Une journée d’étude sur le thème « la fonction du juge »

DSCF1920À la faculté de droit et des sciences politique de l’université Djillali Liabes de sidi bel abbes, une initiative pas des moindres qui s’est vue la première de son genre, s’est tenue ce mardi 20 mai 2014. Elle a paraphrasé en deux matinées durant presque toute la journée, depuis le matin, deux grands sensible axes : la ‘’fonction de juger’’ qui se devait de faire un brassage sur la fonction telle quelle est vécue par les magistrats dans leur parcours professionnel, et « juger la fonction de juger », qui se devait à présenter un tableau apprécié par un regard extérieur.

La journée était surtout riche par son sujet d’actualité. une rencontre qui se voulait être un regard croisé entre l’enseignant de droit et le magistrat. On parlant de juge et de sa fonction de juger, il est tout de suite fait allusion aux droits, et automatiquement “jeter l’ancre” sur l’injustice sous toutes ses formes que subit le citoyen dans son quotidien. La fonction de juger est une fonction noble partant de l’idéal qu’elle est une base de gouvernance.

Cela reste dans la théorie enregistré dans des livres de droit, le monde de l’écrit. La réalité est tout autre à travers des témoignages de gens directement impliqués lésés de leurs droits injustement ou arbitrairement. Il suffit de se rapprocher des instituions de justice, des administrations et institutions de l’état pour en être certain. Les justiciables sont la jauge de cette réalité amère.

DSCF1919Les intervenants étaient nombreux, tous brillant les uns que les autres, la journée d’étude était une réelle occasion pour des novice que je fus de se ressourcer, de s’armer de connaissances pour défendre et se défendre. La salle comptait des magistrats, des professeurs et des docteurs de droit, des étudiants doctorant et avocats. Les échanges d’idées et de visions scrutaient la pure spécialisation d’un angle théorique bien profond, parfois redoré par des suggestions issues des expériences.

Tout le monde ou presque parlait un même langage, le langage du livre et de l’écrit qu’on aurait appris durant ses études dans la spécialité dans ses études de  droit. Un habillage dument rassurant à la seule contrainte « comment l’appliquer, ou qui en sera garant de son application stricte dans la réalité? ». Ma présence m’est apparue au beau milieu de ce lexique que je fus le seul à avoir une autre idée de tout cela, qu’ils pourront peut être comprendre. On vit sous un même toit, on porte la même identité, impossible qu’ils ne seraient pas comme mois au courant qu’entre la réalité et la théorie, c’est d’une fosse qu’il est nécessaire de scruter sérieusement.

Le comité scientifique et organisationnel orchestré respectivement par le Pr Kherradji Mustapha directeur du laboratoire et Mme Soraya Chaib présidente, ainsi que d’éminents Professeurs, docteurs, magistrats et avocats ont su donné du gout à apprécier cette rencontre qui devait à débattre au tour du thème « la fonction de juger » qui s’est vue passionnante. Elle fut interrompue difficilement par les organisateurs. Le débat entreprit par les présents apportait plus d’explication que de question. Le sujet semblait toucher de prêt ou de loin chaque personne dans la salle, comme si chacun voulait transmettre un message de son propre souci à la limite de la souffrance.

L’intention d’être un apport pour changer se qui n’allait pas était manifestement exprimé. Le Pr Kheradji dans son introduction apporta ce gout culinaire mettant en approche que la fonction de juger est un plat très raffiné de la gastronomie juridique. Si ses ingrédients sont connus, il ne cesse d’être revisité. Cette entrée a ouvert l’appétit aux autres intervenants qui ont brossé la problematique contenue dans « comment juger le juge » et comment juger sa fonctions »,  chacun dans sa spécialité depuis les textes de la charia islamique et la suprématie du droit divin.

DSCF1918Dans son intervention, le Pr Abdelkader Dekiche, quant à lui, il suggère mettre cette problématique ‘’juger le juge ou juger la justice ?’’ Entre les mains de spécialistes et rapporte qu’il faut former de bons avocats pour qu’ils aient les compétences nécessaires à défendre ces droit devant le juge.  Et chacun devait aborder un angle qui coule dans l’immense fleuve de ce qu’est la justice à travers le jugement du juge et sa fonction.

