui est derrière au lieu de se jeter vers ce qui est devant.

Le vent des élections approche. La météo de la coalition en délocalisation nous annonce un nuage révélateur jamais vu auparavant. Une tempête qui va certainement obliger les frères politiques à jeter leurs dernières cartes déjà connues et permettre un transfert dans le calme vers de nouvelles figures et une nouvelle communication basée sur la franchise.

3 thoughts on “La fraude derrière,…les islamistes devant,…l’ironie du choix

  1. Mr Jilali.T vous avez évoqué plus haut d’une manière objective un régime sur le point de mettre en évidence un peuple qui n’arrive plus a connaître qui le gouverne une épreuve une fois de plus à traverser Les partis politiques font la courte échelle à leur rivaux potentiels. Lorsqu’un régime procède à des réformes politiques destinées à autoriser le multipartisme sans pour autant que la volonté de ses dirigeants ne se mette en diapason sur des réformes introduites , la répression politique est amenée à s’amplifier pour neutraliser toute éventuelle recomposition des forces politiques tant que le système supporte les tensions .du régime du parti unique sur la scène qui semble maîtriser les moyens qui lui permettent de gouverner à sa manière la mainmise totale sur la gouvernance sa façon de faire avec les partis coalisés (FLN – RND ) semblent échapper aux persécutions .l’échec devant les partis à étagères vides qui est quasiment mis en accord uniquement pour préserver ce qui reste alors que la coalition a l’assurance de ne pas partager et de tout garder . celle-ci a suffisamment de ressources pour faire fi de toutes les dénonciations aussi importantes soient t-elles relatives à la dérive .puisque qu’ils considèrent l’avis du peuple comme roue de secours ayant le bon sentiment de ne pas être. Les personnalités politiques les plus connus en particulier se seront plus en mesure d’échapper aux persécutions s’il y a lieu de sanction dans n’importe quel camp .
    CELUI QUI PARLE PAYE UN DINAR CELUI QUI CE TAIT PAYE AUSSI UN DINAR QUE FAIRE DONC ?

  2. Tout a une fin et, comme le dit un proverbe arabe: «la corde du mensonge est courte». Une coalition ne peut durer qu’un temps; surtout si elle est hétéroclite. Il est vrai que l’Algérie a beaucoup régressé mais «eux», ils diront le contraire. Parce qu’ils veulent garder la «chaise». Cette chaise qu’ils adorent. Peu importe s’ils doivent retourner la veste, qu’on les laisse collés à leur chaise c’est tout ce qui compte pour eux. Le peuple constitue le dernier de leurs soucis. Ce qui prime chez eux, ce sont leurs intérêts et ceux de leurs proches et des milieux qui les soutiennent. Ils nous ont roulés maint fois et ils sont toujours à la recherche d’un «truc» inédit pour nous rouler une énième fois. A semer des mensonges, on récolte des chardons? Pire: notre cher pays a récolté le chaos et la confusion. Mais l’Histoire de notre pays les sanctionnera en les faisant figurer sur l’une de ses pages les plus ternes.

  3. Apprendre, appliquer et transmettre.

    Souvent, on entend quelqu’un dire :
    – Pour me sentir mieux, les choses devraient changer.
    Or pour que les choses changent, il faudrait que nous changions nous-mêmes. Notre erreur fréquente est de croire que le fait de savoir une chose va produire un changement. Non, ce changement ne viendrait que si l’on mettait en pratique ce que l’on sait. Car l’absence de pratique laisse notre savoir inopérant.
    Pas mal de gens réussissent à changer complètement leur vie seulement parce qu’ils savent appliquer assidûment le peu de choses qu’ils apprennent.

    A propos de tout cela, le Coran nous donne une image édifiante :
    «L’image de ceux qui ont été chargés de mettre la Torah en pratique et qui ne l’ont pas fait est celle de l’âne qui porte des livres de grande Valeur.» (S.62-V.5)
    Un âne supporte la charge des livres de valeur qu’il porte mais il n’en tire aucun profit. De même pour ceux qui sont au courant des prescriptions de Dieu et de Ses interdits et qui ne les mettent pas en pratique. Primo, ils ne tirent aucune récompense de leur science; secundo ils supporteront la lourde charge de leur manquement à leur devoir de propagation et d’application.

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