Les non-dits d’une rencontre : Quand ça traine, ça révolte. Les associations de sidi djillali dénoncent et se lavent les mains.

Désormais, le rideau officiel baissé, les coulisses enchainent et le film ne se termine pas aussitôt. Ceux qui se trouvaient gênés de dire à leurs façons, certaines choses devant des présences gênantes, peuvent se permettre tout en usant d’une autorité de gueuler à leurs guises aux fins d’intimidations possibles.

Tout donnait l’air de bien se passer dans cette rencontre wali/société civile, cette semaine au centre culturel de sidi djillali, jusqu’au départ du chef de l’exécutif. Mais quand on est senti secoué, on garde toujours nos différents pour un échange briguant dans les coulisses.

L’école Lassouli Abdelkader à la cité Benhamouda semble toujours d’actualité et apparemment les associations n’ont aucunement l’intention de tourner la page.

A ce sujet, une suite à ce rassemblement est apparue, posant des points d’interrogations et des suspicions.

De notre source, un entretien a eu lieu à la sortie entre le Directeur de l’éducation, les deux membres d’association  s3 et s6 de sidi djillali et le secrétaire général de l’A.P.C, réitérant le problème  de  l’aménagement  du dit école qui dure depuis plus de 6 mois malgré toutes les demandes adressées  aux administrations concernées et qui restent vaines et sans suite jusqu’à ce jour.

« A chaque demande d’intervention, le secrétaire général  de l’apc et les services techniques de la DLEP  entravent nos démarches et ne veulent pas admettre la vérité tout en camouflant  et défendant les entreprises qui ont laissé lors de leur passage dans cette école, des travaux défaillants » ils enchaînent « nous demandons une expertise, car il s’agit non seulement des deniers publics mais surtout  de la sécurité des enfants  exposés à des risques imprévisibles »

D’après leurs dires, « le personnel de l’école et les enfants travaillent dans des conditions déplorables ». Ils avancent aussi, « s’il n’y a vraiment  rien à cacher alors pourquoi interdire de défendre ce qui revient de droit ? Sauf,  s’il y  a une complicité quelques part, car ce que nous avons constaté a laissé le doute planer en remarquant que le  SG défendait ces entreprises ».

Ils ajoutent « Nous maintenons notre position  en réclamant  les procès verbaux  de constat, du fait que ce genre d’agissement  pousse  à demander une enquête   administrative et judiciaire  relative et de déterminer  les responsabilités».

D’autre part, les présidents des dites associations n’ont pas manqué de saluer à l’occasion, à leur tour, cette reconnaissance qu’éprouve le wali envers ce qu’il a qualifié d’associations agiles. Mais comment ? se demandent ces derniers,  « prouver et apporter de réelles collaborations répondants aux attentes et se distinguer comme citoyen digne de responsabilité, de confiance. Comment montrer le visage que clame le chef de l’exécutif, si on se contente d’assister aux rassemblements et partir ensuite à nos maisons ?».

Ils enchaînent « Il y a des faits qui ne peuvent pas nous laisser indifférents. Il y a aussi, en plus des responsabilités, des défis devant cet engagement qui nous oblige à ne pas revenir en arrière et dénoncer toutes insuffisances à qui de droit dans l’espoir de mettre fin à ce laxisme destructif ».

De cela, il y a lieu de rapporter en plus « des lots nus et inconnus depuis plus de 20 années,   périmètre du lotissement bitumes y compris,  les 16 regards enfouit à plus de 30 cm du niveau  de la surface revêtue, camouflés par le passage de la goudronneuse d’où les habitants de la rue de la mosquée exposés aux inondations constantes de leurs habitations  et ce , à chaque chute de pluie ».

Les câbles d’électricité de la niche de l’éclairage public non fermé, dans cet état sur la photo, témoignent davantage et justifient les préoccupations et réactions. Un danger mortel,

sans que personne ne se souci jusqu’à l’incident.

« Des coupures  constantes »nous raconte t-il, causées par le déséquilibrage  d’une charge non supportée qui plonge à chaque fois, le quartier dans le noir, provoquant l’insécurité et nuisant d’autre part, aux matériels fonctionnant avec cette énergie.

 

2 thoughts on “Les non-dits d’une rencontre : Quand ça traine, ça révolte. Les associations de sidi djillali dénoncent et se lavent les mains.

  1. la vérité met le poignard à la gorge il faut baiser sa main blanche .EL BALLOUT RAH YATARTAG ALLAH YATIKOUM ESSAHA YA OULED OUAL BABOUCHE GHIR BOUKRARA . çA SAUTE AUX YEUX

  2. maintenant que Monsieur le wali de sidi-bel-abbes est au courant de cette sale affaire dite “”école lassouli de sidi-djillali” et des responsables irresponsables qui font tous pour que cette affaire ne remonte pas en surface et remonte avec elle leurs magouilles je pense qu’il faut saisir Monsieur le procureur de la république de la wilaya de sidi-bel-abbes pour qu’une enquete soit menée et déterminer la responsabilité de chaqu’un dans cette sale affaire qui pourrait en cacher d’autres plus sales encore et là vous allez tous comprendre pourquoi Monsieur le secrétaire général de l’APC de la ville de sidi-bel-abbes fait tous pour étouffer les voix des associations civiles qui crient au scandale et pointent du doigt les responsables douteux.
    vraiment l’odeur de la corruption émane de toutes les fenetres du siège de l’APC de SBA
    bonne chance aux présidents des associations .
    et honte aux corrompus

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