Depuis bientôt plusieurs semaines bel-abbes.info ne cesse de recevoir des emails d’étudiants et surtout d’enseignants qui dénoncent tous et unanimement un « comportement irresponsable » de certain responsables dans cette faculté qui « sèment la haine et la pagaille » disent-ils.Toutes les correspondances parlent d’une main mise de quelques étudiants sur le déroulement des activités des cours et examens de fin Février en contrepartie de quelques bribes arrachées ici et là. En effet, dans cette lettre , quelques enseignants dénoncent le parti pris de certains responsables de département qui usent de leur prérogatives à l’image du département de philosophie qui s’est permis selon eux à « déguiser la session du quatrième année de philosophie en deux sessions » alors que ces « étudiants aux ordres » en nombre réduit par rapport » au 160 étudiants de quatrième année, ont procédé à un chamboulement de « l’emploi du temps ». D’autres griefs sont portés à d’autres responsables qui ferment l’œil selon les signataires de l’e-mail, à l’encontre de quelques étudiants qui sont devenus « des petits maffiozi » sous leurs ordres ,moyennant quelques bonifications.Ces mêmes enseignants dénoncent le harcèlement verbale opéré en plein cours , devant leurs élèves. Finalement , les signataires exigent une commission d’enquête au niveau de cette faculté pour éviter « un horizon obscure » signalent-ils et terminent avec cet appel : »Aidez nous SVP, nous avons extrêmement besoin de votre aide en urgence, nous souffrons du mal de ces gens. »
Ces enseignants qui réclament une commission d’enquête se leurrent en pensant que celle-ci peut aboutir à un résultat. Ne savent ils pas ces enseignants que beaucoup de scandales de UDL ont eu des commissions bidons ( trafic des notes de médecine, trafic de doctorat à la fac centrale, trafic de PV de magister, de master à la fac de etc … etc…). Même le ministère est aux abonnés absents.
Pauvre pays, tu vogues comme un navire sans gouvernail. Les autorités sont occupées par leur députation et leur futur Koursi. Elles n’ont que faire de la souffrance des citoyens.