Sidi Bel-Abbes : Le maire souhaitait une plénière à huis-clos

EST-CE UN DROIT À QUICONQUE DE FILMER ET RAPPORTER LE DÉROULEMENT DE LA SÉANCE PLÉNIÈRE PUBLIQUE DE L’APC ?

Si l’on juge par la loi qui octroie le droit à la population d’assister librement aux débats et aux délibérations de son assemblée, la réponse est oui , d’autant plus que la salle ne peut contenir toute la population bel-abbésienne et ceux qui n’ont pas cette chance d’assister et d’apprécier le travail de ceux qu’ils ont élus , pourraient en être informer.

Quand on a rien à cacher tous les supports d’information sont utiles pour véhiculer les informations selon le gout de chaque citoyen,je dirais même que les réseaux sociaux sont dans ce cas plus indiqués.

HALAM MORSLI qui dirige le plus vieux journal électronique de la région , s’est plaint de l’attitude du président de l’APC de lui avoir interdit de couvrir les travaux de la séance plénière et il a toutes les raisons de s’offusquer de cette décision qu’il juge discriminatoire à son endroit.

Lui aussi a des milliers de lecteurs qui suivent son journal et ont droit à l’information surtout quand il s’agit de décisions qui touchent leur commune.

À moins d’une raison plausible qui justifierait ce geste, je ne reconnais pas ADDA BOUDJELLAL Tewfik dans cette décision ; le président d’APC serait-il influencable à ce point pour commettre cet impair ?

Dans ce cas, il fallait faire le choix d’organiser cette assemblée à huit clos et personne ne s’en plaindrait ou croirait au “deux poids deux mesures”.

Le droit de réponse est permis dans ce cas de figure , j’aimerais que le président d’APC nous expliquerait le pourquoi du comment sur cet incident; sinon ça serait à ADDA BOUDJELLAL Tewfik de le faire 4

Abdelkader Belamri