N’a-t-on pas fait croire par des papiers sur commande que la maternité de sidi bel abbés donne la vie et tue les bobards ?
Manifestement l’EPH de gynéco obstétrique de sidi bel abbés est au cœur d’un scandale qui risque d’éclabousser des chirurgiens du personnel para médical et des fonctionnaires. Les décès en cascade et pratiquement toutes les semaines des femmes après accouchement inquiètent au point où cet établissement hospitalier qui est pourtant doté de moyens humains et matériels considérable est accablé par des critiques dans la plus part des cas sont fondés. Au quotidien des mari en détresses ou des parents angoissés s’insurgent parfois violemment contre le laxisme et les négligences du personnel médical et para médical qui sont devenus monnaie courante dans cet établissement
En effet des médecins et des fonctionnaires de la maternité de sidi bel abbés ont été auditionnés par la police suite à l’ouverture d’une enquête sur le décès d’une femme âgée de 35 ans après un accouchement survenu à la maternité de sidi bel abbés le 27 septembre dernier. La famille de la victime a déposé plainte auprès du procureur de la république près du tribunal de sidi bel abbés. Les plaignants accusent la maternité de négligence ayant conduit au décès de la femme admise pour accouchement suite à une forte hémorragie. Selon les plaignants, les gynécologues et les sages femmes cités nommément dans la plainte ont procédé à un accouchement par voie basse alors que le gynécologue traitant de la défunte a recommandé un accouchement par césarienne. Juste après l’acte, la victime est rentrée dans un coma profond de trois jours d’où elle ne s’est malheureusement jamais réveillée. La petite fille née de ce dramatique accouchement souligne la famille de la victime n’a pas elle aussi échappé au laissé aller qui règne dans cette maternité qui ne donne plus la vie . On lui aurait oublié sur le bras « une seringue de sérum » après sa sortie de la maternité sans sa génitrice. si cette famille a décidé de recourir à la justice, c’est une façon d’une part de dénoncer les innombrables dépassement commis dans cet établissement hospitalier pour femmes où la déontologie et l’éthique médicale sont bafouées. D’autres part des dizaines de femmes se plaignent dans le silence des compresse oubliées dans leurs utérus ou de complications engendrés par des soins post opératoires contrôlés à la légères par des toubibs pressés de remplacer leurs femmes médecins dans des cabinets privés.
D Aissa