SBA: Le problème des déchets

Les déchets posent un énorme problème en Algérie. On trouve des amas de détritus en pleine ville, des décharges sauvages, des sacs plastiques agglomérés en bord de route, dispersés dans les champs, pris dans les branchages des arbres.
A sidi bel Abbes, nous avons rencontré l’association pour la protection de l’environnement, qui œuvre dans les domaines de la solidarité et de la protection de l’environnement. Voyage dans le monde des poubelles ou « le plastique c’est fantastique… »
L’industrialisation et la société de consommation ont entraîné une diversification et une multiplication des déchets que l’on distingue en déchets solides et liquides (les eaux usées). Les déchets solides se déclinent en déchets domestiques, hospitaliers, industriels, matériaux de construction… qui offrent chacun un potentiel différent de nuisances et pollution.
Une place toute particulière doit être faite aux sacs en plastique de multitude de couleurs, qui ont beaucoup de succès parce qu’ils camouflent les achats dans ce pays où la disparité sociale est forte. Ainsi, à sidi bel Abbes, les marchandises sont moins chères dans la proche enclave des autres villes voisines et les gens en reviennent avec des brassées de sacs plastiques multi-coloris… Mais, jetés dans la nature après usage, « ils auront dans peu recouvert toute la beauté de la ville », déplorent les associations d’environnement. « Si en plein centre ville vous rencontrez des arbres décorez avec des sacs en plastique, vous avez le bonjour d’une ville non civilisée ! » plaisantent-ils. Pour endiguer cette marée en chef lieu, les associations proposent de réhabiliter le panier, ce qui aurait aussi comme avantage de soutenir un artisanat jadis florissant.

Le célébrissime sac plastique: Des détritus à tous les coins de rue
Au chef lieu de sidi bel Abbes, il n’y a pas une très grande de production industrielle, les 350.000 habitants de la ville produisent chaque jour plus de 30 tonnes de déchets solides, surtout domestiques (organiques et plastiques). Comme partout, l’abondance des déchets domestiques provient d’un changement du comportement des gens vers une consommation rapide des objets (d’ailleurs parfois conçus pour une utilisation unique, le qualificatif «jetable » étant un argument de vente) conjugué à un changement de la composition des produits désormais faits de matériaux persistants (le plastique au lieu de l’osier, par exemple).
A sidi bel Abbes, les détritus envahissent la ville depuis quelques des années en raison d’une habitude culturelle tenace, mais aussi de l’insuffisance des services municipalité de sidi bel Abbes.

Les déchets obstruent les rues: Contradictoirement avec le grand souci de la communauté de sidi bel abbes de la propreté de leur domicile dans une ville où la poussière s’infiltre partout, les gens jettent systématiquement dans la rue ce dont ils ne veulent plus. Le concept de civisme est encore flou et l’augmentation de la population urbaine suite à la croissance démographique et à l’exode rural a entraîné une individualisation croissante. On ne se sent pas responsable de l’extérieur. Chacun déplore la saleté de la ville et la marée de sacs plastiques dans les ruelles, mais y participe !
A sidi bel Abbes, les rues sont jonchées, parfois obstruées de déchets et on recense une cinquantaine de petites décharges sauvages en plein ville. Les quelques milliers de vendeurs ambulants, dont les charrettes sont chargées des marchandises les plus diverses, laissent simplement sur place les résidus de leur commerce (abats d’animaux…) en repartant.

