Deux des terroristes tués par l’armée algérienne dans l’assaut du complexe gazier d’In Amenas portaient des passeports canadiens. Il n’y a là rien de surprenant. Montréal et Toronto servent de bases de repli à des organisations terroristes internationales depuis des décennies. Les fanatiques de Toronto privilégient les zones de combat comme la Somalie et le Pakistan et, jusqu’à récemment le Sri Lanka, tandis que ceux de Montréal sont plutôt centrés sur l’Afrique du Nord et le Liban. Un haut dirigeant de la police de Montréal a même déjà déclaré que le Montréal était pour eux un genre de Club Med.