C’est en plein ville que le train n’arrête pas d’ôter des vies de paisibles citoyens qui se trouvent contrains de cohabiter avec ce monstre de fer. À sidi Djillali plus précisément, les rails sont à peine à quelques mètres des habitations, à servir parfois d’endroit de jeux pour des enfants.
Des enfants, des plus âgés des deux sexes et des vieillards se trouvent obligés de traverser ‘’la rue de l’infortune’’ pour déférentes raisons quotidiennes.
Le drame est devenu courant sauf contrainte d’intervalle de temps, le train tue et l’on compte nos morts avec une indifférence incroyable, aucun signe d’inquiétude n’a été manifesté par les autorités. Pourtant d’après des indiscrétions, un projet de pose de murs de protection devait avoir eu lieu en 2013 avec une enveloppe d’un montant conséquent.
Dans l’attente, ajoutant que ce mercredi matin, le train vient de frapper encore une fois de plus à sidi Djillali juste devant les bâtiments EN NASSR en pleine agglomération. La victime, un vieux âgé de 72 ans, probablement peu agile et d’une ouïe affaiblie par l’âge n’aurait entendu le train qui venait de la wilaya de TLEMCEN en direction d’ORAN qui l’a touché d’après certains témoins au flanc de la tête.
La victime fut transportée à l’hôpital Hassani AEK dans un état critique mais encore en vie pour des soins intensifs. L’on apprit après que le vieux ne pouvant surmonter le choc brutal de cette masse de fer, a perdu la vie le jour qui suit, jeudi 20 février 2014.
Djillali T