LE COMMUN DES BENISAFIENS DÉGÉNÈRE DANS L’INFORMEL

La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne… et personne ne sait pourquoi !Einstein

Suite aux dispositions des lois et règlements mis en vigueur portant sur les droits de l’homme comme celle de la liberté sinon la démocratie .Une conception qui nous manque c’est bien le verbe qui permet à ce que la gestion se fait dans une collégialité qui nous assure de voir bien, de voir le bien, de voir beau, de voir l’utile, de voir l’agréable, de voir le juste, de voir le nécessaire de voir la prospérité pour l’avenir.

Certes, que depuis 1962 nous vivons dans un contexte ou la communication n’a jamais été aussi rapide pour que l’avenir du peuple soit meilleur et l’avenir de soi c’est-à-dire de la vie privée soit mise de coté. La transparence doit être de mise suivit d’une logique de penser que l’on peut tout dire dans le cadre bien sur de la règle établie

Citoyen, peuple et Ghachi en course !

Force de constater que nous évoluons dans un paradoxe grandissant. Nous avons accès à des informations aussi futiles qu’inutiles sur la vie de nos citoyens dans un contexte ou il ya lieu d’être bien gérer par un pouvoir local pour de sorte que le cadre de vie soit aussi agréable, utile, nécessaire et beau.
C’est la faute à la commune, une notion signifiant que tout est mis en commun, gérée par une assemblée communale avec les « sous » des communs des mortels et une organisation de gestion canonique.
Il est évident que de savoir ce que fait mon voisin est indispensable à son équilibre et au mien quand le respect des biens et des actes communs sont pris en considération commune.

La communication dans la transparence
Et pourtant, au sein de ce pseudo transparence, il devient de plus en plus difficile de communiquer car l’enjeu se fait au niveau de la commune pour élaborer des projets, des contextes idéaux de bonnes idées qui font marcher la société vers l’avant. Donner son avis, son ressenti porte à préjudice aujourd’hui, détournement de sens pour la chose utile est devenus un sentiment de défiance vers l’inutile par exemple, faisant ainsi vivre l’imaginaire collectif qui refuse tout récalcitrant.

La loi protège le citoyen parait il. Elle existe pour l’équilibre d’une société, ne pas défavoriser les plus faibles. La liberté d’expression à certes ses limites, la censure ou l’auto censure n’est pas la solution à des sentiments négatifs, que l’humanité véhicule depuis des millénaires. Il serait judicieux de faire preuve de bon sens et d’accepter nos imperfections. De la gestion communale de Benisaf prise comme exemple ; n’a jamais été faite par des idées collégiales, l’exécutif fait sa loi de la puissance et l’exécution se fait au détriment du bon sens.

Les lois communales sont piétinées par ceux qui les font.
Combien de délibérations ont été prises pendant ce mandat, combien celles qui ont été exécutées, le contre pouvoir existe sans le verbe, car le verbe n’a pas été accompagné par d’instruments lui assurant de se mettre en mouvement à part la dénonciation ou inoculation qui piétinent les balises des communs des mortels.

Les centaines de lettres écrites signalant anomalies, infractions, incohérences, mauvaise gestion, contradictions, irrationalité… destinées dans la transparence totale au premier responsable de l’exécutif ne sont pas prises en considération, ni même par l’assemblée qui ne sait pas que se veut dire les idées bonnes qui devront être débattues pour embellir la cité Les quotidiens nationaux ont retracé plusieurs fois , les appréciations de la gestion, du patrimoine du bien communal de la ville de Benisaf .

La Tutelle est absente devant la dégradation du patrimoine communal
La tutelle est destinatrice également avec autant de lettres d’information sans que les mises au point ne soient mises en exécution idem pour la wilaya

Le patrimoine de la commune ne résiste plus au bien fait, les lots de terrains et biens communaux ont été travestis du public en privé par un gré à gré qui ne dit pas son nom ; l’éclairage public n’éclaire plus la cité par manque d’idées, le désordre se manifeste dans le contexte ou l illicite et l’illégal font la force du quotidien, chacun fait ce que bon lui semble sans se soucier de qui advient la construction se fait dans l’ informel, la vente se fait dans l informel les gargotes au niveau de la plage du puits qui n’ ont ni eau ,ni sanitaire, ils savent bien uriner dans les bouteilles en plastique qui sont par la suite jetées au alentour des riverains , d’ailleurs les plagistes quant ils voient une bouteille pleine d’urine il la qualifie de « l huile de lin » alors bonjour l’hygiène devant les mains du gargotier qui manipule les aliments, les excréments quant derrière sa gargote ils fait ses besoins dans le sachet en plastique bleu étouffant la mauvaise odeur et le renvoyer auprès des riverains.

La saleté fait usage de faux et de mal dans un contexte ou personne ne réagit « c’est normal »
La fatigue nous a prit de faire valoir a qui de droit ce mal qui nous ronge depuis que l’exécutif de l’APC fait tout sauf le bien pour cette commune mais devant son opposition il devient sourdingue.

BENALLAL MOHAMED

Un commentaire

  1. il faut revenir a la periode des années 70 et point c’est dans les villages c’etait les gardes chapetres et dans les ville la brigades de l’environnements.
    en 70 a oran si le policier voit les habits etalés sur les balcon il monte pour verbaliser le resident..
    certain dirigeant ne veulent pas appliquer l’ordre car l’ordre c’est la transparence ça ne leurs permet pas de voler detourner piller transferer..bien que la ville de sidi bel abbes est entrain de recouvrir son ancien statut de ville normal. partout dans le monde il est partout interdit de vendre sur le trotoires sauf dans les marché hebdomadaires marché de la brocante dans un lieu definit a des heurs definit et une fois toutes les semaines. le reste c’est le local c’est le couvert c’est l’hygienqiue. il faut reisntaller la brigade de l’environnement genrenrale et lui donner l’ordre de verbaliser ”le tordu”
    on change de langage oin ne dit pas tu as mal garé ta voiture ”on dit cette voiture est mal garé 3 pénalités successive sur 6 mois sur le même véhicule on considérè ce véhicule fou et malade il faut le mettre en quarantaine dans une fourrière c’est l’asile psychiatrique des biens. je trouves des aliments dehors aussi c’est des aliments fou je les saisie et je les met en quarantaine. tu dépose tes biens dehors on les saisies et les mettre en quarantenaire jusqu’à qu’ils guérissent et la piqure sera ”payer les frais de la quarantaine” donc ya ni permis a point ni rien ya la fourrière et prends le tramway comme tout le monde..bien sure la saisie sera exécuté par le passage devant un juge compétant dans le domaine..et vous allez voir comment bel abbes va redevenir comme avant brillante sinon ça m’étonne que les beni safoi pissent dans les bouteille c’est des étrangers qui viennent passé une journée..les beni safoi sont réglés comme une montre. je les connu même en absence du garde champêtre ils sont droit on dit chez nous ”el hour bel ghamza wal barhouche dedabza”

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