BEL-ABBES INFO

Le premier journal électronique de la wilaya de Sidi Bel-Abbes

ENTRE PARIS ET GENÈVE, LA NOSTALGIE FAIT LE PROCÈS DE BAI.

ByDjillali C.

Mar 10, 2016

La vie est composée de deux types différents : ceux qui veulent la faire et ceux qui veulent la défaire. Ainsi, il est aisé de constater que les uns utilisent le don du verbe et  la maîtrise d’une langue dans la transmission du savoir en toute humilité, alors que les autres préfèrent tremper les termes les mieux choisis que pourrait offrir le plus prestigieux des dictionnaires dans le vitriol,  non pas pour épater la galerie, mais pour mettre en exergue l’évidence qui veut que la critique soit aisée.
Mon cher am qui préfère voguer fréquemment beaucoup plus entre Paris et Genève que se prélasser à Sidi-Bel-Abbès, Mostaganem,  Oran ou Zerouala et Sfisef, comme se complaisent à le faire ces piètres « rédacteurs de BAI en mal de notoriété » ; une fois qu’il ait réglé ses comptes avec le Wali, la Société civile, les écologistes et la liste est longue, se retourne contre le journal qui lui a ouvert sa tribune où il a pu déverser son fiel dont l’acuité n’a d’égal que le caractère aigri qui l’anime.
Parlant de BAI, mon ami va jusqu’à constater que cela « va de mal en pis, avec des articles hétéroclites qui vont de l’anecdote au racolage au bénéfice d’une administration qui n’en attendait pas tant. » Chez ces aigris caciques – ayant vécu dans le système rentier qu’ils se complaisent à critiquer – rapporter une information équivaudrait à de la délation. Pour être de bonne presse, il faut impérativement faire haro sur l’autorité, dans notre cas sur le Wali, fusse-t-il en dehors de la mêlée. Qu’à cela ne tienne, il faut le descendre à tout prix !
Un intellectuel malhonnête est comme le cerf-volant : il est gonflé de vent, il se pare de belles couleurs pour séduire, et lorsqu’il vole il est en général manipulé par sa pédanterie et sa prétention.
Lorsque mon cher ami suggère que «Le site devrait être le porte -parole d’une mouvance qui ne se résignerait pas au déclin et qui se projetterait sur le futur bouillonnant de l’innovation»   qu’il me permette d’être sincère et lui avouer que n’ayant pas son niveau, je ne saurais comprendre le message qu’il souhaiterait nous transmettre, l’implorant à reformuler selon nos petites cervelles.
Quand mon Ami nous suggère de «proposer, suggérer, orienter les investisseurs potentiels sur des créneaux devrait être le combat courageux que mènerait le site , une rubrique devrait s’atteler à cette tâche , au lieu de pérorer autour des mêmes thèmes adoubés jusque-là, tels que l’écologie mal-comprise , le reportage sans utilité ou s’alarmer sur le sort des chiens- errants,» qu’il me permette de lui rétorquer simplement : «on ne peut trouver mieux que le cerveau du vieux!» Ah ! qu’il est beau l’adage du terroir !
Passant de l’ami au Professeur, il assène : «Sans vouloir définir une ligne éditoriale , j’ai fini instinctivement par en tracer une voie possible, sans originalité , mais en marquant les jalons d’une opinion engagée , tout en évitant d’opter pour une neutralité passive dénaturant ainsi une information objective» que celui qui a compris lève le doigt ! Pas moi, Monsieur ! .
Cher ami, toi l’érudit, tu n’as pas du oublier cette citation d’Antoine de Rivarol qui te sied si bien : «Il y a quelque chose de plus haut que l’orgueil, et de plus noble que la vanité, c’est la modestie ; et quelque chose de plus rare que la modestie, c’est la simplicité »
La ménopause a en commun avec la vanité et l’orgueil d’être l’expression d’une crise où les flux s’arrêtent et les stocks s’accumulent de tous côtés et cela pollue inévitablement l’atmosphère et lui confère une odeur de relent et de miasmes auxquels les modestes contributeurs (et non journalistes, ils ne l’ont jamais prétendu) de BAI ont toujours pris la précaution de s’en prévaloir.
Mon cher ami, tâche de te rappeler que l’enjeu de la politique est de donner un bon service. Si ton but est de trouver la domination, je te conseille plutôt de faire du sport. En es-tu toujours capable, car, la bêtise n’interdit pas l’entreprise, au contraire ; elle en masque les obstacles et fait apparaître facile ce qui   semblerait désespéré.
Par conséquent, Cher Ami, quand tu subis désormais quelque petite déprime nostalgique entre Paris et Genève, je te conseille plutôt un autre remontant que de tomber à bras raccourcis sur les «pôvres» contributeurs de BAI qui sont tous prêts à te laisser les rênes aussitôt que tu le voudrais, mais en auras-tu le temps, occupé comme tu es ?
Car, la nostalgie ne fait du bien que si elle tient de nos vingt ans, après la nostalgie se nomme mélancolie ; et le premier des bons ménages est celui qu’on fait avec sa conscience.À bon entendeur…….
djillali@bel-abbes.info

