Lu dans la presse: “Le P/APC de Dhaya sous contrôle judiciaire” ; “La société belge ‘’Prefarail’’ tarde à s’installer” ,

SIDI BEL AB/BES : Le P/APC de Dhaya sous contrôle judiciaire
L’actuel P/APC de Dhaya, 60 km au sud de Sidi Bel Abbès, a été placé sous contrôle judiciaire, dimanche dernier, par la juge d’instruction près le tribunal de Sidi Bel Abbès, a-t-on appris de sources fiables. Le maire, d’obédience R.N.D, est accusé par des membres de ladite A.P.C, d’abus de pouvoir, de faux et usage de faux sur un bail de location et des falsifications portées sur le registre de délibérations. Le mis en cause, des agents ainsi que des membres, ont été, à maintes reprises auditionnés par le juge d’instruction.

M. N (Réflexion du 28 Mars 2017)
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REDJEM DEMOUCHE (SIDI BEL ABBES) : La société belge ‘’Prefarail’’ tarde à s’installer
Après avoir attendu depuis longtemps l’arrivée de la Société belge “Préfarail”, spécialisée dans la réduction des bruits et des vibrations ferroviaires désagréables, plusieurs habitants, notamment des demandeurs d’emploi de Redjem Demouche, chef-lieu de commune pastorale, située à 100 km au sud-Ouest de Sidi Bel Abbès, sont sortis de leur mutisme. Ils ne cessent, par le biais d’une lettre collective dûment rédigée et signée, de s’inquiéter sur le grand retard accusé par cette entreprise étrangère, connue mondialement en matière du nouveau système des voies dites noyées, basées sur la jaquette antivibratoire, la conception de palettes, ralentisseurs et d’avaloirs, le tout en caoutchouc, provenant des pneus usagés, à récupérer de l’ensemble des wilayas du pays. ”A l’annonce du fameux projet, inscrit dans le cadre d’un ambitieux programme centralisé et pris en charge par l’entreprise régionale du génie rural du Sersou (Tiaret), diront-ils, des centaines de jeunes et de pères de familles, en quête d’une éventuelle embauche, ont constitué des dossiers, dans l’espoir d’être retenus…mais en vain, trois longues années se sont écoulées et la société n’a toujours pas élu domicile, on ne sait pour quelle raison”. Nous souhaitons donc que le wali, affecté tout récemment, y prête attention”. Le représentant de l’entreprise en question, Mr.Edouardo Souares, justifie ce retard, “par les travaux de viabilisation qui ne sont jamais réalisés dans la zone industrielle de Ras-El-Ma, chef-lieu de daïra dont dépend Redjem Demouche”.

M.N (Réflexion du 28 Mars 2017)
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DES USAGERS S’INSURGENT CONTRE ALGÉRIE -POSTE : Un postier tiraillé entre facteur et agent chargé des réclamations
De nombreux usagers d’Algérie-Poste, qui viennent faire des réclamations au sujet des retards du courrier ou de sa non-réception, au niveau du bureau de poste de la Bremer, n’arrivent pas à comprendre la nouvelle or-
ganisation de travail mise en place par cette institution publique. L’agent désigné pour prendre en charge les doléances des citoyens en matière de courrier, exerce également en qualité de facteur. Ainsi, cet agent ne consacre que deux heures, de 8heures du matin à 10 heures, pour la réception des citoyens et
le traitement de leurs doléances en matière de non-réception ou d’égarement du courrier. Après 10 heures et le reste de la journée, il devient facteur et quitte les lieux, obligeant les citoyens à revenir le lendemain ou les autres jours pour la prise en charge de leurs réclamations. Une situation pénalisante pour les usagers contraints de faire de nombreuses navettes pour le règlement de leurs réclamations, d’autant plus qu’Algérie-Poste ne semble pas manquer d’effectifs, et que les réclamations sont de plus en plus nombreuses, puisque le service
universel, et c’est une réalité tangible, n’est plus accompli comme jadis. Des habitants de certains quartiers de la ville n’arrivent même pas à savoir s’il ya encore un facteur. Quoiqu’il en soit, les usagers qui nous ont interpellés, ont tenu à exprimer leur agacement devant cette situation, et à le faire savoir à la direction d’Algérie-Poste.

M.M (Ouest info du 29/03/2017)
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Football : décès de l’ex-président de l’USM Bel-Abbès Djilali Bensenada

ALGER – L’ex-président de l’USM Bel-Abbès, Djilali Bensenada est décédé lundi à l’hôpital universitaire Hassani-Abdelkader de Sidi Bel-Abbès des suites d’une longue maladie, a-t-on appris auprès du club de Ligue 1 algérienne de football.

Le défunt avait occupé plusieurs postes de responsabilité au sein de l’USMBA qu’il avait même menée, en tant que président, vers son seul trophée jusque-là, lorsque le club avait remporté la Coupe d’Algérie en 1991.

Après s’être retiré de la scène footballistique il y a trois années, il est revenu à la présidence du club au milieu de l’exercice dernier, contribuant grandement à la montée des gars de la ”Mekerra” en Ligue 1.

Il restera à son poste jusqu’à novembre 2016 quand il a été contraint de quitter à nouveau l’USMBA après avoir fait l’objet d’une exclusion de la part de l’assemblée générale.

Son enterrement aura lieu lundi après la prière d’Al-Asr au cimetière de Sidi Bel-Abbès.

APS
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