Lettre ouverte à Monsieur le ministre de l’habitat

je suis triste et laid de constater le nombre d’aberrances sur cahier des charges type relatif aux concours d’idées pour le logement, élaboré par le ministère de l’habitat , véhiculé et manipulé sans persévérance par les OPGI , La première de taille est relative à la préservation de l’anonymat des concourants, rien n’est laissé au hasard, sauf l’essentiel, en effet on s’attarde et on s’acharne pour que ce soit l’autre qui assume (le concurrent) , le format de présentation, le type de police d’écriture , la taille ,le type ; la nature et le contenu du cartouche , l’encadrement de chaque planche graphique , et on s’est même permis de dénaturer la nature même en imposant le noir absolu comme seul mode de présentation du graphisme, de quoi ai-je vraiment envie, pleurer crier, dénoncer, gueuler ou me taire tout simplement pour dire assez ! Si fraude il y a, c’est de l’autre côté des décors qu’il faut chercher : pourquoi donc tout simplement ne pas nommer un jury neutre, indépendant, impartial, toujours renouvelé, l’anonymat devrait être préservé du coté des membres du jury et noms du côté des concurrents. Comment peut-on imaginer qu’un architecte en face de tant de barricades chaque fois renouvelées et multipliées puisse réfléchir pour ne pas dire concevoir dans la plus simple expression de la dignité. Dans cette affaire du bâti M le ministre, certes Nous ne somme pas des anges, pas des diables non plus, mais simplement des citoyens en quête du bien être du mal logis, nous sommes ceux qui souffrons le plus dans un milieu urbain sal, mal réfléchi, dénaturé et mal géré ! Faites confiance aux jeunes peu expérimentés, ne les éliminez pas au premier tour SVP, c’est en eux que végète le génie !

Gharib Architecte

Un commentaire

  1. merci d’etre reflichis de cette façon , vraiment notre ministre à oublier l’important est entrain de changer les choses inchangeable , le code des marchés, les cahiers des charges …..
    tout temps oublier la qualité architecturale, la qualité urbaine …

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