6 thoughts on “ENTRE PARIS ET GENÈVE, LA NOSTALGIE FAIT LE PROCÈS DE BAI.”
  1. le merite de bai ce n’est pas le contenu qui sera d’une manière ou une autre critiqué
     »on ne peu pas plaire a tout le monde c’est claire »
    le merite c’est deja de mettre en ligne un journal ce n’est donné a n’importe qui de le faire
    c’est leurs Journal en ligne  »faite comme eux et éditer ce que vous voudrez » bienque le site appartient a un hebergeur qui fait dans le gratuit..le merite aussi le prend en integralité l’hebergeur c’est lui l’editeur..sauf que les createurs sont aussi responsable de leurs ecrits..s’ils ne cite pas de nom y a rien a craindre sauf si il y a droit de reponses..
    Maintenant ce que je refuse de faire entant que journaliste libre des enquetes c’est de faire le travail des partis politiques.. »il ya entente » entre parti politique car chacun n’édite pas pour dénoncer l’autre..
    un journaliste dans un parti politique est protégé par une orgnaisation et s’il publie sous un pseudonyme l’article est considéré appartenir un parti politique..Mais un journaliste libre qui s’éleve contre la gabegie le gaspillage
    le détournement le laisser aller doit etre protégés par la justice..il doit appartenir a une organisation qui le soutiens dans ces actions et en premier lieu le premier concerné dans la dénonciation c’est le Juge lui meme..si un avocat se contente dans son travail de défendre un client qui défendra l’animal?? le chien n’a pas le droit a un espace pourquoi le liquider et les abbatre de quel droit??
    On dit chapeau a BAI le fait de mettre en ligne un journal sinon les questions internes ça les concernes..moi j’écris des commentaires et c’est tout
    et aussi personne ne m’oblige d’écrire des commentaires je peux les éditer ailleurs ou les supprimés …en principe BAI doit proposer les outils  »corrigé modifié ou supprimés un commentaires »..quant ça me plait pas je supprimerais mon commentaires..
    salutation

  2. Bonjour,
    En tout premier lieu, faisons d’abord l’heuristique pour découvrir les faits.Le but est d’une certaine façon, un rétablissement vers l’entente entre deux Baistes connus et reconnus.Dans ce cas précis : Jacques Derrida et sa théorie du signifiant qui renvoie directement au signifié reste intéressant car ce philosophe aide les lettrés à sortir d’une guerre de mots dans un sens non souhaité. L’approche des mots est primordiale étant donné l’aspect du débat qui a pris une apparence « textuelle ».

