Station d’essence Bouregba: Qui est derrière le blocage de la pose d’une pompe de SIRGHAZ depuis 2004

Ainsi, contrairement à la politique de l’entreprise NAFTAL citoyenne par excellence, activant à la promotion et au développement de produits respectant l’environnement, souci mondial en référence au réchauffement climatique et à la préservation de l’écosystème, la réalité est totalement toute autre, aux limites de l’inqualifiable.  Un grand étonnement.

D’un côté, l’entreprise propose des avantages de prix et de qualité attrayant pour le seul but d’encourager à la consommation de ses produits à émission très significative de gaz à effet de serre et détacher progressivement de l’usage des carburants classiques.

Dans cette perspective d’intérêt cruciale, relative à la préservation de l’écosystème et la santé publique, l’entreprise NAFTAL devrait veiller au respect des conventions signées avec les différents ministères, notamment celui de l’environnement et celui de l’énergie et des mines.Le propriétaire de la station d’essence, Mr Bourgba a présenté des documents attestant la construction de sa station depuis mars 1992.

Sa 1ère demande de pose de pompe SIRGHAZ date quant à elle depuis 2004. 17 longues années. si cette demande a été adressée à un autre pays, elle aurait surement été satisfaite en moins que ça. Ni la direction de l’Energie et des mines ni celle de l’environnement de sidi bel abbés n’ont montré le moindre intérêt de lui signifier une quelconque réponse.

Dans d’autres cieux, c’est l’administration qui lui aurait imposé de se plier aux exigences de la pose d’une pompe de SIRGHAZ, dans un but de se constituer comme acteur actif à l’encouragement à l’usage de ce produit de grand intérêt pour la nature et la santé publique. Mr Bouregba n’a pas cessé depuis ce temps à aller et venir à ces directions concernées pour s’enquérir des suites réservées à sa demande, qui paraissait motivée par un intérêt général de préservation de la nature.

Devant un mutisme incompréhensible et totalement détaché de la volonté du gouvernement à encourager la consommation de produits verts, le propriétaire a renouvelé sa demande en 2012, en 2014, en 2017 et en 2020, accompagnées de dossier complet, y compris le plan. Mr Bouregba se trouve étonné, de cette position incompatible avec la vision réelle du gouvernement et celle de NAFTAL, d’une dimension internationale, celle d’œuvrer pour une vie verte et sainte, dont le pays et la population en ont vraiment besoin.

Djillali Toumi