C’était une journée d’étude typique, que le laboratoire a organisé pour la première fois en collaboration avec la faculté de droit et des sciences politiques. Les intervenants ont été généreux et prodigues en apportant d’amples éclaircissements sur ce vaste et délicat sujet. Espérons simplement que d’autres événements similaires de la même importance seront programmés.

La faculté de droit étant un berceau de l’élite dans le domaine doit s’investir à jouer son rôle idéal, celui de s’impliquer à mettre en œuvre à rendre la justice juste, en se constituant trait d’union entre le citoyen simple et l’état. D’œuvrer aussi pour que la justice ne subisse aucune contrainte ou pression extérieure, combattre la corruption dans le milieu juridique et veiller à sanctionner toute partie œuvrant à contre courant de ce projet source de stabilité économique, sociale et culturelle.

Djillali Toumi

7 thoughts on “Une journée d’étude sur le thème « la fonction du juge »

  1. Sallamou Allaykum M. Incorruptible !
    Vous me reprochez :
    « Vous dites: »Depuis 70 ans à ce jour, ce sont toujours, « les grandes puissances qui « font » … » C’est fau ooooooooooooox , »
    Je vous réponds directement : Rien n’est plus vrai !!!
    Je vois que vous n’avez, peut-être, pas lu les Loi de l’ONU. Et je peux vous en citer !
    Au K ou, vous les aurez lu, je vous demanderais de me dire qui a écrit ces lois ?
    Pour votre aimable gouverne, j’ajoute qu’ils ont écrit meme des Constitutions !
    Qui impose ces lois et ces constitutions à tout le monde ?
    On les impose par la force à tout pays, disloqué et en conflit interne qu’ils créé ont eux-mêmes !!!
    N’avez-vous pas entendu des sanctions de la Communautée Internationale, et des embargos ?

    Vous me reprochez :
    « Vous dites : »…qu’elle [la Justice divine] n’est évoquée en dernier, C La Justice d’Allah, qui est banni dans ce Pays et cette Nation qui la réclame. » C’est faux !!!!!* »

    Là aussi, je vous réponds directement et sans embage, Oui la Justice d’Allah est bannie en Algerie, alors que le Peuple algérien la réclame.
    C tout juste si on laisse les gens prier jeuner et aller au pelerinage ! Qu’en dites-vous du reste ?
    Quelle est l’institution nationale qui enseigne le Qoran à nos enfants ?
    Pourquoi la Langue arabe, langue du Qoran, n’est pas imposée, ni même en usage.
    Pourquoi l’avoir suspendue, sans délai, en 1992 juste avant sa généralisation totale prévue le 05 juillet ? Une semaine seulement après l’assassinat de Boudiaf (ra) !!!
    Il s’agit de « justice » et non pas de révision de la Constitution que personne ne respecte!
    Vous m’excuserez pour la présentation, cela m’arrive parfois de ne pas prendre garde !
    Sallamou Allaykum M Incorruptible !

  2. Une journée d’étude sur le thème « la fonction du juge »?????
    Avait-on besoin d’un thème si théorique : la fonction du juge? Qui ne la connait pas? Entre la théorie et la pratique, tout un monde.
    Il aurait fallu faire des journées d’étude sur les injustices sociales et là ce n’est pas les exemples qui manquent à l’intérieur même de cette université pour ne parler que de ce lieu où s’est déroulée cette manifestation qui n’a aucun impact sur le malaise que vit cette institution par le nombre de malversations restées impunies ou traitées en deçà de leur gravité.
    Alors comme dirait “tlscontact”, ces malfaiteurs peuvent faire une “partya 3laoui” car leur avenir est bien assuré et protégé.

    1. Chère Abassia, allons…, de temps en temps, il faut bien semer un peu de brume de sable, histoire d’éblouir les myopes…!!!
      Quant au 3laoui, il fait vibrer …(rires)…!!!