    Bon alors ! Le conflit commence le 8 mars 2016 par l’insertion de deux mots : « définir et finir » dans un long article qui fera date. Le 10 mars 2016, deux autres mots : « Faire et défaire » s’ ajoutent au conflit ainsi la théorie de la tache d’huile s’invite au débat. Un autre article et bien évidemment d’autres commentaires répandent de l’eau sur le sol de Bai-info. De manière manifeste et publique ! Toute « réponse » est censé répandre de l’eau sur le sol pour l’humidifier.Mais, elle ne fait que étirer la dissension.

    Mes chers amis ,vous semblez constamment sur le point de dire quelque chose d’intéressant, mais vous ne parvenez pas à l’expliquer clairement. Voilà pourquoi Dérida revient à Sidi-Bel-Abbes ! En particulier sa théorie du signe et son apport aux sciences de l’information et de la communication. Elle invite les journalistes à se rassembler pour avancer des idées porteuses c’est-à-dire de nouvelles aires de dialogues critiques de la critique. Derrida dans sa théorie commence par « inventer » des mots (tout en remplaçant des syllabes : le e par un a etc …) et nous prévient que ces mots ne sont , ni des mots ni des concepts et que sont intervention graphique « a été calculée dans le procès écrit d’une question sur l’écriture » . Autrement dit, il y a déjà une écriture dans la parole. Il s’agit donc, pour lui, de reconduire l’opposition entre écriture et parole. Il pratique des jeux de mots.Il dénonce en quelque sorte la présence de l’écriture.Les philosophes nous diront qu’il « déconstruit » le texte. Du fait que dans la langue il n’y a que des différences.

    N’est ce pas intéressent ?! Pourquoi ne pas ne pas DÉCONSTRUIRE cette écriture (Rouge sur blanc) et ces représentations mentales fixes (Noir sur blanc) dans notre cerveau et « ouvrir » ainsi le texte. Le texte est écriture et l’écriture est langue (non intention). Elle est langue par rapport au discours qui la met en œuvre. « L’archi-écriture, c’est la lecture incluant l’écriture » nous dit –il. Ce qui est intéressent aussi dans la théorie de Dérida !!! C’est qu’il déconstruit plusieurs fois le mot « mort » et « eau », il nous dit : Lors de la lecture du mot « eau », on peut penser à des gouttes d’eau, à un lac ou H2O , etc. On ne pense pas nécessairement à une image universelle et fixe de l’eau. Pour le mot MORT nos amis commentateurs on déjà échelonné plusieurs signifiés et je les remercie au passage.

    Cette chaîne de signifiant à signifiant se traduit par un … »jeu sans fin »…..Alors ! En, toute chose il faut méditer la fin.Bonne journée.

  3. Si on veut faite la journalisme, c’est dans la merde qu’il faut plonger ses mains, Or décrire une virée pectaculaire d’un buraucrate en train couper un ruban , ce n’est pas de l’information ni mérite qu’on consacre paragraphes apres paragraphes.

    Vous n’avez qu’a parcourir une des mutitudes gazettes étatiques, de n’importe quel jour ou n’importe quel mois ou quel année sans y trouver a chaque ligne, des sujets apologiqiques, de la perversité la plus épouvantable, en meme temps que les vanteries les plus surprenantes de probité…. bref un tissu de de propagande, d’impudicités et de mensonges de la premiere page jusqu’a la derniere….

    Mais Dieu merci, BAI n’est pas un jounal étatique, son indépendance doit etre prouvée en étant objectif, en gardant une distance par rapport aux déteneurs de pouvoir et jettant un oeil critique sur toute information. Le BAI doit se distinguer des autres journaux conformistes de la ville, mettre constamment les mots sur les maux, etre la voix des sans-voix, dénoncer les arnaques,les bidouillages, et les mensonges obscenes .On ne peut évoluer sans la perpetuelle remise en questions des dogmes, des habitudes,et des pensées ou marcher dans les combines grossieres et les facilités honteuses, ou en ayant l’ésprit moutonnier des conformistes.Oui beaucoup de sujets demeurent tabous, mais ces tabous ne devraient pas nous faire craindre la confrontation.!! C’est en crevant l’abcés qu’on peut guérir !!!

