Le siège du rectorat de l’université Djillali Liabes (ITMA) qui comprend en plus des étudiants de la filière de l’environnement, ceux de l’agriculture et de la biologie avec toutes ses spécialités. Ces derniers étaient avant à la FAC centrale au quartier de Gambetta. Sa position géographique arrangeait les étudiants et le transport ne faisait pas défaut.
Depuis leur affectation à l’ITMA dans le cadre d’une réorganisation dans le secteur de l’éducation supérieur, les étudiants vivent une interminable pénurie en moyen de transport. L’institut se trouve à la sortie sud de la ville en dehors des agglomérations en direction de la daïra de SIDI LAHCEN presque dans ses frontières dans un coin totalement retiré. La sécurité des lieux devrait préoccuper les autorités aux fins d’anticiper des imprévus fâcheux.
Le transport n’a pas été prévu en concomitance, aucun bus ne va dans cette direction. Les étudiants se trouvent affronté journellement avec une maigre bourse de 4000 dinars à courir derrière un transport qui se fait désirer, résignés aux arnaques de taxieurs sans vergogne.
Le seul transport qui existe est réservé aux habitants de la daïra de SIDI LAHCEN et prend départ de l’agence de faubourg-Thiers qui est aussi à la sortie de la ville à proximité de l’ITMA.
Ainsi de nombreux étudiants sont quotidiennement sanctionnés dans l’indifférence. Ils sont de différents quartiers de la ville, notamment de celui de Sidi Djilali, ben hammouda, el wiam, le rocher, Gambetta, la Bremer et Sidi Yacine. Les distances ne sont pas de bon gout pour ces taxieurs qui affichent un niet catégorique d’aller vers cette direction prétextant que le trajet vers cet institut est très loin et insuffisamment taxée par les services du transport.
Si jamais ils acceptent, en l’absence d’un bus comme pour le CAMPUS et la FAC centrale, c’est une faveur qu’ils font croire rendre, ainsi la course est haussée sans gêne ni crainte parfois jusqu’à 200 dinars dépassant de la sorte le double du prix de la course qui est à 80 dinars. Devant l’obligation d’être à temps pour suivre leurs études, les étudiants de grande majorité filles qui craignent qu’on leur refuse le transport acceptent une surtaxassions qui dépasse tout entendement. Ils sont sommés par des taxieurs free-lance sans vergogne et ceux des entreprises privés de payer allée- retour contre leur gré des prix pas affichés dans le tarif au delà de leur capacité financière.
L’on apprend que le collectif des étudiants a adressé une requête aux autorités concernées afin de résoudre ce problème qui dur depuis la rentrée et présente un réel obstacle au bon suivi de leurs études par l’affectation d’un bus sachant que les étudiant sorte jusqu’à 17 h.
Il est aussi rapporté dans cette correspondance que les autorités doivent rappeler à travers leurs institutions, notamment les services de sécurités que le taxieur devrait observer certaines règles de conformité à cette fonction à intérêt public : le respect du client, l’amabilité, l’éducation et la bonne conduite, la propreté du véhicule, le savoir écouter, la passion pour le travail en étant au service du client et enfin respecter les tarifs édictés par les services de la direction du transport.
Djillali T
Nota bene : Illogisme oblige ! Les « autres » étudiants résidants dans les cités universitaires ont leurs propres « bus ».Donc un « SANS » problème ! N’est ce pas ! Par contre, les étudiants résidents dans les différents quartiers de la ville de SIDI-BEL-ABBES ont un « GRAND » problème ! Différenciation ou Discrimination ?
La pluie n’existe pas parce qu’il existe des parapluies. Cela signifie qu’on confond en inversant la cause et la conséquence.
Conclusion : Voilà pourquoi le sujet est un problème ou plutôt le problème est un sujet.
la blabla de toujours pour passer le temps. toute ces conséquence sont le résultats de ceux qui font les choses en cachette. si au départ la création d’une chose passe par un séminaire et ou tout les intéressés sont convié, il n y aurait pas ce gachis. C’est devenue une règle genarle meme au gouvernement qui fait fit des avis des élus. Un medecin entre un matiin trouve par exemple un maçon entrain de creuser » que faite vous dit le médecin » le maçon dit »on m’a dit de construire » et vous construisez quoi??
»je ne sais pas » le médecin va vers la direction il veut savoir un peu plus. personne ne sait rien. Après 6 mois en rentrant il découvre quelqu’un installé dans cette pièce » il lui demande 44mais que faite vous ici a l’intérieur de l’hôpital??. il ».je vais ouvrir un restaurant pizza’ezt j’ai acheté la location de la nakaba..’…
allez l’UGTA et le CNES levez vous passer le film de bila houdoud
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Dernier paragraphe supprimé par L’ADMINISTRATEUR
(Il N’y aurai pas de suppression la prochaine fois)