Les vendeurs ambulants vendent de tout ! Si d’un côté les gens jettent, de l’autre, les services municipalité de sidi bel Abbes ne ramassent pas suffisamment. Au chef lieu, la gestion des déchets est sous la responsabilité directe de la commune. Municipalité, qui ne consacre que 1 % de son budget à la propreté alors que c’est sa principale mission, soupire après le manque de moyens. Les camions-bennes à ordure de la ville (atteints de panne chronique en raison de leur vétusté) évacuent au meilleur de leur forme 20% des poubelles produites quotidiennement. Alors il n’est même pas question de prendre en charge les points d’accumulation. Les poubelles en souffrance sont éventrées et dispersées par les chiens sauvages, ajoutant au désastre. Pour se débarrasser de leurs ordures, les gens y mettent le feu, ce qui dégage des fumées toxiques.
Face à l’absence de motivation de la municipalité, la société civile propose de commencer par sensibiliser les élus du peuples, puis de valoriser le travail des services municipaux avant de sensibiliser les gens à une gestion participative de l’environnement par des campagnes sur la responsabilité de chacun dans le comportement collectif : « ma ville est propre grâce à moi, ma ville est sale à cause de moi » (panneau existant). Elle promeut la constitution d’une équipe « d’intervenants verts », des hommes et des femmes (qui seules peuvent pénétrer dans les maisons) qui sensibiliseraient la population à la question environnementale. Au besoin, ces intervenants pourraient agir de manière coercitive en verbalisant les contraventions aux dispositions existant en matière environnementale. Car il existe des dispositions légales sanctionnant celui qui dépose sa poubelle dans une aire publique ou gaspille l’eau.

Danger du oued Makerra Les eaux usées sont très polluantes dans la mesure où on y trouve de tout : des détergents, des urées, des bactéries… Rejetées dans une rivière, elles peuvent entraîner son eutrophisation, phénomène d’enrichissement en matières organiques ou en substances nutritives (nitrates des urées, phosphates des lessives…) qui entraîne de graves perturbations dans les écosystèmes aquatiques. La matière végétale se produit en grande quantité en même temps que le taux d’oxygène. Les espèces sensibles disparaissent et la flore et de la faune se banalisent.

L’affluent de l’oued Makerra à hauteur de la ville. De la même manière qu’il n’existe pas de décharge contrôlée, il n’y a pas de vraie station d’épuration à sidi bel Abbes et les eaux usées sont rejetées sans traitement en aval de la ville, dans un affluent de l’oued Makerra. Or l’embouchure de Makerra, qui s’étire sur plusieurs hectares à une dizaine de km. De la ville de sidi bel Abbes, est une zone sèche. C’est une zone de biodiversité très importante, riche en végétation et cadre de vie de plusieurs espèces de reptiles. En outre, c’est une importante escale migratoire : plusieurs espèces d’oiseaux migrateurs ont été répertoriées.

Des détritus à perte de vue Où se rendent les camions-bennes qui ramassent néanmoins une partie des déchets ? Soucieuse de vérifier mes informations sans craindre de payer de ma personne, je les suis pour découvrir la décharge publique de sidi bel Abbes.

La décharge publique de sidi bel Abbes C’est une décharge sauvage, par opposition à contrôlée, qui est en utilisée depuis les années 1962, alors que la population de la ville était bien moindre. Elle s’éparpille aujourd’hui sur un terrain de (40) ha. Situé en plein périmètre urbain. Le spectacle de cet horizon de détritus laisse rêveur et est, paraît-il, édifiant les jours de grand vent : les plastiques dansent dans l’air et pleuvent sur la ville.

Les moutons paissent dans la décharge : “quoi, elle n’est pas bio, ma viande ?” J’y rencontre… un troupeau de moutons. Leur propriétaire n’hésite pas à faire paître les bêtes dans la décharge : la nourriture y est abondante et variée (à noter que la décharge de sidi bel Abbes recueille aussi les déchets de l’hôpital) ! Certains achètent ainsi des contenus de benne à ordures pour nourrir leur bétail On imagine sans peine les répercussions sur la santé du consommateur de viande : ingestion de métaux lourds, etc.
Les causes de pollutions et de dangers d’une décharge non contrôlée sont multiples :
pollution de la nappe phréatique (eaux souterraines) par infiltration des lixiviats, les eaux de pluies qui ont traversé les déchets et se sont chargées bactériologique-ment et chimiquement de substances minérales et organiques;
pollution de l’oued Makerra (cours d’eau) voisin dans lequel les détritus sont portés par le vent ; risques d’infection, de coupure, de toxicité, d’allergies, d’incendie, d’explosion… pour les enfants et chiffonniers qui fréquentent la décharge ; danger d’étouffement et d’ingestion de produits chimiques par les animaux. Pollution olfactive et visuelle pour les riverains ; Normalement les élus du peuples ainsi que le premier magistrat de la ville de sidi bel Abbes plaide auprès des pouvoirs publics pour la réalisation, d’un centre d’enfouissement technique (ou décharge sera contrôlée) sa réalisation et doit être exécutée et opérationnelle dans les plus bref délais. Outre la fin des inconvénients susmentionnés, le centre pourra donner une nouvelle vie aux déchets convenablement triés. Les matériaux peuvent être recyclés, c’est-à-dire réintroduit dans leur propre cycle de production. Les déchets organiques, par leur fermentation, sont une source d’une énergie .

