« L’égalité n’existe que lorsque chacun produira selon ses forces et consommera selon ses besoins. »
Louis Blanc
La consommation moteur de l’appareil économique plus vite elle tourne , plus l’accumulation du capital fait le bonheur du capitaliste dans un contexte purement capitaliste , il ya des lieux ou les machines tournent, la croissance économique fait des gens heureux ou le chômage n’a pas sa place dans le contexte ; mais il ya des endroits soumis aux capital ou il n’y a que des boutiques des magasins, des surfaces de vente… tous cet armada est voué à la consommation sans fin ou prime le bon marché en l’absence évidemment de la qualité .
Ces espaces de ventes prennent de l’ampleur, elles s’agrandissent de jour en jour, faisant peaux neuves avec spot publicitaire, lumière, miroir, des rayons lumineux…..etc magnétisant pour bien pigeonner le passant car le client est déjà hypnotisé. Le gigantisme, le monumental, la grandeur et l’imposant. L’homme fini par se déployer pour se perdre dans ces beaux et jolis espaces ou la lumière chasse la raison du verbe consommer selon la nécessité et l’utilité, des vitrines présentoirs ou finie l’intimité , une honte sociale des familles conservatrices .
Le style des grandes surfaces genre « ARDIS » d’Alger un espace ou tout est conçu et fait pour attirer le regard et la curiosité de voir et l’envie de consommer, cet espace est fait pour que l’homme évolue dans le cadre du consommateur semblable à l’ailleurs.
Les gens, les personnes, les curieux, les visiteurs, les gosses les enfants et les gamins ….. Sont pris brusquement par un achalandage trop excessif ou jeu de lumière, couleurs dépasse la mesure, il ya de quoi magnétisé le client dans une tornade de tentations qui fait que le client devient facilement un pigeon. Il ya les commerces, les restaurants, les snacks …. Sont destinés de sorte à ce que le client passe plus de temps dans ces lieux pour bien et mieux être « pigeonner » ces lieu Monsieur ne sont pas fait pour les miséreux !les sans sous !
Le confort y est tables, chaises et confort ; le client ne se plaint pas ; le confort booste le client pour être consommateur soumis, le temps n’est pas calculé la ballade, les courses, la détente, la restauration et c’est toute une journée qui passe en dépense point de vue finance .
Le nombre de boutiques est impressionnant ; les caissières de la grandes surface n’ont plus le temps de se reposer tellement la chaîne est longue et les cadis bien pleins.
Ces hyper marchés ne sont pas des souk el fellah leur gigantisme n’a plus de fin, ils gagnent de l’espace et du nombre c’est le grand marché du pays pour la consommation dictée par le FMI et les maîtres de la planète car le socialisme n’est plus compatible avec la pensé des gens et le peuple fait sa sieste encore , dans un autre coté il n’ya plus d’investissements donc pas de salaires distribués pour la population active , et se sont les nouveaux pauvres qui n’auront plus d’accès dans ces lieux « « bouffe-argent » le chômage et l’oisiveté se confondent dans la sphère politique !
Cette course effrénée vers ces « hard hiss » ou le gigantisme s’accélère de jour en jour sans valeur ajoutée pour que le capital externe se nourris de la ressource naturelle transformée en rente qui « misérabilise » ce pauvre peuple.
BENALLAL MOHAMED