“UN APERÇU SUR UN DÉVELOPPEMENT POSSIBLE” (Pour sortir d’une léthargie ambiante et inquiétante )

Une question d’un internaute à propos de l’initiative locale ,m’a lancé dans une réflexion sur un développement économique possible de la région de SIDI BEL ABBES ville qui se cantonne de subir un marasme économique sans précédents,sans qu’il y ait une quelconque réaction de nature à juguler un déclin qui semblerait irrémédiable , tant la classe politique se résigne à accepter cette situation .

Cela donc m’a incité à m’inquiéter sur le devenir de notre ville et sa région,pour justement permettre aux investisseurs potentiels d’être orientés vers les secteurs qui cadrent avec l’économie de la région et d’être en osmose avec ce qui existe autour comme industries sauvegardées depuis la période faste et créative du toujours regretté HOUARI BOUMEDIENE .

Au lieu de pérorer ou d’ergoter sur ” le sexe des anges” , ou sur des thèmes inutiles et sans intérêts .Les INITIATIVES ,pour être positivement bénéfiques ,doivent être inscrites dans UN PLAN DE DÉVELOPPEMENT PLURIANNUEL AVEC DES IDÉES DE PROJETS RÉPONDANT À L’ÉCONOMIE DE SIDI BEL ABBES ET SA RÉGION DONT LA VOCATION SE TROUVE ÊTRE INSCRITE DANS L’AGRO-ALIMENTAIRE ET PAR LÀ MÊME DE L’AGRO-PASTORALISME,QU’IL SERAIT NÉCESSAIRE D’INTÉGRER DANS UN ENSEMBLE ÉCONOMIQUE COHÉRENT ET HARMONIEUX

C’est donc le secteur Agricole qui serait le substrat économique essentiel du développement de la région, et les investisseurs viendraient puiser dans le dit plan les idées de projets qui conviendraient aux capacités et aux moyens des Investisseurs intéressés .

À titre d’exemple, non EXCLUSIF ET NON LIMITATIF, IL EST PARFAITEMENT POSSIBLE D’ENCOURAGER L’IMPLANTATION D’UNE MÉGA-INDUSTRIE LAITIÈRE DANS LE PROLONGEMENT D’UN ÉLEVAGE BOVIN , OVIN ET CAPRIN dans la perspective de diversifier l’offre et même d’envisager d’exporter. Cela paraît effectivement risible sans des INITIATIVES OSÉES ET RÉFLÉCHIES , MAIS DANS LE DOMAINE DU POSSIBLE. Pour demeurer dans le créneau de l’élevage, DES CENTRES D’ENGRAISSEMENT À GRANDE ÉCHELLE POURRAIENT ÊTRE ENVISAGÉS AVEC DES ABATTOIRS INDUSTRIELS DESTINÉS À LA BOUCHERIE INDUSTRIELS À L’EFFET DE VALORISER LES RACES OVINES DU PAYS QUI SE TROUVENT ÊTRE PARMI LES PLUS ENVIÉES AU MONDE PAR LEUR RUSTICITÉ , LEUR RÉSISTANCE AUX ALÉAS DU TEMPS, SANS COMPTER LEUR ASPECT PROLIFIQUE DE LEUR REPRODUCTION ,C’EST DONC TOUT NATUREL QU’IL FAUT CRÉER DES UNITÉS DE SÉLECTIONS DES RACES OVINES ET CAPRINES DONT L’ALGÉRIE DISPOSE À SATIÉTÉ ET QUI SE PERDENT DE PLUS EN PLUS DANS UNE INDIFFÉRENCE TOTALE .

Ce n’est quelques idées qui pourraient être SOURCES D’INITIATIVES DYNAMIQUE AU LIEU DE S’AFFAIRER DANS UN BUSINESS HONTEUX DE VENTE DE “SON ET ISSUES DE MEUNERIE” ceux-là même qui sont censés DIRIGER LE SECTEUR ET QUI POURRISSENT DÉJÀ UNE AMBIANCE PLUS QU’EXPLOSIVE DANS LE MONDE DE L’ÉLEVAGE .

