Le ministre des Ptic : Le meilleur reste à venir

 Le ministre a ,en marge de  la visite, improvisé  une conférence  de  presse au cours de laquelle il a répondu aux questions des journalistes. En réponse à une question portant sur les chaines interminables devant les guichets de poste,le ministre  avoue à demi mots  l’impuissance  de son secteur non sans mettre en cause d’autre secteurs mais sans s’étaler sur la question; a promis tout de même que cette problématique    sera réglée incessamment.  Quant aux problèmes récurrents  des pannes constantes des GAB et DAB ( guichets  et distributeurs automatique des billets), le ministre a fait savoir que les pannes sont d’ordre national et ne relèvent pas de l’autorité  d’Algérie poste . Il y a d’autres secteurs qui sont chargés de la réparation et de la maintenance . S’agissant du faible débit constaté il y a longtemps  dans la wilaya, le représentant du gouvernement reconnait toutefois cette tare et ne cache pas son souhait de voir les prestations s’améliorer davantage. Il a promis de mettre fin à ce problème avec la  mise en place des providers  de grande puissance.   En guise de conclusion, monsieur BENHAMADI qui fut interpellé, tout au long de sa  visite, à tout bout de champ par des jeunes chômeurs ou encore de licenciés de leur poste de  travail,  a affiché clairement son ambition de révolutionner ces deux  secteurs traversés  par  une litanie de problèmes.

One thought on “Le ministre des Ptic : Le meilleur reste à venir

  1. – A propos des chaines interminables devant les guichets de poste: que veut-on? Allah Ghâlib! Ils vont essayer de régler ça.
    – Concernant les pannes constantes des GAB et DAB, ce n’est pas uniquement de leur ressort! D’autres secteurs sont chargés de la réparation et de la maintenance.
    – S’agissant du faible débit constaté dans la wilaya, on ne nie pas la réalité du problème et on exprime le souhait de voir les choses s’améliorer.
    – Pour les autres problèmes, tout le monde devrait être rassuré: on va RÉVOLUTIONNER le secteur.

    Et voilà donc, c’est à nous maintenant d’APPRENDRE l’art d’espérer.

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