Après tous ces cris, La société civile incrimine les autorités locales
Les habitants de la cité du lotissement s3 au quartier populeux de sidi djillali semblent confrontés à de sérieux problèmes. Cette image désolante est bien à sidi bel-abbés ou l’environnement se fait pitié. Les interventions de l’association du quartier, comme celles des autres se tarissent, les requêtes semblent faire le plaisir des tiroirs de l’oubli.
Le pouvoir politique, depuis l’antiquité, a manifesté une certaine réticence à l’égard de cette liberté et, lorsqu’il l’a reconnue, il a toujours eu tendance à maintenir une certaine tenue à distance, un contrôle excentrique, plutôt, genre éloignement ou rejet prémédité qui permet une liberté de certaines pratiques loin de toutes présences embarrassantes.
Malheureusement, ce *contrôle* s’avère plutôt une prose insidieuse à cette pratique autorisée pour préserver surtout, une autonomie et liberté de décisions fructueuses. Cet orgueil qui détache l’administration du citoyen, plonge cette figuration dans une dyspraxie et crée un sentiment de méfiance ou de défiance. Les deux acteurs, au lieu de devenir des partenaires pour un unique objectif évoluant pour le pays, s’acharnent, mettant en revers la positivité.
Les promesses de la commission communale désignée par Mr le chef de daïra et le P. APC depuis le mois de juin 2011 afin qu’un rapport de la situation de l’état des quartiers soit transmis aux responsables demeurent attendues impatiemment par les associations dans la vanité.
La cité est classée dans l’oubliette. Les habitants se préparent déjà à affronté un hiver dans la boue après être plaint d’un été plein d’insectes et de petits rongeurs qui trouvaient le lieu idéal. La cité n’a pas été touché par le programme du volontariat ni par la prise en charge de la dite commune.
3 thoughts on “Après tous ces cris, La société civile incrimine les autorités locales”
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En réponse à Mr Hakim dont je respecte votre idée d’intervenir et vous exprimer c’est votre droit tout simplement j’attire votre attention que l’Algérien qui ne cesse de se lamenter est fier de l’être il ne fait que son devoir de noble citoyen qui dénonce les lécheurs de bottes .
l’algérien n’arrête pas de se lamenter et particulièrement au niveau de l’hygiène! chacun va chemin faisan de son commentaire,mais il ne se pose pas la question à savoir qu’est-ce qu’il peut faire à son niveau?la morale dans tout ça, tous les algériens se critiquent mutuellement et personne n’est capable de ramasser ses propres ordures,Ha!si pour les mettre juste devant son voisin.L’algérie ressemble à une porcherie,des favélas et le paysage ressemble à un patchwork,avec tous ces sacs en plastique de toutes les couleurs.
Sommes nous pas des(musulmans/nes)?l’hygiène est la foi en soi à méditer.
notre environnement est insalubre de plusieurs facteurs il y a prolifération des déchets et des nuisances de toute sorte il y a encore l’anarchie qui occupe le domaine de gestion de la collecte des dechets et de sa gérance aucune importance n’est donnée à la question de la salubrité de nos cités ,le ramassage des ordures n’ont pas été gérés comme un service pris au sérieux malgré leur impact évident sur la santé des habitants nos cités sont plongés dans un environnement mal sain y a t’il une solution sur ce cas je n’y crois absolument pas puisqu’il s’agit d’une volonté et de détermination pour élimener ce fléau c’est une affaire d’homme!