VOILÀ BRIÈVEMENT QUELQUES IDÉES QUI GAGNERAIENT À ÊTRE PLUS DÉTAILLÉES POUR ÊTRE EXPLOITÉES. LA CHAMBRE DE L’AGRICULTURE POURRAIT EN FAIRE SON BRÉVIAIRE ET SON GUIDE AU LIEU DE NE SE CONTENTER DE MULTIPLIER DES ADHÉRENTS POUR AUGMENTER ” les cartes de fellahs” devenues des sésames pour les agriculteurs, À CHAQUE JOUR SUFFIT A PEINE .

ABDELHAMID ABDEDDAIM

Mes pensées vont à deux personnes décédées, ce vendredi 2 Août, que Dieu ait leur âme : Hadj Okacha Hasnaoui et Mohamed Benkada Abdelkader

(2 commentaires)

  1. l’agriculture est redevenue une science a part entiere. le probleme de l’agriculture c’est un probléme d’eau. en amont il ya l’hydraulique sur lequel se greffe un projet agroalimentaire. l’algerie a subit un retards conserable dans les sciences agronomiques. les technqiues utilisées pour rationaliser et adapter les especes animales et vegetales sur la quantité supposé disponible d’eau ne sont pas connues. l’eau est partout dans le monde est redevenue un problème. meme si elle est disponible elle est poluée. l’eau c’est comme le pétrole chaque activité prend une quantité pour son propre usuage . l’industrie a sa part l’eau consommer une part l’eau pour les toilette , pour la cuisine. donc il faut tout d’abords acces sur les technqiue de gestions de l’eau et arriver a trouver un mecansime pour le gerer et le controler efficassement. une fois fait l’industrie et l’agriculture auront une visibilité dans la politique d’investissement. le choix ne doit plus se fire sur l’argent que va raporter un projet mais sur la consommation d’eau. bon puisque certain pays muslmans comme l’indonesie et la malaisie ont beaucoup d’eau, l’algerien privé peut aller en indonesie et le produire chez eux et l’envoyer en algerie.
    avec le rythme de la secheresse et l’erosion a l’ouest surtout car l’Est est encore bien fournit en eau. la seule chose qu’on peut faire c’est le retour a l’arboriculture a racine longue. l’arbre peut aller en profondeur pour puiser de l’eau..les algeriens depuis des milliers d’année n’ont vecu que sur l’olivier le palmier et le figuier. a l’interieur de quelques espace defraichie au seint d’une foret d’arbre on peut installer une petite unité de serres.
    mais les grandes culture cérealaire et legumes secs, le sol a été epuisé par les colons français. en periode des guerres en europe il y avait une surexploitation avec un sous investissement ..le colons metait tout son argent dans la production, il n’avait pas d’argent pour entretenir reparer corriger etc..
    il faut voir avec le voisin tunisien j’ai vu sur googlearth de grand espace de culture d’olivier l’ile de djerba qui manque d’eau. leurs problemes ils ont fait de la monoculture. il falait diversifier. coté production et coté paysagiste. car souvent lorsqu’un investisseur fait un projet il le fait sur la base d’entrée d’argent. il ne prend pas en compte la vie des gens. si le milieu n’est pas agréable a vivre l’ouvrier ne peut pas s’y fixer pour vivre. donc l’investisseur va trouver un problème dans le transport il doit tirer de loin les travailleurs ..
    ce qu’avait fait les tunisiens. ce coté paysagiste a été entamé par les arabes en Andalousie.. les européens souvent font de l’argent une priorité. il délaisse le coté humain. quelques baraques ou quelques bâtiments moche suffisent
    c’est pourquoi la ou l’européen passe le sentiment des esclaves existait.
    c’est une question de vision des choses.

    1. C’est un premier jet présenté comme une esquisse à partir de laquelle des études d’impact et de faisabilité seraient nécessaires . Bien sûr que la problématique de l’eau est une donnée fondamentale qui oblige à une attention spécifique , au mettre que la consommation d’énergie qu’il faut rationnaliser par l’utilisation des techniques d’actualité. J’ai bien précisé en titre et dans le cœur du sujet que ce n’est qu’un aperçu dont les prolongements ne sont pas limitatifs .Aussi tous les facteurs concourant au coût de l’opération seraient appréciés à leur juste valeur , par comparaison à ce qui se passe ailleurs dans les pays de même nature climatique ,dans la perspective d’une exigence environnementale .MERCI D’AVOIR ACCORDÉ DU CRÉDIT , À CE QUE J’APPELLE” ” MES ÉLUCUBRATIONS AFFICHÉES””

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