3 thoughts on “SBA: Le problème des déchets

  1. Ah! J’ai failli oublier un autre point très important……celui des déchets toxiques et radioactifs rejetés par le CHU et les cliniques privées……. Car, aux déchets hospitaliers, on associe souvent la notion de danger et de crainte de contamination, et la société civile ainsi que les associations dorment sur leurs deux oreilles… !!!

    Dans quelle démarche se sont-ils engagés pour le traitement de ce genre de déchets, quelles précautions ont-ils pris pour éviter toute contamination de l’homme et de l’environnement…….Ces actions, si vraiment, elles existent, se font elles dans le strict respect de la réglementation en vigueur vis à vis des rejets vers le milieu naturel….. ????

    Concernant les déchets radioactifs qui se répartissent selon deux catégories :
    les déchets liquides et les déchets solides, ils ont la particularité de contenir des éléments radioactifs, en quantité telle que son rejet direct ou sa dispersion dans l’environnement n’est pas autorisé. Ils peuvent également induire des risques chimiques. Il convient donc, quelles que soient les options choisies pour la gestion de ces déchets, de maintenir le risque au niveau le plus bas possible…..
    En général, les établissements de santé utilisent les déchets à vie très courte pour les applications médicales de la radioactivité (diagnostics ou radiothérapie) et dont les éléments radioactifs ont une période inférieure à 100 jours…; alors il faut qu’ils soient entreposés dans des entrepôts spécifiques un temps suffisant pour décroissance avant élimination……..!!!!

    Je répète, y a-t-il un pilote dans l’avion..???

  2. C’est dingo ce que l’homme invente pour bousiller l’Homme…….On baigne dans les déchets jusqu’au cou, …c’est un calvaire,… un vrai casse tête,…… c’est le prix à payer pour une société de consommation ignorante qui manque d’éducation et d’incivisme et pour une gestion anarchique, archaïque et mauvaise de la part des services concernés…..

    Qu’est ce que vous dites…??? Une wilaya comme SBA ne possède pas une station d’épuration, ni une décharge contrôlée, ni des stations pour le traitement des déchets, ni des usines de recyclage….ni….ni…,..ni…, mais Bon Sang, je rêve ou quoi… ??? Où sont les services de la Wilaya, de l’hydraulique, de l’environnement, de l’urbanisme, du khorti, du blabla……etc……?? Ils roupillent dans leurs bureaux… ???? Qu’est ce qu’ils font à longueur de journée….??? Ils attendent les cérémonies, les journées mondiales et les visites du Wali ou du P/Apc……pour bouger et se photographier pour dire qu’ils sont là……??? Ils ne peuvent pas “se battre” pour obtenir de tels projets vitaux pour leur ville….. Mais c’est une catastrophe……!!!!

    A quoi sert une direction de l’environnement à SBA, si rien ne marche………. si le pôvre Lac est délabré sur tous les plans, s’il n’existe pas de décharges contrôlées, ni un incinérateur (‘propre’) , ni des usines de recyclages de ferrailles, de cartons, ou de plastiques, pourtant, elles existent dans d’autres Wilayas…?? Où va le budget alloué à cette direction…??? La Wilaya de SBA, la comparant à d’autres Wilayas, se trouve au bas de l’échelle…pour ne pas dire au plus profond des plaines abyssales……!!!!! C’est bien dommage…..!!!

