Lassé  et harassé  par une polémique tournant autour d’un hangar  dont lui et la douane réclamaient à coup de personne interposée , la paternité ,MAACHOU, la cinquantaine entamée ,  recours , après avoir épuisé toutes les voix possible ,en dernier ressort  à la presse  avec  la  ferme détermination  d’ébruiter, du moins cette affaire. En effet, tout a commencé   en 1967, quand La famille a attribué  provisoirement cet entrepôt aux services de douanes  de 210m2  qui  n’avaient pas alors où entreposer sa marchandise. Plus de  45 ans se sont écoulés alors  les services suscités qui ont déménagés, il  ya deux ans vers l’ex SONIPEC refusent toujours de restituer les lieux, pire encore, ils  voulaient s’emparer, coute que coute, sans aucun document à l’appui,  des lieux, nonobstant  les nombreux témoins à charge.   Flairant l’odeur d’une conspiration MAACHOU  a  d’ores et déjà saisi les instances suprêmes du pays pour faire valoir ce qu’il considère comme un droit à part entière.  « Mon père a octroyé dans l’euphorie de l’indépendance cet hangar avec une promesse de restitution, une fois les services trouvèrent un autre lieu » se remémore t-il. Et d’ajouter  “C’était en quelque sorte un soutien au pays” mais il  s’est avéré au fils des années que  cela s’est retourné contre nous  dit-il larmoyant.  Dans un souci d’objectivité, nous avons tenté  à maintes reprises d’entendre le deuxième son de cloche mais toutes nos tentative sont avérées infructueuses.