Comme tout compte à rebours que l’on déclenche, il ne peut être vêtu du manteau de l’innocence, il rengorge de surprises, et ces surprises, sont enveloppées à leur tour, d’une tunique qui ne dit pas son nom. Le nez du senteur, sent que l’air exalte en son plein des odeurs, de suspicion, de doute, et d’étrangéité, qui font voire, les couleurs de la tunique, elle brandit une note de nouveau, qui fait oublier les habitudes et donne des airs, qui ne savent pas faire taire. Bien entendu la tunique a professionnellement, été cousu de main de maître, et le maître de la taille se la coule douce sur les bords de la Mékérra, après un trajet ou Berthelot, s’appelle camelote, et ou jadis, un Barberousse s’est prit pour la Fontaine et de son arbre croassa l’hymne des traître et laissait tomber son gruyère qui “pette” ses ablutions avant de prendre le large. Le compte à rebours des surprises ! Je la sentais venir, cette tortue, avec sa « Boss » du « Big-Boss » saluté Corbeau !, je suis encore vivant, vous n’êtes que ma création et avec votre compte à rebours, le corbeau s’enfuira, car le rossignol demeure encore ! saluté boule de gomme !
Alors, la nouveauté, embrassa les formes, les extravagances, pour qu’une sublime lumière, faite de l’excellence, de cette drôle d’excellence ou l’intérêt fatigue le copinage et vomis l’intention. Voila, les jours en disent long et les choses, ne sont plus se qu’elles étaient, elles font trembler d’impatience Mais dans leurs mystères de boules de gomme, je doute de la peur et des intentions qu’elle me lance. Le tableau est blafard, il semble ne pas être coloré en arc en ciel, car la jouissance se déguste, et je les vois rires dans leur coins mordant l’innocence qui se tord, qui endors, qui édulcoré, le temps, les gestes et la trahison.
le compte à rebours vous l’avez désormais commencé…et il est sur le point de péter les plomb, de prendre des formes des fonds et des couleurs qui feront mal, comme un mal de dent après avoir mangé des sucrerie sur une dent cariée. Il fera l’arc en ciel des uns, le feu d’artifice pour d’autre, il y aura des demain, des aujourd’hui, des soirs, mais jamais comme avant.
2013… Je ne sais pas comment qu’on le considère, mais je manque d’affinités avec ce chiffre. Je l’ai craint en 2012, parce que sans le connaitre, je l’ai connu dans le langage de ceux qui m’ont précédé dans l’age. En fait, non, oublions cela… je n’aime pas vivre dans le passé. J’opterai plutôt pour le calendrier persan, selon lequel ce serait l’an 1391. Peut-être pourrais-je me simplifier la vie et adopter le calendrier maya, selon lequel ce serait l’an 1?
Le compte à rebours donnera ces vérités crues, aux nostalgiques de la horde, des plats amère et pas mures, il aura été provoqué par des faits que je veux penser comme objectifs de nuire, mais aussi par des rumeurs et des incertitudes, qui auront traîné tout le long de leur silence, la gifle aux œufs d’or. Quant aux rumeurs, lorsqu’elles se croisent, elles forment des nœuds et de l’embrouille, alors il est bien difficile de les recouper. Boule de gomme m’as-tu compris ? Tu ne peut-être le sablier de la fortune, ton compte à rebours s’est épuisé, et nous nous trouvons au Mars du lendemain ! Qu’as-tu fait Radio trottoir de tes entourloupettes qui guérisse mal ? Ta pioche pue le vent des autres, mon vent à moi est à moi !Tes pièces jaunes, rappelle , la mer qui t’a refroidi, dans ton sac d’homme se trouve une femme et toi la femme qui sort du nord, tu es fade, et même fade ton corbeau ne te mangera pas.
Olé Olé Olé, c’est le temps, qui démontre, qui ils sont, de ceux qui ne sont pas et pour la énième fois, sortant d’une réserve qui m’a souvent été reprochée par mes amis fidèles dans le passé, je désire être en face du lot, que me prépare, l’autre coté de la barrière.
Bref, je ne sais pas quelle année vous choisirez, pour votre part… Mais quelle qu’elle soit, ce sera un honneur de ne jamais vous y accompagner, avec tout mon enthousiasme et mes gros barils de poussière d’étoiles. J’arrêterais le compte à rebours que vous avez déclenché derrière le mur j’espère que vous êtes prêt , prêt à vibrer, prêt à connaître une paix qui dépasse tout ce que vous n’avez jamais goûté, prêt à transcender les vieilles barrières que vous aimeriez tant dépasser , car je peux déjà sentir ce qui se passera ici au cours des prochains mois, et j’en ai de délicieux vertiges de joie . Votre touche m’exaspère, vous qui touchez du brut, votre couleur me fais vomir, vous qui peignez le mal et en faite une trahison , votre chaussette est trouée, allez en faire un tailleur, quand au cordonnier , il est devenu maçon, votre caisse résonne mal, les chefs d’orchestre, qui vous ont recruté doivent être sourds, le clairon d’a coté doit serrer ses vices, un souffle de rien le démonterait, incapable d’être ce qu’il est, il veut faire du clairon- Non mon ami le clairon, c’est pour l’autre derrière le mur, toi t’es un apprenti, rien d’autre qu’un apprenti sorcier.