Toute la presse en parle : Le départ de Amar Saidani

Algérie : Le chef du parti au pouvoir démissionne
Le Secrétaire général du Front de libération nationale (FLN, parti au pouvoir), Amar Saadani a démissionné samedi de son poste, et ce pour des “raisons de santé”.

Amar Saadani a démissionné de son poste de SG du FLN en raison de son état de santé, secret qu’il a révélé pour la première fois, a affirmé son successeur Djamel Ould Abbes, au terme de son plébiscite par les membres du Comité central du FLN, lors de la tenue de sa troisième session ordinaire.

Dans ce sens, il a ajouté que cette décision n’était pas due à des pressions.

La démission de M. Saadani de la tête de la formation majoritaire au parlement et aux assemblées locales intervient à cinq mois des élections locales et à une année des législatives.

CHINA.ORG
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Djamel Ould Abbes affirme avoir été “élu” SG du FLN jusqu’à 2020
Dans sa première déclaration en tant que Secrétaire général du Front de libération nationale, Djamel Ould Abbes affirme qu’il a été élu par le Comité central du parti et poursuivra le mandat de Saâdani jusqu’à 2020.
Amar Saâdani avait pris les commandes du parti le 29 août 2013 après la destitution d’Abdelaziz Belkhadem et a été plébiscité en 2015. Ainsi, le mandat de Saâdani prendra fin en 2020.
ENNAHAR ONLINE
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Le FLN tourne la page Amar Saâdani, Ould Abbès nouveau secrétaire général
Amar Saâdani a soigneusement mis en scène sa sortie. Les premières informations sur son départ ont commencé à circuler vendredi soir. Mais, ce matin de hauts responsables du parti semblaient ignorer l’information. Il a fallu attendre le début d’après-midi pour voir plusieurs sources sérieuses la confirmer.

Avant d’annoncer son départ, Amar Saâdani a pris le soin de prouver que personne ne le conteste au sein du Comité central. Du moins pas publiquement. À sa question « qui a retiré sa confiance au secrétaire général ? » Une seule main se lève. « Personne n’a retiré sa confiance au secrétaire général », reprend Amar Saâdani avant d’annoncer sa décision : « Je présente ma démission ». Il évoque des « problèmes de santé » qui expliquent, selon lui, sa longue absence durant l’été.
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Avec ce départ, une nouvelle page se tourne au FLN à quelques mois des élections législatives. Reste à savoir les raisons de ce changement que personne ne prédisait il y a encore quelques jours. Les raisons de santé constituent une partie de l’explication. Mais il y a sans doute d’autres raisons. Plus politiques.

TSA
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Coup de théâtre au FLN : Amar Saadani démissionne !
Il avait insisté sur le fait que “personne au sein de l’exécutif n’avait retiré sa confiance.” Il affirme néanmoins que sa décision “était irrévocable” et que sa démission était dans “l’intérêt du parti et du pays” même si elle est refusée par les militants.

Le FLN est démocratique, assure Saadani. “Amar part, un autre Amar arrive”, glisse-t-il.
Il a également proposé Djamel Ould Abbas comme successeur.
Amar Saadani occupait, rappelle-t-on, son poste de secrétaire général du FLN depuis le 29 août 2013. De nombreuses voix se sont élevées pour demander sa démission depuis ce jour de 2013. Le désormais ex-secrétaire général du FLN a été le lance-flamme du pouvoir à chaque que c’était nécessaire.

Hebib Khalil (Le matin d’Algérie)
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FLN/ Saâdani a officiellement démissionné
Pour Algérie Focus : Le secrétaire général du FLN, Amar Saâdani, a démissionné de son poste. C’est ce qu’il vient d’annoncer l’hôtel El Aurassi où se tient une réunion du comité central du FLN. Sauf coup de théâtre, Saadani devrait être remplacé par Djamel Ould-Abbas, ancien ministre et membre le plus âgé du Comité central.

Le tonitruant responsable du FLN a justifié sa démission par des «raisons de santé» et «par l’intérêt du parti». «J’insiste sur la démission», a-t-il affirmé. Une option qui lui ouvre une porte de sortie honorable. Car, comme aime-t-il à le répéter, il a été «nommé par un coup de téléphone», et il a été, selon toute vraisemblance, démis dans les mêmes conditions.

Le désormais ex-secrétaire général du FLN, imposé en septembre 2013, à la tête du parti au pouvoir, a multiplié, les sorties polémiques.

Essaïd Wakli (AF)
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