      Amitiés

  3. Salam tlscontact, votre phrase m’a beaucoup plu: “c’est du jamais vu dans une même faculté le politique, le future roublard côtoie le futur juge”…! A méditer…
    Pour le reste, vous (à votre manière) et Mr Dziri que je salue, avez presque tout dit…!!!!
    Il faut dire que l’image des juges à travers le monde est loin d’être reluisante, celle de nos juges, procureurs, avocats etc….est vraiment sombre ‘Illa Men Rahima Rabbi’…..Et quand on sait ce que Dieu réserve aux juges injustes, alors on n’a plus envie de faire ce “métier” qui est plus qu’un métier….!!!! Et ce n’est sûrement pas la partie de 3laoui (que vous avez proposé) , qui va arranger les choses….!!!!

    Cordialement…!

  4. Sallamou Allaykum
    La Justice d’aujourd’hui, n’a rien à voir avec la Loi, qui n’en est que la déformation, la charge et la parodie.
    La Justice étant le reflet directe de la Loi, il incombe d’abord, d’évoquer « La Loi » ! Quelle Loi ? Et qui peut en être l’auteur ?
    La Constitution et/ou la LOI est la fondation unique du Peuple et du Pays !
    La Loi émane exclusivement de la Constitution, elle en est le reflet également.
    Un décret n’est pas juste parce qu’il est loi.
    En dehors d’Allah, il n’appartient à personne de dicter la Loi pour d’autres!

    En vertu de ce qu’on appelle «le jusnaturalisme », l’homme en tant que tel dispose de droits naturels inhérents à sa nature d’être humain. C droits naturels liés à son humanité, existent donc indépendamment de toute reconnaissance juridique, car antérieurs à toute loi humaine de Société, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme.
    De ce fait, ils ont ainsi un caractère supérieur et intangible. Toute remise en cause par qui que ce soit et pour quelque motif que ce soit, y compris par le pouvoir souverain s’avérera donc illégitime, même si elle peut paraitre « légale ».
    Ainsi, lorsque la Loi ne répond pas ces droits naturels, ni à la Constitution, elle n’est plus Loi, mais une mesure arbitraire instaurée par la Force.
    Aussi, mettre toujours la « justice » dans toutes les sauces, à chaque atteinte des Droits préalablement acquis, définis et protégés, relève de l’escroquerie.
    D’un autre coté, évoquer la justice à tort et à travers, relève non pas de l’absurde, mais de la malhonnêteté caractérisée, puisque l’auteur de la LOI et se relais n’ignorent pas que ce n’est la Justice qui est en cause, mais la LOI elle-même et ses auxiliaires privilégiés.La Loi des hommes ne répond pas, ne s’applique pas, n’est pas accepté !!! Les Loi sans religion font la force du prince indévot !!!
    Le Slogan justicier et justiciable n’a jamais fait « recette pour le justiciable », au contraire. La Justice est Juste. Elle est parfaite. Tout le reste C de la « phelfessa ».

    Les lois des hommes sont à l’origine des malheurs publics et des Etats, origine des malheurs de tout les Peuples de par le Monde.
    La Loi d’ALLAH, Juste par elle-même envers tous, fait la force du faible devant le plus fort.
    La Loi d’Allah, traite et gère le fonctionnement de sa création : les Cieux, la Terre, Les Hommes, …et les restes. Elle en est le manuel !!!
    Tous s’y conforment, sauf l’homme ! Tous fonctionnent harmonieusement, sauf l’homme !!!

    Depuis 70 ans à ce jour, ce sont toujours, « les grandes puissances qui « font » les Lois, le droit international, et la science du droit international a pour mission de formaliser comme de nouvelles règles les décisions qui sont prises progressivement par les grandes puissances. »,
    Code de droit international public : Tout Etat membre de l’ONU se doit de reconnaître et de garantir la sécurité des autres Etats.

