Et voila que les braillements surgissent à l’approche de la saison des urnes sans aucun gène après des années de festin et garde rapprochée totalement isolante d’une réalité morbide de la société. Les partis se réveillent enfin pour proclamer de la façon une prolongation dans la souffrance du peuple.
Dans cette saison, chaque acteur suit une stratégie pour brouiller les pensées et passer inaperçu dans des scènes par bonheur pour le citoyen déjà tournée. Les ruses ne manquent pas, d’ailleurs c’est ce qu’on apprend dans une école à huit clos où le spectateur, ce citoyen n’existe pas.
Si seulement ces partis se battent de la même façon pour ce citoyen naïf qui leur fait à chaque fois confiance ! Malheureusement ces prétendus défenseurs chargés d’une noble mission s’avèrent après chaque trahison, des purs gardiens de leurs biens et leurs structures *monsongeopolitique*préservatrice.
Tout les partis ont besoin d’être redressés du moment qu’ils n’ont jamais reflété l’image réelle de la société algérienne et n’ont jamais satisfait leurs missions envers ce citoyen, simplement, ce remède de redressement importé par ces médecins dont le besoin d’être redressé est périmé. Il a déjà montré ses fruits lors de la vaccination la saison du sortilège, la compagne passée.
Les urnes sensées apporter des solutions aux problèmes à la société s’avèrent à chaque événement saisonnier, une préfabrication d’un transfert de châtiment organisé. Le citoyen est devant une machine humaine *insensible*programmé, si vous n’êtes pas trahi alors, vous serez cruellement délesté de votre liberté de choix par un bourrage criminel des urnes et puni sans scrupule à accepter ceux que vous n’avez jamais choisis pendant un mandat qui durera plus que sa durée par son imposition.
Même redressé, un parti, apparemment est puni à être redressé tant que ses hommes demeurent hors changement et restent les mêmes. C’est comme un médecin fumeur qui demande à son patient de ne plus fumer. L’équation manque de perspicacité.
Le redressement pour les uns, la révision pour les autres ainsi que toute autre stratégie terne sont en vérité une ancienne devise aux aguets par le peuple afin de ne plus permettre une remystification.
Le peuple n’a plus envi de revivre cette solitude, personne à ses cotés juste après sa trahison dans la saison à la clôture des portes des pépinières des urnes épineuses quand sa souffrance demeure en parallèle avec l’indifférence de ceux qu’il a naïvement designé à s’enfermer au palais pour transmettre son message, jamais, au plus grand jamais senti ou décodé.