Des caves inondées, des problèmes d’étanchéité, des parties communes d’immeubles dégradées et bien d’autres désagréments demeurent des doléances sans cesse ressassées .Elles ont été soulevées par des citoyens en colère lors d’une émission de la radio locale intitulée «de la réalité des quartiers ». Toutes les accusations ont été directement adressées à cet organisme qui gère le patrimoine immobilier locatif qui selon les intervenants se trouve dans un état de dégradation dans plusieurs cités à l’image de la sorecor qui traine toujours ce sempiternel problème des caves inondées par les eaux usées. Pour le commun des locataires , toute amélioration du cadre de vie est du ressort de l’organisme de gestion de l’immobilier collectif notamment dans ses parties communes ce qui explique vraisemblablement la non régularisation des loyers par les contractants d’un logement locatif .Bien des locataires justifient le non paiement des loyers par l’absence de commodités qui a leurs yeux devaient être assurées par le propriétaire des lieux comme stipulé dans les contrats de location et le code qui les gère . Le recouvrement des loyers constitue le point noir de l’OPGI qui cumule selon des sources le montant de 34 milliards de centimes ainsi que des dossiers toujours en contentieux devant les tribunaux . Cet important préjudice financier se répercute sur le balance commerciale du fait que cet office de gestion est assujetti à un service d’entretien dont le matériel serait en panne ou en dégradation et le lancement de programmes de construction de nouveaux logements toutes formules confondues . A ce propos on signale que la moitié des programmes prévus pour 2011 accusent un retard dans le lancement quand aux programmes déjà lancés, une bonne partie se trouve hors délais de réalisation d’où le retard dans la distribution des logements dans le cadre de la résorption de l’habitat précaire qui à plusieurs reprises a fait sortir les citoyens dans la rue .Ceci étant , bien des choses devraient être revues pour une éventuelle dynamisation de cet important secteur qui s’occupe du logement dont la crise est loin d’être atténuée en dépit des efforts déployés par les pouvoirs publics
(2 commentaires)
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(lOGEMENTS)laideur puissance quatre une catastrophe nationale à tous les niveaux,je n’ai jamais vu dans toute mon existence construire des immeubles sans prévoir des escaliers de secours,pas d’ascenceurs,pas de lumière où du moins les quelques ampoules qui iluminent quelques rampes d’escaliers,pas d’extincteurs au niveau des étages en cas de feu,mûrs tordus armoires des compteurs sans sécurité d’ou manipulations des compteurs ainsi que l’eau, gérants absents,quand aux corps de métiers nuls il suffit d’avoir ne truelle et me voilà maçon,des fissures de partout aucun reglement concernant le bien-être des locataires pas de concièrge,donc pas de propreté,les autorités absents en cas de litiges entre voisins, c’est la jungle,dans tout ça rien d’étonnant en cas d’accidents,j’entends déjà cette litanie c’est “el mektoub”, alors quoiqu’il arrive c’est “el mektoub” Allah à voulu celà situation inextricable ad vitam aeternam.
SALAM OUA ALIKOUM;c’est une question importante puisqu’elle traite du vécu des citoyens.Et à cela j’ajouterai le problème des ascenseurs des grands (dits TOURS)immeubles tels que les tours REFRAF du coté de la maternité,les tours KADDOURI du quartier Larbi BENM’HIDI(ex GAMBETTA) qui culminent à HUIT (08)ÉTAGES.Donc,je lance,à travers notre journal,un appel aux autorités concernées notamment l’OPGI qui n’a pas tenu ses engagements,pour prendre en charge ce problème.