Les habitants et les passagers dans la cité « El Houria » (ex clo) respirent à longueur de journée la poussière dégagée par les tranchées creusées dans le cadre de la rénovation du réseau hydraulique tout le long des voies publiques non achevées par le goudronnage des ruelles qui devait signifier la fin d’une partie du chantier: « Nous subissons l’agression des poussières en permanence, des qu’il y a du vent, lors du passage de tout véhicule etc etc » diront des citoyens du voisinage. Ils se posent la question « à quand les travaux seront terminés dans cette cité que l’on croyait, libéré des anciennes contraintes ?».
Nous constatons par malheur pour le citoyen que des inondations et un gaspillage en eau est outrageant, lorsque l’essayage de la mise en circulation de l’eau est déclenché, pour le simple bonheur des enfants insouciants du tord causé et qui n’y trouvent qu’un moyen pour se rafraichir.
La citée El Houria parait aujourd’hui comme un grand douar ou un chantier à ciel ouvert entamé et inachevé. Ces poussières selon les médecins du centre de santé polyvalent peuvent contenir des bactéries et autres organismes très nuisibles pour la santé des organismes fragiles. La nocivité agressive de ces poussières, qui pénètre au sein des domiciles des habitants selon leur concentration, des quantités très faibles suffisent pour créer un danger réel pour le population. En l’absence de suivi de l’exécution des travaux selon les plans de charges, nous continuerons à vivre ces états de chose en toussant et mettre cela sur le dos de grippe inexistante.