Il y était une fois, un roi qui possédait un unique et sacré éléphant.

Cet éléphant trop gâté et choyé par son maitre, libre de tous ses actes et gestes, au milieu du contexte géographique, social et agricole. Ce gros animal acquiesçait de susciter bestialement des ennuis aux habitants de la cité, car il écrasait et annihilait tout sur son passage, sa trompe et ses pattes balayaient tout sur son parcours.
Les habitants de la cité, lésés par ce massacre gratuit de leurs biens acquit à coup de sueur, se sont mis en colère intérieurement face à cette fâcheuse et insupportable situation ravageuse.
Une coryphée genre citoyen ou bien association d’aujourd’hui, faisant partie de la société civile, garante des droits et des obligations selon les règles de la république d’aujourd’hui. Ce dit responsable de chœur dans cette tragédie, rassemble l’ensemble des habitants de la cité pour, leurs expliquer gentiment leurs droits pour la préservation de leurs biens mais aussi les obligations pour la protection et la sauvegarde de leurs biens. Devant cette fâcheuse situation, le message débité, était bien expliqué, lui avait permis d’avoir de facto l’aval pour le recouvrement en masse de leurs droits. A cet effet, il leurs proposait une forme efficace de quérulence, elle avait été accepté par suffrage pour avoir la force de la règle engagée, c’est une manifestation qui devrait se faire le jour « J » devant le château du roi, pour dénoncer les nuisances des caprices de l’éléphant et exposer au roi en même temps leurs problèmes de cité.
Voilà venu ce fameux jour « J », le regroupement s’était opérait dans les conditions prescrites , l’ensemble de la population de la cité avait répondu à l’appel de ce « J », la manifestation commença et ils se dirigeaient vers le château du roi, mais au fur et à mesure que les manifestants s’approchaient du château, les principes de chacun de ces contestataires se mettaient en jeu, la peur, la phobie et l ‘appréhension s’emparait des béni-oui-oui, des arrivistes, des archaïstes, des arriérâtes ,des corrompus, des sans principes, des faibles d’esprits , des profiteurs des « shab chitas »….. se retiraient l’un derrière l’autre tout le long du chemin menant au château du roi sans que le meneur ne s’en apercevait , toujours à l’avant point de reculade, ni de voir par derrière.
Arrivés devant le château du roi, le leader pour ne pas dire le chef, se sentant prégnant. Le roi, alerté par ses sentinelles, dépositaires, cerbères et prétoriens se présente devant l’énorme portail du château, et s’adresse à ce prétendu chef ou leader altruiste plein de bon sens et de courage pour sa vision utopique du changement :
Le roi lui dit avec un air d’autorité royale : Que se passe-t-il ?
Le chef avec un air d‘un progressiste, d’un républicain et d’un démocrate se retourne vers les manifestants (citoyens) afin d’accumuler une certaine énergie et force citoyenne lui permettant de mieux surmonter et faire face à cette force impériale, pour insinuer que la force est bien de son coté, ne voyant personne derrière lui(les citoyens protestataires se sont dissipés et diffractés pour devenir de simple sujets), Il s’est trouvé tout seul, et il perd ses forces et son énergie.
Le chef : perd sa langue, la force royale l’ensuque, et l’épate ne trouvant à peine une seule parole représentant l’image de l’éléphant, pour lui signifie l’éléphant ! Sa majesté, l’éléphant !, l’éléphant !!.
Le roi ne comprenant absolument que dalle ! Réagit avec célérité: Qu’est ce qu’il a mon éléphant, et afin de mieux lui exprimer la bonté royale pour son peuple, le roi réplique autrement et impérialement en prenant en compte les considérations, les doléances de son peuple. Que vous a-t-il fait mon éléphant ?
Mais l’intelligence du meneur lui permet quand même de dégoiser : Nous pensons( moi et les habitants de la cité) sa majesté ! Qu’il sera souhaitable pour ton éléphant de lui trouver une éléphante, majesté.
Conséquence : La force des démocrates( composée de sujets) se diffracte devant un régime et un pouvoir autoritaire, caporalisée, césarisâtes, ou autre autiste et dictatoriale, elle ne peut braver, ni causer, ni inciter à un changement de système de gouvernance, ni même à de petites réformettes sinon solliciter une éléphante pour mieux éterniser le consentement des divers sujets d’un pays qui s’enivrent d’une rente paradisiaque.
Telle est la nouvelle fable qui détruit toute moralité

8 thoughts on “Il y était une fois, un roi qui possédait un unique et sacré éléphant.