    Malgré les injustes et leurs injustices, La Justice elle, est constante. Elle ne change pas. Elle ne le peut pas. C la règle du Système de la Création.
    Malgré également les changements, les variations, les transformations de l’homme, il ne peut s’échapper des Constantes du Système de la Création.
    Et comme il « doit forcément prendre UN chemin ou un autre », il ne peut que s’y soumettre,et arriver au but fixé, ou désobéir et atteindre également le but fixé.

    Dans un pays Muslim le juge rend sa déciion au nom d’Allah et non de qui que ce soit !
    La Justice n’a rien à voir, ni se remettre en cause pour qui que ce soit !
    La Justice est la même pour tous, tout le temps et en tout lieux !!!
    La Loi s’applique par la contrainte et la force.
    Par contre, chez les animaux, il n’y a pas de loi, il y a l’instinct de survie !!!

    La « Décision du juge », n’est pas une une décision de justice, mais un verdict, un jugement
    Seuls parties concernées peuvent apprécier sa « Justesse ».
    Le Droit étant le même pour tous, C la Loi et le Juge qui est responsable de la Justice et/ou de l’Injustice.
    Le discours du chancelier d’Aguesseau, s’adresse aux juges, il ne s’adresse pas à la LOI, et si la loi ne répond aux droits naturels qu’importe le juge, qu’importe le jugement ! Il aurait dû s’adresser aussi à la LOI.
    La justice instaurée par l’homme en Algérie n’appartient pas à la Nation. Elle la vomit, elle n’en est pas responsable.
    Les responsables sont Les Chefs et leurs auxiliaires. Que répondront-ils demain à ALLAH ?

    « En dehors de la justice divine où tout commentaire est banni, la justice instaurée par l’homme, appartient à toute une nation qui la guide pour prévenir tout dérapage entraînant des conséquences souvent irrémédiables ».
    Je dirais pour ce dernier paragraphe,du moment qu’elle [la Justice divine] n’est évoquée en dernier, C La Justice d’Allah, qui est banni dans ce Pays et cette Nation qui la réclame.
    Comment la commenter ? Disons plutôt comment la combattre et la nier encore !

    Dans le Qoran, Allah évoque pour nous un K traité par Daoud (sas) sourat Sàd n°38/v.23-24-25-26
    Deux anges entrent chez Daoud (sas) en guise d’homme, et l’un deux dit :
    ≈ v.23 : Celui-ci est mon frère: il a quatre-vingt-dix-neuf brebis, tandis que je n’ai qu’une brebis. Il m’a dit: «Confie-la-moi» et dans la conversation, il a beaucoup fait pression sur moi». (23)

    Il [David] dit: «Il a été certes injuste envers toi en demandant de joindre ta brebis aux siennes». Beaucoup de gens transgressent les droits de leurs associés, sauf ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres – quoi qu’ils soient bien rares -. Et David pensa alors que Nous l’avions mis à l’épreuve. Il demanda donc pardon à son Seigneur et tomba prosterné et se repentit.(24) Nous lui pardonnâmes. Il aura une place proche de Nous et un beau refuge. (25)
    «Ô David, Nous avons fait de toi un calife sur la terre. Juge donc en toute équité parmi les gens et ne suis pas la passion: sinon elle t’égarera du chemin d’Allah». Car ceux qui s’égarent du chemin d’Allah auront un dur châtiment pour avoir oublié le Jour des Comptes. (26) »
    Selon les tafassir, Daoud (sas), a jugé selon son initiative, et n’a pas entendu la version de l’autre partie !
    Qu’Allah nous préserve tous !
    Sallamou Allaykum

