Tout le monde en parle, les réseaux sociaux s’enflamment et tous les « non-dits » fusent de partout sur le football Algérien malade et son « patron » qui est devenu soudainement l’homme à abattre après la débâcle d’hier face à une jeune Équipe tunisienne aguerrie et combattante. Doit-il fléchir à cette énième pression de la rue et déposer sa démission? Espérons-le car parfois El Koursi idaouakh!
On sait pertinemment que la rue ne s’est jamais trompée quand il s’agit de football et choix de joueurs. La population demande des « comptes » aujourd’hui! Le président Bouteflika qui l’a soutenu à un moment donné croyant naïvement qu’il était l’homme providentiel à rassembler une population juvénile, va-t-il enfin connaître la vérité et les dessous de sa longévité à la FAF et lui demander des comptes s’il veut préserver la paix sociale ?
Pourquoi a-t-il limogé Vahid Halilhodzic ? Et SAADANE auparavant ? Et Gourcuff et .et ..? là est tout le mal de notre football. Était-ce vraiment une question de sou? comme il l’a laissé entendre ? Ou simplement Vahid en a eu assez de ses « caprices » chuchote-t-on et surtout de ses interventions pour tel ou tel joueur ? ne l’a-t-il pas probablement agacé à tel point que ce dernier, constatant qu’il faisait le « sale boulot » en endossant toutes les erreurs d’interférence commises par RAOURAOUA, « l’entraineur de l’hombre » de l’équipe nationale , a tout simplement exigé « plus de sou » pour continuer à diriger virtuellement une équipe nationale qui ne la contrôle plus.L’on se rappelle sa fameuse phrase lancé à qui voulait l’entendre: “Je ne suis pas un mouton” et cela veut tout dire, un mouton est généralement « guidé » comme on veut!
Tout le monde disait depuis longtemps que Raouraoua interférait, régulièrement et à l’approche de grands évènements, sur les décisions de l’entraîneur en lui suggérant des joueurs, des managers des aides de camps etc … Il était l’homme acclamé du pays après qu’il eu gagné la sympathie du président suite aux évènements d’Égypte et d’Oum Dorman. Mais voilà , aujourd’hui les langues commencent à se délier et le premier à dévoiler les dessous de son règne à la CAF et « entraîneur de l’hombre » de l’EN, est un joueur français de stade Rennais où l’ex-sélectionneur national Gourcuff, exerce actuellement. En effet, selon le journal “El-Maidane”, qui a interrogé ce joueur, « Gourcuff aurait avoué aux joueurs que ce qui le dérangeait le plus lorsqu’il était entraîneur de l’équipe nationale algérienne est le fait que le président de la FAF lui imposait certains joueurs. » Voilà une information qui tombe comme un couperet!
D’autres parts , l’on se rappelle que tout le château de la FIFA s’est écroulé suite au scandale du siècle de corruption où presque tous les dirigeants, l’un après l’autre ,sont tombés ou mis en prison sauf Hayatou le président de la CAF par enchantement, est-ce possible? Raouraoua a toujours soutenu son ami Hayatou, d’ailleurs tous les deux sont devenus intouchables l’un en Algérie, l’autre au niveau Africain mais pourquoi la presse spécialisée n’en parle pas? et pourquoi ne mène-t-elle pas des investigations ?
L’autre fait saillant de cette journée inoubliable que les Fans Algériens qui avaient les yeux rivés sur l’écran, ne l’oublieront pas d’aussi longtemps, un fait qui rappelle étrangement les gestes et faits du Goal keeper Chaouchi , Brahimi a, à son tour, versé toute sa colère sur une glacière déposé devant ses compatriotes, contre probablement un changement inattendu (un geste condamnable et indigne au même titre que celui de Chaouchi), comment peuvent-ils me « représenter » moi et tout le peuple Algérien à des manifestations internationales? N’est ce pas là un mauvais signe d’une indiscipline régnante au sein de l’équipe nationale , où en sont les exemples des Belloumi et Madjer ? Bref attendons pour voir la suite du feuilleton!
Il a trop d’appuis sur lesquels il peut compter mais aucune fierte!
En rendant des comptes.
ارحل…. روراوى
Rien n’est plus sur que les postes des dirigeants actuels en Algérie ils forment une congrégation .Vous ne verrez ni démission ni limogeage quoiqu’ils fassent et qu’importe de quoi ils sont accuses