LETTRE OUVERTE AUX MEMBRES DE LA COMMISSION D’INSPECTION INTERMINISTÉRIELLE Composée de :
-Ministre du tourisme
-Ministre de l’intérieur et des collectivités locales
-Ministre du commerce
En ma qualité d’habitant du quartier de la plage du puits de Beni saf, j’ai eu connaissance par le biais de la presse nationale ( Tribunes des lecteurs du 08/09/14) à propos d’une commission d’inspection interministérielle qui a opéré une visite d’inspection des plages suivantes de la Daïra de Benisaf :
* » rachgoune 2 et » El Mordjane »
* la plage de » Sidi djelloul «
A cet effet, je tiens en ma qualité de citoyen à vous tenir informé que la plage du puits de Benisaf, grande et importante plage de la daïra de Benisaf , n’a pas fait l’objet de visite d’inspection( selon l’information de la presse) en vue de constater et relever les anomalies, incohérences et infractions que normalement et selon la règle de l’art, la commune et sa tutelle auraient du en principe veiller à mettre les moyens nécessaires pour améliorer le cadre de vie des habitants de la plage, des citoyens, des visiteurs et des touristes en même temps.
Ma première préoccupation, est de vous informer avec qui de droit ; et de vous présenter à travers des constats réels, des manquements et des anormalités qui font que ce site balnéaire et touristique a été visité en dehors de toute appréciation, par beaucoup de monde cet été 2014.
La plage du puits est avant tout un quartier distinct soit une vitrine de la ville de Benisaf, mais aussi une plage balnéaire dont de cadre de vie n’a pas été bien apprécié par ses habitants et certains visiteurs, touristes que j’ai personnellement côtoyés concernant ce site balnéaire et touristique à savoir :
*L’absence totale de toilettes publiques ; la récente structure communale (toilettes) a été concédé, mais n’a pas été mise en fonction conformément au cahier des charges si ce cahier existe ? La puissance publique n’a pas jugé utile pour la mise en application de ce lieu d’utilité publique mais aussi de rendre un service public très utile(les lettres de doléances sont restées mortes) et les toilettes sont restées fermées.
*Le commerce informel en estivation, au vu et au su des pouvoirs publics occupant gratuitement des espaces publics, même une partie de la route longeant la plage du puits était squattée .Les trottoirs des plages du puits sont en totalité squattés par des mercantilistes informelles, par les cafés et gargotiers du quartier, par les magasins et par le stationnement de voitures. Des kiosques anarchiques et informels se permettent d’accaparer affreusement le maximum d’espaces publics gratuitement et impunément. Le trottoir n’est plus une utilité pour les personnes (enfants, femmes et adultes mais aussi jeunes) .Tout cela est un manque à gagner pour la commune de Benisaf en terme financier si la rationalité de pensée existe pour l’ordre en général et la convenance du gain social (cadre de vie).
*Un plan de circulation existant , inadapté a permis de créer des embouteillages insensés pendant toute la durée estivale, suivi du non respect des aires de stationnement par le manque flagrant de plaques de signalisation routière. Cet état de fait engendre manifestement des désagréments inutiles.
*La surface sablonneuse pour détente de la plage du puits est en flagrante diminution, les extrémités de la plage sont devenues démunies de sable et la largeur de la bande sablonneuse s’est rétrécis lamentablement la cause est due à une modification du cycle naturel marin par l’homme.
La concession de solarium a également fait diminuer la surface de détente publique ( plantation des parasols et accessoires avec),ainsi que celles accaparée par les sapeurs pompiers et la police de proximité .Les petites baraques commerciales et les tentes d’hébergement de particuliers et c’est toute la surface de la plage qui est privatisée.
*Les nuisances : parler de site touristique ou balnéaire veut dire élimination totale de nuisances pour améliorer le cadre de vie des visiteurs ; malheureusement le contraire prime, le bruit des klaxons, de la musique, de la derbouka, des voitures à musiques font le mauvais décor du quartier en infraction de la réglementation. Le klaxon de nuit et la musique dépassent le décibel fixé par la loi
D’autres nuisances sont à signaler également à savoir :
-les cortèges sonores de mariages se font très tard dans la nuit.
-les moustiques sont devenus familiers mais leurs piqures font bien mal.
-les rallyes nocturnes sont une nouveauté pour cet été2014
– absence de pains boulangers chez les commerçants de la plage.
