La “Réhabilitation” du jardin public à travers des incendies volontaires d’une végétation en péril,dans une zone semi aride.

jardin public n°2 jardin public n°3

 

Des photos prises ce matin le 22 juillet 2015 au niveau du jardin public. Des ouvriers entrain de brûler les arbres coupées. Une opération qui se déroule dans un parc boisé, et ce contraire à la réglementation régissant la protection de l’environnement.Des incendies volontaires,entrepris durant une période caniculaire,qui mettent en péril ce qui reste comme flore dans ce lieu mythique,un non sens dans une zone semi aride qu’est la région de Sidi bel abbes. Une entreprise dite “professionnelle” dans l’aménagement des aires boisées destinées à la protection de la faune et de la flore. Nous soumettons ces images à l’appréciation des spécialistes sans citer de noms(environnement et forêts) qui se targuent de superviser les travaux de cette pseudo-société et qui ont de surcroît approuvés les méthodes utilisées dans le défrichement sauvage de notre jardin botanique. Aux responsables de méditer le procédé d’élimination des arbres abattus. Seule l’histoire jugera le bien fondé des cris de désespoir concernant la mise à mort préméditée du jardin public de la ville à travers des travaux contre nature dénaturant l’aspect botanique de ce lieu séculaire,repère incontournable de l’histoire de la ville.

(2 commentaires)

  1. Bonjour.
    Bonjour.
    Un ami m’a demandé de consulter un quotidien pour apprécier les propos d’une personne chargée de superviser les travaux du jardin public.Ainsi, j’ai de suite compris que la source des feux provoqués au niveau de l’espace boisé (jardin public), est bien cet individu. Forestier (3é collège) , il traîne avec lui une déformation professionnelle à savoir , « voir que du feu ». Il est tout heureux de servir la personne qui l’a désignée. Pour terminer, je lui dirais tout simplement, de s’occuper sérieusement de la commission de l’urbanisme et faire appliquer illico-presto les arrêtés de démolition qui se trouvent dans son tiroir.

  2. C’est quand même inquiétant pour une entreprise censée réhabiliter le jardin public, voilà qu’elle brûle les résidus d’élagage in situ ( dans le jardin à proximité de la flore verte en ces temps caniculaires), l’entreprise ou du moins l’APC dispose de moyens pour la collecte et devait les mettre dans les déchetteries, c’est vraiment désolant et insensé.

Les commentaires sont fermés.