    1. Wah ya si Dziri
      Wallah la nta haya kbira, tout d’abord,Pourquoi ne pas avoir réparti ton commentaire en trois partie pour qu’on puisse le déchiffrer, le lire et le comprendre facilement.
      Vous dites:”Depuis 70 ans à ce jour, ce sont toujours, « les grandes puissances qui « font » …” C’est fau ooooooooooooox ,
      En Algérie, on devine seulement ce que veulent les maitres du monde pour se mettre au diapason avec eux par peur de perdre les intérêts (leurs intérêts).
      Vous dites :”…qu’elle [la Justice divine] n’est évoquée en dernier, C La Justice d’Allah, qui est banni dans ce Pays et cette Nation qui la réclame.” C’est faux !!!!!*
      – Une constitution bafouée par le pouvoir en place pour des miettes payées à nos députés même si le premier article de la constitution est resté intacte personne ne touche, ghoullamallah a par contre instauré dans les mosquées “edouaa li awliyaa el amr” et voilà maintenant on nous dit c ‘est vrai deux mandats suffisent amplement au président élu et on veut revenir à cette première option de sidna Zeroual.!
      Soubhan allah,lorsque vous voulez avoir une chose à votre compte, le peuple est présent et c’est le parlement qui fait l’affaire. Maintenant, on repart à zero et on demande au peuple la révision de la constitution pour revenir à la case départ. Mais je n’ai jamais voté pour cette constitution des députés
      Personnellement, je ne voterai que s’ils ajoutent un seul article stipulant que cette constitution ne peut en aucun cas être manipulée, modifiée, touchée etc.. par les deux chambres du parlement. Seul le peuple par voie de référendum pour intervenir sur des amendements, modifications et autres taches sur la constitution.

  5. en algerie on applique une justice importé confectionné en europe sur mesure.
    C’est l’islame qui a le premier introduit la notion du tribunale..Dans le mental des europeens y’a pas des cours de justice. Avant le Roi faisait le metier de juge
    et puisque le Roi etait proriétaire imaginez un peu le resultat de son jugement.
    La justice est notre specialité une specilité arabo musulmane.
    Pour devenir juge chez nous dans le madhabe malékite il faut courir.
    D’abords l’affaire commence par une offrande. le couple avant meme de faire un enfant décident en commun accords que prochain sera offert a Dieu pour faire juge. Dieu soit il agré comme il l’avait pour Marie soit il repousse l’offre sans le refuser pour une autre occasion. car le metier d’un juge est un metier de ceux qui vont affronter la misère en se contenant d’un salaire de Dieu..
    ensuite une fois accepter le jeune a l’age de 6 ans entamme l’apprentissage du coran par coeur c’est une condition car il a jugé et ne doit pas a chaque fois revneir vers le livre et l’ouvrir pour chercher un verset qui correspond a la situation du jugement. a l’a ge de 12 ans il doit entamer l’apprentissage d’un metier le juge doit avoir un Metier et non un Diplome..avec son metier il est independant. David etait feronnier et Jesus etait charpentier si je ne me trompe pas. une fois le metier en poche il va entrer dans la periode de l’apprentissage du fikh selon le rite malékite tout en subissant des entrainements de parachutiste. le jugement de nature est usant de violance tu ne peux appliquer un jugement sans recours de la force des fois la violence. Le juge doit etre fort physiquement et c’est lui qui va appliquer le jugement sur place et non demander a un policier ou un gendarme d’aller faire la difficile tache…
    c’est pourquoi en islame les femmes ne pouvaient pas acceder a ce poste unqiuement a cause de ces exercices physique…

    les europeens non ils palce une femme et envoie a sa place des hommes de la force de l’ordre….meme le juge si il est handicapés physqidue l’essentiel il a obtenu un Diplome c’est a dire fonctioonaire c’est a dire tributaire de sa vie sur celui qui lui vire son salaire.Un juge qui n’est pas un ex parachutiste forts pour allonger un donneur d’ordre n’est pas un juge.
    Nous avons donc une justice du type europeens au fond le jugement se fait dans les cours d’un Roi…je ne sais pas si nous sommes dans une republique islamique ou dans une monarchie judéo-chretienne..
    un mélange des 2? Profitez de cette situation..ou une université ne sais pas distinguer entre les etudes de droits sensé etre indepedantes et les études de sciences politique qui sont sencées etre partisanes…c’est du jamais vue
    dans une meme faculté le politique le future roublards cotoient le future juge

    allez tirez les kallouzes
    allez partya 3laoui

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