5 Replies to “Examen de résidanat de médecine de Sidi Bel Abbes : Y-a-t-il eu magouille ?”

1. Une journée du mois de Juin de l’année scolaire 1963/64. Dans une école primaire (garçons) à Cité Mimoun. Classe: C.M.2 (l’unique dans notre école). Il est presque 8H et nous nous apprêtons à entrer en classe. L’atmosphère semble un peu lourde car, moi et mes camarades, nous sentons une légère anxiété nous envahir. C’est le jour d’examen d’entrée en sixième. Seulement le «blanc» parce que l’examen proprement dit, on le passera au Lycée Abdelkader Azza. Sous le regard attentif du maître (Mr Abdedaïm), nous entrons un par un. Il nous est demandé de sortir de nos cartables, juste de quoi écrire. Entre-temps, la porte s’ouvre; c’est le Directeur (Mr Belkhodja) –que Dieu ait son âme- venu en superviseur, qui entre. Nos petits cœurs battent la chamade parce qu’on doit attendre encore et nous ne savons pas quoi au juste. Le maître jette un coup d’œil par la fenêtre d’une minute à l’autre. Une dizaine de minutes passent ainsi et voilà qu’on frappe à la porte. C’est le Directeur qui va ouvrir. Un facteur lui remet une grande enveloppe contenant les sujets mais aussi des feuilles blanches pour écrire. Mr Belkhodja lui signe la décharge, rentre et referme la porte derrière lui. Les épreuves d’entrée en sixième (juste l’examen blanc) commencent…
   C’était la belle époque. Une époque où les études signifiaient: LES ETUDES!

2. Et voila ça recommence, on commence a s’habituer ; Octobre c’est le mois des scandales a l’université de Bel Abbés, enfin c’est l’occasion de remplir les poches afin de commencer l’année avec une Bagnole Neuve

3. Encore un autre scandale honteux qui vient gonfler le palmarès reluisant de l’immoralité des responsables de l’université de Sidi Bel Abbès. Chaque année, on assiste à des actes malhonnêtes, frauduleux, orchestrées surtout par des enseignants véreux pour favoriser soit leur progéniture, soit leurs proches.
   Des commissions d’enquête sont installées et composées de membres complaisants rendent des rapports serviables, arrangeants, indulgents.
   En final, on laisse le temps aux indignés, aux révoltés de s’apaiser.
   “Les chiens aboient et la caravane passe”, diront-ils ces xxx! Et puis l’année passe et ils recommencent de plus belle, sans foi ni loi. Quel gâchis!
   Je me pose encore une dernière question : comment ces gens là peuvent-ils encore poser leur tête sur un oreiller et dormir tranquillement ?

4. Je suis la 4eme du concours de résidanat de Sidi Bel Abbes 2013 , je suis outrée par cette article.Je n’ai jamais été déléguée et je n’ai jamais exercé un autre métier auparavant , je suis une simple fille de fonctionnaire et les professeurs que je connais , comme tout autre étudiant de médecine sont ceux qui mon enseignés. Je suis en droit de porter plainte pour diffamation et propos calomnieux contre ce journal , je peux comprendre les détracteurs qui sont les perdants dans ce concours , comprendre leur colères et leurs mécontentements mais c’est impardonnable pour un journal de la presse Algérienne de rapporter des oui-dires sans vérifier des renseignements ni juger de la bonne intégrité de leurs sources.Ou se situe la déontologie de la presse?!!!! Qui fait passer la liberté d’expression mensongère avant sa fonction première qui est de faire passer la vérité .

5. Bon juste pour rectifier Mr Soulimane n’était pas membre de jury et la 4eme c’est Asmaa Benali et elle n’est pas déléguée médical

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