*La saleté : la commune de Benisaf a passé un affermage avec une entreprise privée pour le ramassage des ordures et le nettoiement du quartier. L’entreprise fait de son mieux mais en réalité ; le temps pour la propreté de l’espace ne dure que le moment du passage des agents de nettoiement, le reste du temps tout l’environnement est sale dégageant des odeurs nauséabondes (avaloires défoncées devant des épiciers.) .Des endroits précis servant de toilettes à ciel ouvert ou autres endroits pour picoler de la boisson alcoolique (bar à ciel ouvert à l’extrémité de la plage sur les rochers).
* La montagne qui fait face à la plage est recouverte d’ordures et de sacs bleus qui font le décor sale de la ville et de ces contenants.
*Des égouts à ciel ouvert existent encore qui dégoulinent en bordure du trottoir de l’ex mairie de Benisaf jusqu’aux restaurants de la marine, même dans le sable de la plage se voit arroser par des égouts de particuliers, certains évents joue le rôle de passage d’assainissement, les odeurs nauséabondes polluent forcement l’atmosphère du quartier.
*Les parkings sont fonctionnelles avant la saison estivale de façon informelle faut dire qu’il ya trop d’informel dans la plage. Les deux parkings de la plage font des entrées conséquentes d’argent à la commune sans que leur état ne soit embelli pour être digne d’un parking pour site.
A ce jour, pas un sous n’a été investi dans ce sens pour améliorer le service parking.
-Autrement les autres espaces, bordures de trottoirs ou autres endroits de stationnement sont exploités de façon informel par celui qui veut avoir de l’argent pour 100DA la voiture est permise de stationner.
*Les cafés de la plage du puits ne connaissent point ce que sait un cadre hygiénique, le parterre et la table sont sales.
*Le manque flagrant d’espaces verts , la gare routière ou emplacement de l’espace des taxis sont occupés par des personnes qui font du parking informel .Une roulotte bien particulière existe informellement depuis plus de trois ans, sans que le premier responsable de la ville de Benisaf n’ose faire une mise en demeure , ou autres actions pour la faire disparaitre et sanctionner son propriétaire qui accapare un espace vital transformé en dépotoir.
*Le plus important est bien l’éclairage public, nouvellement restauré, présente déjà des défectuosités, plusieurs poteaux déracinés ne sont pas remis à leur place ; d’autres présentent des masses électriques (un danger pour le public), les ampoules grillées ne sont pas remplacées, toute une partie du quartier de la plage sombre dans le noir après plusieurs jours, leur réparation s’effectue après maintes réclamations.
*Les chaussées creusées ne sont pas remis en leur état initial.
Devant cette panoplie de remarques visibles, réelles et malencontreuses montre bien que la saison estivale 2014 de la plage du puits n’a pas fait l’objet d’une préparation sérieuse conforme aux instructions et à la réglementation mises en vigueur.
Une attention particulière est souhaitable vu que la plage est un lieu qui procure une ressource financière appréciable à la commune, alimente également une activité commerciale très importantes pour les commerçants de la ville, satisfait un demande d’emplois saisonniers appréciables.
Devant ce privilège que le site de la plage occasionne à la ville, la commune de Benisaf n’a pas jugé utile pour animer par divers jeux, soirées théâtrales, musicales, de tournois de foot-basket-natation ….. Afin de faire oublier les nuisances et mieux aspirer à une la vie décente, dans un cadre de vie qui mérite une véritable détente pour tout bienvenue.Ca n’a pas été le cas, mais c’est un aperçu de la saison estivale 2014 qui mérite bien d’être réexaminer pour un meilleurs environnement et dont le Ministre de l’environnement à bien brillé par son absence dans cette dite commission.
BENALLAL MOHAMED : CITOYEN ET HABITANT DE LA PLAGE DU PUITS
les communes ont été lourdement atteinte durant la décennie noire. souvenez vous le vide total des élus durant la périodes des DEC…et meme aujourd’hui ce carnage continu chaque fois vous entendez des différents qui éclatent entre les walis et les maires…
Dans les villages on n’a pas pu séparer l’état représenté par son secretaire général et le les intérêts financiers et économiques portés par les groupes politiques.
l’exploitation comme vous le dites du site peut se faire de deux manières publique ou privé. Tout d’abords il appartient a qui? s’il appartient au privé le privé s’en charge, s’il appartient a la commune comme vous le dite celle ci doit l’exploiter selon la concertation des élus locaux dans leur assemblé….sauf que ces dernieres années on a vu que des élus locaux d’une commune agissent pour le profit des gens résident a la wilaya mere..si tu suit le fil tu trouve des investisseurs qui se cachent derrière des locaux et habitant le chef lieu de la wilaya..le wali ne sait pas ce qui se passe…si un maire s’y oppose le groupe d’affaire fait enclencher la machine de la wilaya contre ce maire qui travaille pour sa mairie…..
salutation