Salon de zootechnie : le manque d’abattoirs avicoles souligné à Sidi Bel-Abbès

Le Commissaire du Salon international de zootechnie, ouvert ce dimanche 14 décembre à Sidi Bel-abbès, a déploré un manque d’abattoirs avicoles et les conditions jugées déplorables de conservation des viandes blanches.

“Les abattoirs publics ou privés opérationnels dans le pays ne peuvent prendre en charge que 20% de la production nationale”, a déclaré M.Boukhalfa Laala, à l’ouverture de cette manifestation internationale, attirant l’attention sur les risques que posent pour la santé humaine l’abattage clandestin et les mauvaises conditions de commercialisation de ce produit de grande consommation.

Il a rappelé que “l’abandon” pour divers motifs de cette filière par les aviculteurs a entrainé une réduction de la production et la hausse des prix de la viande blanche dont le prix a atteint les cimes de 450 DA le kilo.

Le même responsable a insisté sur les mesures sanitaires et hygiéniques à respecter lors des opérations d’abattage et sur les conditions de congélation et de stockage des viandes blanches dans les chambres froides.

Pour cette 2ème édition de ce salon international, on relève la participation de 78 exposants, dont 5 venus de France, d’Italie et d’Espagne, en plus d’entreprises étrangères représentées par des Algériens.

Cet évènement est placé sous le thème “la filière avicole, stratégies et perspectives”.

En marge de cette manifestation, les organisateurs de l’agence privée “Licorne communication” d’Alger ont prévu une série de conférences et des tables rondes traitant de la thématique générale du Salon.

Il est prévu également la tenue de l’Assemblée général de la Société Scientifique de Zootechnie, sous l’égide de l’Union nationale des agronomes.

 

One thought on “Salon de zootechnie : le manque d’abattoirs avicoles souligné à Sidi Bel-Abbès

  1. le problème de l’agriculture est problème mondial. déja s’il n ya pas la notion de la propriété privé tout échouera. Si on veut relancer la filière avicole c’est bien a condition de revenir vers les expériences passés. Dans les années 30 les banques a Temouchent ont lancé un plan de développement. Ils offrent le terrain et la finance pour établir une ferme. Le fermier doit lancer la production afin de rembourser les dettes. A la fin du remboursements il deviendra propriétaire. Dans ces années il n y avait pas encore les méthode industrielle de l’élevage. Maintenant les choses ont changé. l’Asie est devenue productrice d’équipements clé en mains. l’avantage de l’avicole c’est qu’il ne mobilise pas assez de surface comme la Céréalicultures. Sur 500 m² un couple de jeune ENSEJ belabbessiens peuvent construire leur petite maisons et a coté un hangar. Puisqu’il s’agit d’unité industrielle; il faut placer ces lotissements aux bords des grands axes routiers, là ou la nappe d’eau est proche. Mais si vous ne lancez pas a coté de système un autre système de transformation, le marché va s’effondrer. Il faut a coté lancer la petite industrie ENSEJ pour la production du patté humain, pour les animaux domestique, pour la production du poulet grillé congelé, la mayonnaise, les protéines séché, la lécithine, la production des acides aminés, etc..ce système va absorber la surproduction..vous avez l’axe routier bel abbes Boukhanefis a expérimenter avec l’ensej et les banque exiger au porteur de projet ensej d’être marié et avoir moins de 26 ans jusqte avoir une licence ou un diplôme dans la formation professionelle..compter sur Dieu et lancez vous..
    salutation

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