    Savez -vous, vraiment, ce que peut générer le traitement de déchets comme dynamique extraordinaire pour à la fois, éliminer une grande quantité de déchets, produire des composts de qualité qui peuvent être utilisés par les agriculteurs, valoriser l’énergie issue de l’incinération, concevoir des usines de recyclages et le bouquet c’est la création d’emploi……La cerise sur le gâteau serait une ville propre, et un citoyen en bonne santé…!!! Est ce trop demander…?

    A quoi sert la direction de l’hydraulique si elle n’arrive pas à bien ficeler un bon dossier pour obtenir une station d’épuration des eaux usées digne de ce nom……car avec un Oued comme Mekkerra , SBA en a vraiment besoin………..Aussi, ils savent bien les risques que peuvent engendrer ces eaux sur les nappes phréatiques, l’environnement et l’homme ;………..L’eau de consommation à SBA est infecte….les conduites de mauvaise qualité qui éclatent à chaque coin de rue…. !!!! Qui fait Quoi….dans cette ville… ???? Est ce qu’il y a une coordination entre les différents services…. ??? ” Est-ce qu’il y a un pilote dans l’avion”……c’est un vrai gâchis… !

    Où sont les services d’hygiène et sécurité de l’Apc… ??? Au lieu de conclure des marchés avec des entreprises bidons incapables d’assurer 10% de leurs contrats….pensez un peu moins à vos poches, vous n’emporterez rien avec vous……..Ayez une bonne conscience et pensez un peu plus à votre ville et à vos concitoyens, à vos enfants……Dotez chaque quartier ou un ensemble de quartiers d’une équipe pour le prélèvement d’ordures et le nettoyage, fixez des horaires précises pour le prélèvement….choisissez des points appropriés de collecte…..Trouvez le bon moyen pour impliquer le citoyen à respecter les horaires, à accomplir le tri de ses déchets……Mais aussi, à faire payer des amendes à ceux qui ne respectent pas les lois….. !!!!

    A quoi sert une direction d’urbanisme, si elle n’arrive pas à mettre en œuvre des opérations d’aménagement urbain à la hauteur des espérances, suivant les règles les plus élémentaires d’urbanisme…. Si elle n’arrive pas à maîtriser l’anarchie qui existe et qui perdure concernant les constructions illicites, la délivrance des autorisations d’urbanisme; permis de construire, déclarations de travaux, certificats d’urbanisme et de conformité, autorisation d’enseignes et de publicités……etc…. Mais c’est l’anarchie totale……dans ce bled….même dans une jungle, l’ordre règne…….. !!!

    Quant au citoyen, c’est la clé de la réussite ou du fiasco monumental……!!!!

    “L’homme c’est l’homme, il est capable du plus beau comme du plus pire”

    ” In Lem Tastahi If3el Ma Chi’ta”

    “Ce n’est pas à la nature de faire quelque chose pour nous, mais c’est à nous de faire quelque chose pour elle”