    Quant au billet de Adbedaim, je pense son attention était de mettre les points sur les i, de rappeler a l’ordre quelques imprudents. Ce n’est pas une attaque ad hominem et par conséquent , totalement inutile de monter sur les gros chevaux et le déscendre en flammes.

  4. Décevant, écœurant et intolérable ! Que veulent et qu’attendent de nous ces martiens d’outre méditerranée? que veulent-ils nous apprendre? sont-ils plus informés que nous le sommes sur la scène locale Bel-abbèsiene?
    Non ! je pense vraiment qu’il ya anguille sous roche dans tout cela et dans leur intervention et c’est dommage qu’on parvient difficilement à l’hameçonner d’une manière plus adroite. On gesticule et on se retourne contre ces pauvres bénévoles de BAI qui tentent par tous les moyens d(informer et de mettre à l’heure les internautes interréssés. Alors si c’est ça qu’ils veulent , cesser de publier et dites leur au revoir pour qu’il vous épargne ces critiques acerbes!

  5. Je n’ai jamais utilisé une tribune pour régler un problème que nous pouvions débattre en tête à tête . Étaler ma vie privée , sans raison me donne à croire que tu veux prendre à témoins une opinion publique en mal de sensations. Je n’ai aucune prétention et je ne brigue aucun mandat , ni ne cherche à briller. J’interviens sporadiquement pour des problèmes locaux qui me tiennent à cœur. Je ne veux pas polémiquer sur ce que tu fais, sur ce que tu es, sur tes états d’âme ou même tes tendances idéologiques, à chacun son terrain de prédilection . Si les ressentiments de chamailleries passagères marquent le pas sur la raison, il me semble que le sage adopté par votre posture et le ton de votre chronique auraient pu être plus mesurés pour ne laisser rejaillir une animosité non contenue. Je ne veux pas croire que cela relève de la vengeance , d’autant qu’en ce qui me concerne je n’ai jamais considéré notre relation comme irréconciliable, alors même que j’aurais pu interprété vos silences à mes appels maintes réitérés , comme un dédain entretenu. En tout état de cause , je ne me fourvoierais pas dans les tourbillons de la polémique pour assimiler problèmes personnels et destinée d’un journal en ligne que nous contribuons tous à enrichir. Vous n’êtes pas le premier à qui la contradiction fait mal, mais ce qui est . pitoyable à mon sens , c’est de rechercher à vous faire une honorabilité de patriote en prenant  » faits et causes » pour l’administration comme si je m’inscrivais moi- même dans une opposition frontale. Mes interventions ont été toujours étayées dans des contextes précis et s’expliquent d’elles mêmes . Je ne veux pas trop m’étaler , j’aurais servi au moins à vous inspirer une chronique si tant est que le trou noire vous ait plongé dans le vide . Une rancune suppose de la considération , j’avoue ne pas la tenir et vote sensiblerie aurait raison de votre intelligence pour éviter de faire de la sémantique un sujet de polémique , je ne prétends pas être Voltaire , ni vous VAUGELAS . Je vous livre cette citation , à méditer , pour tenter pour le moins de tempérer vos ardeurs. Je cite PALMERSTON , ministre des affaires de Grande Bretagne en 1848,
    CITATION—-«  »Ceux qui ont arrêté le progrès parce qu’il est une innovation seront obligés un jour ou l’autre d’accepter l’innovation quand elle aura cessé d’être un progrès «  »
    À ce stade je ne heurte et je ne cajole personne, je fais dans l’élégance et vous demande de respecter mon droit de réponse en publiant sous votre rubrique le présent commentaire .

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