C’est devant une assistance venue nombreuse, à la salle de conférences de l’hotel Beni Tala, que l’association culturelle des arts plastiques « Bassma », a organisé avec brio, un café littéraire, qui a vu en première partie, la présentation de l’ouvrage du docteur Driss Reffas sous le titre, « De Robba à l’arbre de fer j’écris mon nom », édité en France aux éditions Edilivre . Cet ouvrage de fiction s’articule en trois volets importants. Le premier sur la vie et le combat de Robba la donatiste, où certains passages sur la vie et le combat de celle ci furent lus à l’assistance, par l’auteur. Le second volet se rapportera au mythique arbre de fer , qui renferme à lui seul toute l’histoire de la région de Sfisef , et toutes les légendes qui s’y articulent autour de cet arbre séculaire. La troisième partie du livre , est la description romancée d’une histoire sentimentale, interdite dans le contexte d’alors, entre un indigène et une européenne , décrite avec une subtilité romancée, qui a captivé l’attention de l’assistance , à travers sa lecture tout aussi passionnée , par l’auteur. Un débat fut ouvert , et des questions ont été posées autour de cet ouvrage et de sa disponibilité sur le marché national ainsi que son éventuelle traduction à l’Arabe. La seconde partie de ce café littéraire fut la rétrospective brillante du président de l’association «Bassma » ,monsieur Farid Daz ,sur la vie et le parcours artistique, d’un enfant de la ville de Sidi bel abbes, en l’occurrence feu Miloud Boukerche, brillant artiste peintre , élève de Nasreddine Dinet , au riche palmarès qui après un riche parcours artistique , mourut en 1979, des précisions en ce sens , sur la vie et l’œuvre de Miloud Boukerche , furent également exposées avec méthodologie , par le docteur Karim Ouldnebia professeur d’histoire à l’UDL .Un vibrant hommage fut rendu , par les divers intervenants , au professeur de dessin au lycée El Djala, monsieur Carlos Alberto , éminent peintre, qui sous sa houlette fut organisé à l’invitation du premier président de la république monsieur Ahmed Benbella , en avril 1965, à Alger l’exposition des tableaux de peintures par les élèves du Lycée, ainsi que leur participation , à la première semaine culturelle Algéro-Suisse à Lausanne, en 1965. C’est avec une grande émotion , que les docteurs Benaissa Kaddour , et El Hassar Mustapha, ont rappelés , des anecdotes sur ces merveilleux moments. Quatre peintres, anciens élèves, aujourd’hui, sexagénaires, en l’occurrence messieurs, Benaissa Kaddour, El Hassar Mustapha, Hassaiene Abderrahmane, et Hamdad Sid ahmed , furent honorés par l’association « Bassma ». Par la suite monsieur Rahmane Bouziane, ancien Professeur de Français, et Journaliste devenu poète Auteur de quelques ouvrages parascolaires enregistrés à l’O.N.D.A (office national des droits d’auteurs).Lauréat du Prix international de la francophonie récemment décroché de l’année /Novembre 2013 dans le cadre de l’Euro-Poésie et Auteur d’un recueil de poèmes (40 poèmes inédits) qui sera incessamment édité dans une maison d’édition à Paris, a déclamé avec brio quatre poèmes, d’une haute facture littéraire, et très applaudi par les présents. Cette sympathique et chaleureuse rencontre s’est clôturée autour de retrouvailles, de personnes incontournables de la ville et de projets avenirs sur des thèmes culturels, s’articulant autour du patrimoine, matériel et immatériel de la ville de Sidi bel abbes, dont le mouvement associatif, en est la cheville ouvrière
Sidi bel abbes :Un après-midi littéraire à l’hôtel Beni Tala : Un véritable moment à la hauteur de l’événement
8 thoughts on “Sidi bel abbes :Un après-midi littéraire à l’hôtel Beni Tala : Un véritable moment à la hauteur de l’événement”
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Mr ZOLAMITE
Je ne vous connais pas ,du moins à travers votre pseudo ,mais vos à- prioris concernant les endroits élus par les organisateurs pour tenir leurs cafés litteraires vous indisposent et je ne sais pas pourquoi?Car l’accueil ,la facilité d’accès ,l’organisation matérielle,l’adéquation de la salle pour ce genre de rencontres et l’amabilité du personnel en place et leur discrétion,contredisent tous les sentiments négatifs liés à l’imagination de leurs auteurs pour ces lieux pratiques ,luxueux et agréables.L’invitation était ouverte à tous sans exlusif ,cela prouve que ni les organisateurs ni les propriétaires des lieux n’étaient discriminants quant à la présence de ceux interessés par ce genre de rencontres et la possible auto- exclusion n’est le fait que de l’esprit où le trac n’est pas étranger à cette décision.Quand à vos suggestions d’organiser ces cafés littéraires au menzah;il faut les réserver aux courtiers qui infestent la ville.
