Les évenements de la semaine !

Lors de sa visite en Algérie : François Hollande fait une halte à la place Maurice Audin d’Alger
Extrait de “blog.lefigaro.f”
Entre la visite du cimetière Bologhine et celle au monument des martyrs, François Hollande s’est rendu sur la place Maurice-Audin (Crédit : Mel. M) pour se recueillir à la mémoire de ce mathématicien de 25 ans, communiste, qui militait pour l’Algérie indépendante. Arrêté par les paras français en 1957, en pleine bataille d’Alger, puis torturé, son corps n’a jamais été retrouvé. Josette Audin, la veuve du militant de la cause nationale Maurice Audin, avait plaidé pour une “condamnation ferme” de la France de l’assassinat de son époux en juin 1957 par les parachutistes, ainsi que de tous les crimes perpétrés en Algérie pendant la colonisation. Elle a donc jugé “insuffisant” le discours du président français. “Je n’apprécie pas du tout son discours qui me semble le minimum du minimum du minimum de ce qu’il aurait dû faire”, a déclaré la veuve de Maurice Audin. “Le mot torture a été prononcé entre deux ou trois autres, mais en passant très vite alors qu’il aurait été bien qu’il ne passe pas sous silence ce genre de choses hautement répréhensibles”, a-t-elle ajouté.Josette Audin, veuve du militant de la cause nationale Maurice Audin, avait plaidé pour une “condamnation ferme” de la France de l’assassinat de son époux en juin 1957 par les parachutistes, ainsi que de tous les crimes perpétrés en Algérie pendant la colonisation.

*********************************
Les us des Tlemceniens sont bousculés.
“Tlemcen, en l’espace d’une quinzaine de jours, n’a jamais autant été cadenassée, sécuritairement parlant, tant la ville grouille d’agents de sécurité en uniforme et en civil. Le citoyen lambda, quoique habitué à ces manèges, au vu de toutes les manifestations internationales qu’elle a abritées ces derniers temps, ressent une certaine “panique”
Pour illustrer cette situation kafkaïenne, un habitant caricature “C’est la première fois de ma vie que je vois plus d’hommes à l’oreillette que de platanes. Je ne vous cache pas que, depuis trois jours surtout, je me surprends de marcher sur la pointe des pieds; c’est comme si j’étais soupçonné de trouble à l’ordre public ou quoi que ce soit, mais, cela est un sentiment seulement…” tient-il à préciser. “Quand on voit que même les feuilles d’arbres ont été repeints, l’on se dit que les choses ne tournent pas rond “.
Extrait El watan
*******************************