« Je suis fier de n’avoir jamais tiré un coup de feu pendant cette guerre contre quelqu’un ! j’avais refusé d’y aller car je ne voulais pas faire la guerre à un peuple qui se battait pour son indépendance. J’ai fait deux mois de prison pour ça en caserne à Auxonne. En tant que communiste, j’étais marqué au fer rouge! »
Voilà ce que vient de déclarer juste avant hier René Justrabo ,le maire de Sidi-Bel-Abbès (1947-53) qui était l’invité de marque à une exposition de plusieurs documents relatifs à la guerre d’Algérie,au siège de la fédération du Parti communiste à Dijon en vue de commémorer le 50 e anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie. Rappelons que René justrabo ancien député à l’assemblée Algérienne (1948-56), a été interné trois ans de fin 56 à 60 « au nom des pouvoirs spéciaux »
Notons BAI qui a eu à traiter plusieurs articles le concernant a eu plusieurs contact avec ce fervent défenseur de la cause Algérienne et maire de Sidi Bel-Abbes , la seule municipalité communiste à l’époque coloniale.
Mr SALIM l’article publié semble intéressé certains lecteurs surtout ceux qui ont vécu cette période.
j’aurai aimé avoir plus d’informations sur ce maire français qui a tant donné pour Sidi Bel Abbes ?en général pour une Algérie indépendante . Un exemple il n’est pas arabe , ni natif de cette ville mais ?
Sa détermination loyale lui a couté cher quel a été le motif de son arrestation en sa qualité membre du parti communiste ( P.C.A.)? .
Monsieur Justrabo bonjour,
J’ai un immense respect pour vous,gamin j’entends encore votre nom raisonner comme un clairon dans la tête du petit gosse que j’étais de la part de mon oncle qui était si j’ose m’exprimer ainsi un(justrabotiste)jusqu’au boudhiste dans ses gène et il le criait à qui veut l’entendre,merci pour votre loyauté envers le peuple,la preuve je connais des anciens qui n’arrête pas d’évoquer votre service et votre dévouement envers ce qu’on appeler les indigènes à l’époque!longue vie à vous dommage que vous ne faites pas une petite visite de courtoisie dans vortre ville que vous lui avez donner tantle gosse qui se rappelle de vous avec votre grande silhouette.