Elgambiti bonjour
Dans le domaine de la littérature et la poésie l’inspiration et les émotions comptent beaucoup. Généralement
La luxure est l’ennemie de l’inspiration. Les chefs d’œuvres tous ont été produit par la ‘’douleur’’
Le café el manzah (merci de me rappeler son nom difficile de le retenir) n’était jamais un repaire de courtiers. Les courtiers sont apparus que tardivement a bel abbes fin des années 84. C’était le café des enseignants ‘’auteurs’’ et des cadres des la jeunesse et des sport parce que leurs bureaux était juste derrière la grande poste. Je vous parle des années fin 79…beaucoup d’enseignants du secondaires se sont lancés dans la composition de livres scolaires..dommage l’expérience fut interrompue après 88..
L’enseignement tout palier confondus du primaires jusqu’au supérieur sans concours de base
Du ministère de la jeunesse et des sports impossible d’attendre de ce secteur quoi qe ce soit. La base de l’enseignement c’est le ‘’Sport’’..Ouvrez les portails américains a chaque fois vous serez choquer par le liens ‘’Athletics’’ en premier plan alors que le liens des facultés passe en arrière plan …laisser L’hôtel beni tala pour son secteur de professionnel..Organisation des salons de l’automobile, et du vêtement et des souliers, et des bijoux, et de l’agroalimentaire, il n’a rien avoir avec la science ni la littérature ni la poésie.
Mr ZALAMITE ,BONJOUR!
Tout d’abord l’inspiration et les émotions ,comme vous dites ,ne sont pas exclusifs des pauvres seulement et même si cela s’avère vrai sous d’autres cieux pour d’autres raisons,ce n’est malheureusement pas le cas chez nous ;surtout actuellement où les gens sont beaucoup plus préoccupés par leurs estomacs qu’autre chose.Vous faites allusion à une époque d’il y a 30 ou 40 ans où les cadres avaient d’autres préoccupations plus nobles et donc plus utiles à la société sans se soucier de leurs conditions matérielles,alors que l’événement ( café littéraire )dont il est question se déroule aujourd’hui avec tous les moyens qui puissent permettre une résurrection de la culture ,même si beaucoup reste à faire et que cela parait ,pour certains ,comme une chimère.Je vois que vous avez changé de style pour aller chercher une réponse lointaine et désuète ,alors que le bon sens veut que l’on encourage toutes les initiatives qui vont dans le sens d’une reconquête de sidi bel abbes d’antan ,culturelle,sportive et » adepte » de la modernité ( oui ,déjà à l’époque ).Les gens de la rive gauche n’avait pas les moyens ni les possibilités d’exprimer leurs talents dans des situations avantageuses mais ne pouvaient refuser le luxe dés que leurs conditions se sont matériellement améliorées.Il ne faut pas user d’amalgames pour justifier l’injustifiable ,quand on sait que nos centres culturels ne sont ouverts que pour les loisirs et que nos cafés pilulent de personnes à la recherche d’une évasion ou surtout d’une consommation d’un temps libre en abondance et rémunéré,la rente pétrolière n’est pas étrangère au phénomène.AMICALEMENT.
