L’affreuse image n’est offerte en exclusivité qu’aux infortunés habitants des étages supérieurs des immeubles limitrophes de la placette. L’endroit d’un étage élevé du 1er et plus, procure une vision intime des fantaisies des couples qui fréquentent l’endroit sans tenir compte du spectacle avilissant, et surtout patent d’engendrer à tout instant un drame subodoré.
Le paysage est surtout choquant offrant des flirts sincères et des comportements hors commun qui touchent les sensibilités, vu que des parents et enfants sortent aux balcons pour divers raisons, et sont surpris d’une ‘’mi-nudité’’ à ciel ouvert. Les libertés sont agressées nous confit certains.
Les petites murailles qui constituent des espaces de terre envahies par l’herbe folle, pour ne pas dire vert, l’herbe sauvage remplace le gazon et les arbustes, à cette image l’autorité confit son incapacité de bien évaluer la nécessité d’un environnement sain et son impact sur le citoyen, un laisser aller qui encourage à la dérive.
Les colonnes bien dressées aux deux lisières sur la partie haute de la placette, et des bancs en formes d’escaliers offrent une identité artistique, procurant un théâtre de verdure aux besoins des festivités estivales, deviennent malheureusement une cachette idéale pour les jeunes qui s’adonnent à la toquade, et à la cerise de la boisson alcoolisée et des joints indiscrets. Cela se passe même le jour, révèlent des riverains.
L’endroit est en réalité utilisé pour des détentes en famille, aussi à des besoins de fêtes les nuits de mois de ramadhan et les longues nuits d’été pour animer le théâtre de verdure par des festivités de dance nationale ou internationale, des soirées arrangées (chansons ou autres) dans le cadre de l’activité culturelle. Des crémeries au milieu qui ne fonctionnent qu’occasionnellement deviennent aussi utile à ces agissements de débauches démesurées. De la rue, les petites murailles et le reste des sculptures empêchent la vue et procurent des coins d’isolement idéal pour ces jeunes qui s’habituent de plus en plus.
L’espace a été prévu à entreprendre une ligne à vocation d’utilité publique, à s’évader des moments afflictifs de la routine, servir de poumon créateur d’oxygène par sa superficie non négligeable, des espaces verts qui s’étendent à mi-chemin du siège de la daïra jusqu’aux bâtiments wiam.
Avec le temps, il a perdu de son image et de son gout de loisir, de son attraction. Le gazon a complètement disparu laissant l’herbe sauvage prendre le règne par sa folie comme dans les champs. les employés qui étaient par dizaine à s’occuper de l’entretient et le gardiennage ont eux aussi pris la poudre d’escampette, et salut le temps de la dégringolade. Les familles qui trouvaient du plaisir à sentir la fraicheur des nuits ont rompu avec cette habitude qui leur manque vraiment. Du moment, que la placette reste l’unique endroit au grand quartier de sidi Djillali, ou l’on peut s’asseoir avec sa famille quand la chaleur atteint son pic la saison de l’été.
Des habitants craignent l’affrontement imprévu avec ces jeunes en majorité équipés d’armes blanches qui n’hésiteront pas à les utilisées pour exhiber leurs bravoures devant leurs compagnes. D’autre préfèrent refuser d’admettre qu’il y a réellement gène et font l’aveugle, refusent de voir ce qui choque du moment qu’ils n’ont pas l’autorité. L’absence des rondes de police à l’intérieur de la placette à fait le panache, ces jeunes ont fait de cet endroit un lieu de rendez-vous, que certains habitants le nomment aujourd’hui « place des amoureux ».
Des gens nous ont fait part, que, si les autorités compétentes n’interviennent pas, des crimes pourront avoir lieu à tout moment par simple vertu ou honneur de certains locataires qui n’en peuvent plus de voir et laisser voir leurs enfants ces images scabreuses qui agressent nos coutumes et traditions, fragilise le respect familiale. Il est à craindre pour des enfants, des jeunes filles surtout cette extravagance qui détruit nos mœurs « des corps à moitié nue vus du balcon et des contactes érotiques qui nous obligent la plus part du temps à choisir de fermer les fenêtres et le balcon » nous confit un locataire marié qui a préféré gardé l’anonymat.
Djillali T
Mais de quoi les minus Créatus vont se plaindre maintenant, puisque c’est le fruit de leur projet de société, un projet certes, plagié mais les conséquences sont bien là et nous allons encore en avoir plein les yeux et plein la gueule….!!! ‘W Mazel El Khir El Goudem’….!!!
Avec tous ces maux, et certains persistent dans l’erreur et font semblant de ne pas connaître les causes de cette grande vadrouille…!!! Vous ne voyez pas encore le fond du gouffre…??? Pourtant, il commence à être bien visible…???Allah Yjib El Khir Ya 9awm Toubbe3…!
Merci Mr Djillali T pour le travail que vous faites…!