C’est, en effet, ce que fait ressortir le communiqué établi après la réunion qui a rassemblé plusieurs postiers ce vendredi passé 07 novembre 2014.
Après avoir procédé dans un premier temps à l’opération du renouvellement de la composante et conclu à la ratification de l’adhésion du SNAP à la CGATA (confédération générale autonome des travailleurs en Algérie), les nouveaux membres du conseil national provisoire du syndicat autonome des postiers (SNAP) se sont montrés déterminé de sortir du silence asphyxiant faisant connaitre que désormais le temps est à l’action.
Pour ce faire, le SNAP appel les postiers à bannir définitivement le spectre de la résignation et se mobiliser pour faire valoir leurs droits par l’organisation de sit-in périodique devant le siège du ministère du travail jusqu’à l’obtention du récépissé d’enregistrement. Avant cela, le nouveau conseil appel tous les postiers sans exception à se préparer pour une action d’envergure d’ici la fin de l’année dans l’éventualité ou les revendications demeurent négligés.
Le conseil dénonce l’incurie de la direction générale et des pouvoirs publics face à la déliquescence qui règne dans le secteur de la poste, affectant de la sorte la stabilité générale de l’entreprise. Aussi le mépris affiché envers les postiers malgré tous les appels légitimes à un dialogue réconciliant.
il accuse par ailleurs les autorités du secteur à entreprendre la sourde oreille vis à vis les préoccupations socioprofessionnelles légitimes des employés du secteur de la poste qui se trouvent pénalisés injustement par un bridage du champ des libertés syndicales par l’exercice de persécutions sur les employés, particulièrement les membres du SNAP.
Djillali T
au japon ou la culture du travail est une religion,
au lieux de faire gréve de travail, ils font noyer l’entreprise par
les produits…
S’ils font une gréve de travail chacun prendra sa sacoche et allez distribuer le courriers..ce n’est pas mieux??
Sinon il nous reste qu’une bonne solution de quoi faire un peu d’argent. Appelé un huissier de justice pour constater l’envoie d’un document. Une fois n’est pas livré le document contenait des ordonnances médicales sans livraison du courriers, le malade avait fait des complication. …et chacun demandera des dommages et intérêt devant la justice..