elgambiti bonjour
vous avez raison je ne voulais pas décourager les gens mais de rappeler a l’ordre.
mon intervention c’etait pour rapeler les choses comment elles etaient dans un passé recent. La ville regorgeait d’homme et de femme de metiers. Actuelemnt le terrorisme avait pour but de creer un mélange et on a constaté apres 88 chacun faisait n’importe quoi. Seuls les pharmacies ont un peu par miracle résisté car on voyait déja des gens vendre un troupeau de mouton et ensuite ouvrir une officine.
si on transpose la literature dans ces milieu qui sont fréquentés par une frange specifique de gens, on va risquer de la poluer et la mélanger. Et un jour les klalzis et drabki et les ragassates organiseront des seminaires sur la literrature..
le café El menzah occupe un coin strategique. 3 libraies , surtout l’OPU, 2 grandS imprimeur Benkelfat et Guemra, le centre culturel la cinematheque, la salle de cinema emprire qui doit revenir a la direction de la culture, la grande poste symbolique de la diffusion.ETC..
J’interdit donc à mes enfants de la literrature du sport et de la poesie de frequenter autre chose que le lieu de la culture..
BOUBAKAR
faut pas être déçu en principe le café littéraire était toujours le café a coté de la grande poste a coté du cinéma Empire. c’était là ou se réunissait tous les écrivains qui étaient affilié a l’enseignement du primaire et secondaire. dommage la période du terrorisme et terroriste illettrée a tout gelé.
je pense qu’une association créer par les auteurs de poésie de nouvelle et de livre de pédagogie crée pour nos élève sera le socle de la littérature.
jamais les littéraire ne se sont rencontrée dans des hôtel. ces hôtel sont par contre tout a fait indiqué pour des rencontre des industriels et artisan. ..
il faut je crois racheter ce café et le mettre sous forme de habousse.
si vous engagez avec la wilaya et avec la direction de la jeunesse et des sport qui va nous aider avec un budget je peux participer avec une petite sommes. Il faut garder son nom d’origine et rajouté en bas »café littéraire »…administrativement le café sera sous la houlette de la direction de la jeunesse et sport. évitez absolument l’académie car elle est politisée et fortement infiltrée idéologiquement. si jamais il y aura une privatisation de l’enseignement je vous le jure ils pas hésiter a la vendre ou la transformer en restaurant kababe ou si l’inspecteur est misérable il va vendre du karentita ..
il faut
Les donatistes, issus du prolétariat berbère, ont durement résisté jusqu’à la conquête arabo-musulmane. Robba en est un exemple édifiant et immortel. Son épitaphe, extraite de son caveau par Gsell, est exposée à ce jour au musée du Louvre.
Merci Dr
je suis très dècu d’avoir ratè cette assemblèe où furent honnorès nos amis,je salue l’association BASSMA pour cet honneur!
barbouzette en hijabe
Pendant ce temps a coté de moi une moutahajiba est entrain de jouer la barbouzette. tete couvert micro en encollée sous son foulards
que fait elle??
possible elle est entrain de dicter a distance a sa sa copine ou son future conjoint »le texte de réponse » a un examain figurez vous dans quel spécialité ??
surement en littérature arabe car la dicté est composé de poésie de la jahiliya et le texte entrecoupé par des verset coranique.
Du jamais chez nos petits et jeunes algériens et algériennes. Du coq a l’âne mélange de coran d’islam et de trafique..
des fois certain enseignants de renom laisse passer car le le trafic est basé sur le génie. comme dit le coran »ils mélangé chose bonne et chose mauvaise »..
mais ou est nos génies du département de l’électronique et ou sont nos enseignants universitaires pour proposer un mémoire sous le titre
»circuit brouilleur GSM » afin de pousser les barbouzette a passer a stade plus élaborer dans le trafique.
Dire que les littéraires font électronique …
bravo mes petites les barbouzette moutahajibate
voici un exemple de circuit type expérimentale a porté courte
http://portelatine.chez-alice.fr/electronique/montages/brouilleur/brouilleur_gsm.html