  1. Les pinceaux se sont un peu emmêlés et une Autruche comme moi, ne sait plus quoi penser; si ce sont les coqs qui veulent devenir des éléphants, ou ce sont les éléphants qui veulent se muter en coqs……???!!! La question restera posée, car tout est possible….lorsqu’on voit ce qui se passe autour de nous….!!!!!

    Quant à lui trouver une éléphante, ailleurs ce n’est plus utile maintenant, puisque l’équilibre s’est rompu grâce justement aux progressistes à l’assemblée nationale et au président de l’internationale socialiste sioniste….???

    Moi, ce qui m’inquiète le plus, c’est de voir autant de poules suivre un seul coq….elles ne savent même pas où est ce qu’il les emmènent……! Qu’elles ne reviennent pas pleurnicher par la suite…!

    Enfin, tous les animaux ne se ressemblent pas ainsi que les poulaillers et les volières..!

    1. Salam le Sygne :
      C’est pourtant pas compliqué:
      la poule c’est la femelle, et le coq c’est le mâle.hihihi
      C’est le coq qui chante, mais c’est la poule qui pond les oeufs.”

      Margaret Thatcher

      alors il faut le suivre ….c’est clair

  2. La photo me suffit,il est des animaux mieux organisés que certains humains.Chapeau au coq,et mes respects aux poules d’un blanc immaculé!

  3. commentaire au sujet de la photo choisie pour cet article celui qui l’a choisi chapeau il est très fort elle est belle et veut tout dire ce coq est courageux et quelle démarche galihe waldih edik waaere et toute une meute apeurée derrière lui vraiment à en rire et pleurer sauf que le récit parle de l’éléphant pas du coq hardi heureusement que le roi n’est pas un loup sinon ce pauvre coq aurait payer sa bravoure ?

    1. salam boualem ;bien dit …..be of the same opinion
      C’est magnifique, je trouve (couleur, angle de vue…) smile.gif
      A bon coq il faut 7 poules
      aller un autre :« Le problème en ce bas monde est que les imbéciles sont sûrs d’eux et fiers comme des coqs de basse cour, alors que les gens intelligents sont emplis de doute. »

  4. Mr Benallal, pourquoi vous avez choisi “un chef avec l’air d’un progressiste d’un démocrate et d’un républicain”…??? Pourquoi, il y en a pas d’autres….??? Au fait quel air il a ce genre de chef….??? Comment peut-on le reconnaitre à partir de son air…..??? Est ce qu’il est spéciale….??? A moins que vous parliez d’un air de musique et là les goûts et les couleurs ne se discutent pas…!!!!

    Tout compte fait, s’il était comme vous l’avez gonflé dans ce récit, votre chef aurait dû aller jusqu’au bout quoi qu’il lui en coûte…! Enfin ce n’est pas donné à tout le monde, surtout maintenant, chacun tient à la vie……pour chanter l’air de “la balade des gens heureux”…!

    Au fait, c’est quoi un progressiste…? Parce que moi aussi j’aime le progrès..!
    Pour la république c’est bon….Ah! reste maintenant le mot démocrate, quel sens vous lui donnez……??? Avec deux sens, ou à sens unique et l’autre interdit…!!!?

    1. Salam Madame! Votre question est pertinente. Il y a certainement tout à gagner des choses clarifiées. Républicain, démocrate, progressiste, …? La couleur de l’étendard qu’on lève est souvent bien floue.
      Nous sommes à la fois républicains et démocrates! Aux U.S.A., par exemple, on est soit l’un soit l’autre. C’est déjà un tout petit peu plus clair. Démocratie? les «démocrates» sont fervents pour en parler mais peu enclins à la pratiquer. Les «progressistes», eux, s’évertuent d’abord à nous faire oublier notre passé et nos origines.
      Mais qui va nous faire sortir de cet imbroglio ? Et quand ? Parce qu’entre-temps, le sacré éléphant continuera à faire des ravages… Bonne année à tous !

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