Mr Bourzig AEK, tête de liste de l’assemblée populaire de wilaya de sidi bel abbes (APW), du parti Tajamou Amel el Djazair (TADJ), pour les locales du 23 novembre 2017 a provoqué le déroulement d’un tournoi de foot entre benjamins et entre vétérans. Deux rencontres ont eu lieu ce vendredi soir du 17/11/2017 au stade de sidi Djillali. Cette manœuvre s’inscrit, d’une part, dans le cadre de la compagne électorale du parti, et recours, de l’autre, au soutien de la population du grand quartier au réaménagement de l’unique stade sis à proximité de l’ancienne trémie.
Bourzig n’a pas caché ses ambitions « ment, celui qui dit qu’il ne cherche pas ‘’la chaise’’ comme on aime l’appelée. Le recours à la compagne électorale n’est pas toujours le même. Chacun procède à sa façon, et dans la majorité des cas c’est le meeting populaire qui garnit cette randonnée partisane. Sauf que le citoyen n’arrive plus à guérir des multiples promesses non tenues et les mensonges précédents qui l’ont hanté à ne plus croire en le discourt quelque soit sa tenance et sa sincérité. Il faut à tout prix chercher un remède, déclencher un système de résurrection, faire renaitre de nouveau une confiance chez lui afin de le délivrer de cette pathologie incompatible à tout projet de développement, qu’il soit social, culturel, économique, environnemental, ou autre. Le citoyen est un acteur indissociable de la société, et tant qu’il n’y pas cette assurance, cette entente, encore moins une confiance entre les uns et les autres, entre le citoyen et son représentant, toute manœuvre ne serait qu’un éventuel échec ».
« J’ai préféré dans cette compagne toucher le fond du sujet, et je n’ai pas trouvé mieux que de me mêler avec mon prochain afin de partager avec lui les différents soucis. Ma présence ici parmi vous en plein stade avec 04 tenues différentes et 03 ballons ne fait que consolidé ma complète disposition à construire un gradin pour stade de sidi Djillali. Les tenues et les ballons sont gage de ma sincérité. Je pouvais venir animer un meeting et lancer un tas de promesses comme beaucoup d’autres. Sauf que ni ma dignité, encore moins mon éducation ne me l’auront permis. Je crains toujours de me trouver après face à ces gens à qui j’ai menti de ne pouvoir les regardé en face. Rien que d’y penser cela m’écœure, alors vaut mieux miser sur la sincérité que de mourir après de désolation ».
Djillali T