L’industrie culturelle et la recherche universitaire menacées par le piratage et le plagiat

Les faussaires et l’esprit mercantile bradent la culture

Dans la situation de confusion et de recul du droit que vivent les domaines de la culture et de l’enseignement universitaire, l’éthique et la déontologie subissent de graves entorses, quand il s’agit de protéger les produits de l’esprit (littérature, mémoires et thèses universitaires, chansons,…). Cette violation des règles de l’éthique se font essentiellement par deux canaux connus de tous: le piratage et le plagiat.

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Depuis quelques années, l’Université algérienne est sporadiquement frappée par des scandales de plagiat de mémoires et de thèses universitaires. Si le phénomène est surtout observable dans les sciences sociales et humaines, déjà dévalorisées dans le système d’enseignement algérien, il a néanmoins touché des thèses de sciences naturelles, physiques et mathématiques. La presse s’est fait l’écho de quelques cas qui déshonorent leurs auteurs, supposés être porteurs de grandes ambitions scientifiques et d’honnêteté intellectuelle. Des cas de plagiat ne se contentent même pas d’”inspirations” ou de références “brouillées”, même si celles-ci son aussi condamnables. Ils vont jusqu’au bout avec le fameux “copier-coller” qui a fait des ravages aussi dans les rédactions de journaux. En 2010, un cas de plagiat a été éventé dans l’Université de Sidi Bel Abbès relatif à un plagiat qu’auraient commis des professeurs de chimie, en copiant le contenu d’une revue marocaine dans ce domaine. Il semble même que le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ait confirmé le délit

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Allons-nous, comme avec la fausse économie installée par la rente pétrolière, avoir affaire à une fausse culture installée par l’impunité ? Un sursaut des pouvoirs publics et de l’élite éclairée est plus que souhaitable. Il faut sauver la culture et les valeurs scientifiques du bradage et l’avilissement.

Amar Naït Messaoud (La dépêche de Kabylie)

 

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Un commentaire

  1. Ce n’est pas le chercheur qui a inventé le plagiat, mais le faux sytéme éconolique qui l’a géneré. Si le syteme etait liberale y’aurait til de plagiat? J’ai une fois proposé a une ukriniéne installé aux etats unis de copublier un article. Elle devenue folle de rage. Comment ce fait il monsieur que j’accepte de publier un sujet que je n’ai pas participer a son élaboration? Le sytéme libérale a ses propre refles de fonctionnements..
    Dans le systéme publique europeens les choses sont differentes. Deja on part du principe du miskine le pauvre qui fait de la recherche et qui a besoin d’ameliorer son salaire..En europe le publique est envahis par l’esprit des pauvres miserable..un chercheur en europe est considéré au départ comme fls de pauvre donc il aura le salaire en concequent on lui donne 2 fois le smic et libre a lui de voir comment il accrochera un grade. Chaque grade pour 100 euro ..chez nous c’est moins 10 euro je crois..-vous parlez de recherche dans les apys europenns et algerien alors qu’elle n’existe pas sur le terrain..il n’est pas la pour faire la recherche il est la pour toucher un salaire c’est tout et esperer a un grade..et quand tu as besoin d’une voiture tu l’chete du japon si tu as des devises. Comme les anciens ont utilisé la plagiat pour acquerire des grades laissez les nouveaux le faire. Y’a pas question que l’cien fait la plagiat et le jeune ne le fera pas. Tant que syteme n’est liberal tant que l’univeristé n’est pas privé que tout le monde fasse de la palgiat c’est légale
    Salutation

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