Décidément , s’il y a une chose au sein de la ville de Sidi Bel Abbes qui attire l’attention de tout sportif versé dans la natation et qui ne cesse de faire couler beaucoup d’encre surtout en cette période estivale où il devient difficile et couteux pour nos jeunes de faire le trajet à la mer, c’est bien de la piscine de l’OPOW qu’il s’agit, une piscine construite à la même période que le grand stade du 24 février et qui a vu de nombreux jeunes devenir de grands sportifs. Le hasard a voulu que votre serviteur passe aujourd’hui devant ce gigantesque édifice qui renfermait cette piscine “active” l’été comme l’hiver dans un passé récent. Il était agréable de voir les jeunes enfants (filles et garçons)  apprendre à nager en compagnie de leur formateur et ce, en plein mois de décembre.Une organisation parfaite y régnait à l’époque , cette époque n’est pas tellement loin puisque ça remonte aux années  80 et 90. Cette effervescence n’allait pas durer pour longtemps, puisqu’il y a plus de cinq ans que cette infrastructure  a cessé d’activer alors que bien avant, elle titubait en raison de plusieurs motifs techniques , Bai en a déjà tiré la sonnette d’alarme à maintes reprises voir nos anciens  article du 02 mai 2010 et repris dans le nouveau look de bai pour la circonstance. Un autre article de notre confrère Mustapha B.  paru le 27 juillet 2011 a relaté le problème toujours en suspens de cette piscine et enfin,un autre article le 14 juillet en dit long sur cette piscine qui reste toujours à l’état de rénovation ou de restauration. Combien peut durer cette rénovation. A en voir l’état délabrée de cet édifice (image de la une), il est clair qu’elle ne sera jamais prête d’ici à juillet 2013 où la chaleur suffocante poussera encore une fois nos enfants à aller chercher un peu d’eau fraiche du coté de Dubai ou le “petit vichy” s’il sera toujours là. Bref, on parle d’une autre troisième piscine, celle là cachée à l’abri des regards et n’ayant servi qu’à une jeunesse triée, dit-on ,au sein du complexe de la jeunesse mitoyen de la coupole au centre ville, et qui ne peut contenir toute la masse juvénile,en manque de fraicheur. Seul un sursaut salutaire et une mobilisation accrue des responsables peuvent  rendre à  nos enfants et surtout aux jeunes qui souffrent d’asthme , ce joyau semi-olympique.