Il semble que les représentants du CNES au sein des commissions paritaires et/ou de disciplines, sont là justement pour veiller en premier lieu sur la préservation des droits et devoirs des travailleurs de l’enseignement supérieur et, ne sont surtout pas caution des irrégularités manifestes qui mettent en péril la moralité et la probité de l’université. Il semblerait même contre toutes attentes, que les représentants syndicaux aient pris parti en faveur des contrevenants et, se sont rangés du coté des fraudeurs ce qui est par le moins, une énigme à lever . Nous n’étions pas au bout de nos peines, et la surprise nous vient du coté syndical qui n’ose se prononcer sur un dossier malheureusement limpide, et couvrir de ce fait les contrevenants, équivaut à une dérobade qui cadre mal une gène inexplicable. Faire passer des intérêts corporatistes, avant les intérêts de la communauté universitaire, c’est là un comportement que nous avouons ne pas comprendre. A moins qu’il y ait dans ce marécage nauséabond,un échange de bons procédés entre les acteurs de cette mascarade au détriment du prestige de l’institution universitaire.