Les effectifs des variétés professionnelles de la sureté existent et le bilan de leur activité est parfais, pour cette année 2011, mais quelque part, ils ne sont pas complet ou plutôt ne concernent que certaines structures spécialisées, ou simplement ils sont inexistants pour ce créneau que la société civile a tant besoin pour solutionner les calamités, que les résultats de l’indifférence ont pondues sous la bénédiction de « la poule aux œufs des illusions ».
En effet cette police de l’environnement, que les citoyens avait applaudi la création en 1996, brille par son absence, quand aux sollicitant, ils demeurent quelques peu déconcertés, par sa totale disparition. Serait-elle née pour gonfler des effectifs qui serviraient aux autres fonctions de la sureté ? Ou se serait-elle constituée, pour que les variétés fonctionnelles et leurs chiffres fassent bien ?.Et dans ce cas précis, ou se figure l’APC dans cette situation ?
Combien, que ces besoins expriment l’urgence, dans une ville, que l’on désire se classer parmi les plus propres du pays, tel que le souhaite  M. le Wali, dans plusieurs de ses interventions. Mais lorsque cette police de l’environnement, se trouve quelque part surement, mais jamais là, ou elle devrait se trouver, alors, je doute fort que notre ville puisse, un jour étaler un aspect de beauté et d’élégance, pour rivaliser, celles qui sont mieux gérées.
Depuis 1996, cette police de l’environnement, responsable de grand soucis vécus sur le terrain par les responsables de la société civile, devait remplir les missions dont le citoyen en est traumatisé par le manque, de moyens de pression éducative, d’hygiène et de sécurité ; C’est alors qu’une gouvernance décidait de déstabiliser le cour des choses, en procédant par l’action de l’invisibilité à faire sentir au citoyen, que la politique des deux mesures était réelle, et qu’elle était applaudie par la musicalité des sons de cloche, figeant dans l’incompréhension, ces disparitions qui se diluent entre deux décisions, « le vouloir et le refus de vouloir ».
Cette état de chose, n’est pas sans conséquence, laissons alors les responsables des comités de quartier, à se démêler tous seuls dans le lugubre et l’irrespect du cadre de vie auquel ils aspirent, qu’ils ne cessent de sensibiliser et pour lesquels ils vont aux urnes.
Le citoyen est pour le respect de la réglementation et lorsque des dépassements ont lieu, il aime se tourner vers la quiétude, afin que cette dernière solutionne ses maux. Cependant, lorsque l’environnement fonctionnel gérant cette réglementation est inexistant, à qui devrait-il se fier quand l’ouïe attentive est sourde ? Vers qui pourrait-il se tourner, si l’assise de la providence, n’y est pas ?
Nul n’ignore que les cités de la ville, dont certaines sont désignées sous des appellations chiffrées, rappelant les casernements ou les couloirs de cloitrage( S1, S2, S3, S4, S5, S6), sont construites tant bien que mal et en grande partie finalisées, à l’exception de ces lots vides qui sèment la discorde et dont l’autorité concernée en tait mystérieusement l’existence, comme s’ils étaient réservés à je ne sais qui ?- Ces quartiers, dont certains affichent la désolation par excellence, restent non viabilisés, et rappellent ses villages délaissés des années 60 , ou crevasses, nids de poules, et amas des trois types de déchets (ordures ménagères, végétales et gravas.), constituent les combinaisons idéales, pour la prolifération des rongeurs d’égouts, chats et chien errants, sans oublier la transmission de pathologies que ces vecteurs occasionnent.