  3. Ici en Algérie en générale a bel abbes en particulier on vie le passage du système
    Socialiste au système libérale….qui dit système libérale dit retour a l’organisation tribale ??
    Malheureusement on a perdu ce mode de vie qui était organisé et maintenue par le un Père polygame ou cheikh el kabila..voila une raison pourquoi les chrétienne ne veulent plus entendre du mode de la polygamie..il accepte le mariage homosexuel mais interdisent encore la polygamie car la polygamie engendre le Chef..La conquête de la France chrétienne a l’Algérie du Chef n’était pas du tout de repos surtout lorsque les Chef étaient un savant religieux. En venant ici la France coloniale avait trouvé 100% d’algérien homme comme femme lettrés..D’ailleurs même maintenant l’arrière pays fait étonner. Une algéroise de la chaine radio chaine3 va en fin fond de Tamanrasset pour constater que les femme joue le violon..alors qu’elle l’algéroise la moderne ne sait pas jouer un instrument de musique..c’est la honte..c’est la même chose imaginer un européen juif et chrétien que ces parents lui disent qu’il est le meilleur et l’élu de Dieu constate en arrivant en Algérie en Afrique qu’il était illettrées en face de ces autochtones…
    On craint alors que le belabesiens va retourner a l’individualisme c’est-à-dire chacun fera sa propre unité en son nom propre..par exemple a l’université il n y aura plus de départements mais département de si ali, de si kamel , de si bouhajar, si bel abbes, si farid, , de lala tlamçaniya, de lala abbasiya, de lala wahraniya..ensuite..sauf que la faculté sera dans l’indivisible et on va trouver une solution propriété fi chiya3e.. la proprité fi chua3 est un mode de division d’une parcelle de terrain agricole qui est la propriété de multiple personne heritié..alors chacun aura sa part mais non délimité..c’est si kaddour, si bel abbes, si yahya si nabil, aura sa part dans la faculté, dans l’hôpital, dans la daïra, dans tous les services publiques …
    C’est-à-dire qu’on va laisser le pays entre ces SI et ces Lallate pour faire ce qu’ils veulent en Algérie..c’est a dire que ce pays n’appartient a personne..tout celui qui vient descend son pantalon fait ses besoins sans que personne ne lui reproche quoi que ce soit.. il se lève en orgueil comme en lançant ‘’iwa wach dakhlék anta ??,,..hadhi anta3 bouk ??’’ ‘’en quoi ça te regardes toi ?? elle appartient a ton papa ??
    Le problème des déchets est un problème de wilaya qui doit être traité par plusieurs services.
    C’est dans un presque un colloque ouvert et ou les responsable se tenue d’y assister sous pêine de pénalité et ou chaque responsable doit donner son avis sur la question sous peine de constater qu’il est incompétent et qu’on doit lancer un appel de recrutement pour le dite poste..tu es chef service en santé et tu es Doyen de faculté de médecine de biologie de mécanique etc..tient le micros donnez nous votre avis sur la question..vous ne savez rein dire sur le problème donc rendez nous les clés allez y faire une formation en sociologie politique et lorsque vous terminez venez subir un concours..si vous traitez bien les sujets du moment de la wilaya prenez le koursis…sinon tourner vous on va vous donner un coup de pieds dans le derrière..va vendre les légumes..si tu es capable tu le sera en publique..ouvrez les débats multiple et laisser les élites s’exprimer..bel abbes est pleine d’élites des milliers qui sont a la touche…
    L’université fait la course toute seule..elle vient de commander de grande SERRE MULTICHAPELLE, un centre de calcul et modélisation et 10 labos de on ne sait quoi et un labo d’analyse physico chimique…On se demande est ce que la wilaya a besoin réellement de cet investissement ?? Est-ce qu’on a besoin d’un centre de modélisation si on n’arrive pas a traiter les problèmes prioritaire de la wilaya, l’oisiveté, chaumage, entassement quotidien dans les cafés, navette interminable entre les villages et la ville, violence ??
    2 serres d cette dimension sont utiles mais a quoi serve t’elle si la wilaya n’a pas une faculté d’agriculture ?? on va les louer ?? a qui ?? on va les revendre ?? a qui ??
    La preuve que chacun dans cette wilaya travaille dans son coin.
    alors question
    vaux meiux rester dans le socialisme ou dans le mode islamique notre mode qui ordonne au chef (wali) d’imposer et de préconiser le mode de choura..
    Le wali doit ouvrir le débat et laisser les gens chercher la bonne réponse..
    le coran ordonne ”wa chawirhoum fil amri” ”wa omrhoum choura baynahoum”
    obligent leurs de ce debattre du sujet du moment et lorsque vous aurez trouver une projet appuyez vous sur Dieu et démarer…en cours de route y’aura des rectificatif car rien n’est parfait sur le projet etabli sur pepier ou dans un congré..et la msse sur laquelle on doit se baser c’est sur la fange d’age 12 ans 35 ans maximum les autres autres au musées..dans la nture des chose l’etre humain commence atraviller a l’age de 14 se marie a 17 est deja grand pere a 35 ans..a 40 il est en retraite ces ces enfants qui reprennet la reléve du travail…chez nous a l’age de 35 ans on dit la jeunesse

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