Le CEM Ghazi Med à la cité 400 logements, dans le grand quartier de sidi Djillali à atteint son paroxysme de violence, l’insécurité est devenue par malheur maître des lieux. Les élèves dans de pareilles conditions demeurent en danger permanent dans un lieu où, l’on devrait s’attendre à orienter l’élève et lui fournir un climat favorable.
Un élève portant les initiales Z.Y.A, encore mineur âgé de 16 ans, inscrit en 3 année moyenne a frappé violement une fille (G.O, 15 ans), de sa classe avec un coup de tête. La jeune fille a été emmenée chez un médecin qui lui a délivré un certificat médical de 14 jours.
Accompagné de sa mère, les responsables de l’établissement lui auraient suggérer de voir les services de la police pour y déposer une plainte. L’élève fut arrêté pour être présenté devant le parquet pour trancher dans son acte.
Un autre élève (NM 15 ans) étudie en 2 éme année moyenne dans le même établissement a frappé une élève à la bouche avec un bâton pour des raisons inconnues jusqu’à l’instant, sauf que c’est lui qui avait déposé plainte auprès de la police pour se constituer victime.
Le médecin, après consultation a délivré à la fille un certificat médical de 4 jours.
Les deux élèves ont été arrêtés et seront présentés par devant le procureur qui tranchera dans leur cas.
Djillali T
C’est grave, c’est même très grave!
Le quotidien stressant que le citoyen est entrain de vivre, c’est vrai que plus personne ne compte sur les responsables politiques pour l’améliorer. Seulement l’école, elle, était restée toujours notre grand espoir. On se disait: patientons un peu aujourd’hui et restons quand même optimistes du moment que c’est l’école qui tient entre les mains les hommes de demain! Mais voilà que cette école se montre tout à fait incapable d’assurer l’une de ses tâches essentielles: la discipline des élèves.
Vraisemblablement, le problème vient du fait que les responsables des établissements scolaires ont consenti à marcher sur les pas de la famille qui, elle, a failli à son rôle principal, c’est-à-dire éducatif. Ecole et famille n’ont pas su entretenir entre elles une communication bénéfique pour la scolarité des enfants. Aucune n’étant disposée à écouter l’autre, elles se sont contentées de se renvoyer la balle. Et, comme le montre clairement l’article de Mr Djillali T, ce renoncement de part et d’autre est entrain de nous mener droit dans le mur.
Va-t-on devoir un jour installer un commissariat dans chaque établissement scolaire? Nous deviendrions alors la risée du monde entier…
Merci Djillali et bonne fin de soirée à tout le monde!
Le constat est là , alors posons-nous la question: pourquoi toute cette violence dans nos écoles….??? Or, il y a quelques années seulement, elle n’existait pas…!!!! Je ne dirai pas plus, car celui qui ne connaît pas les causes, est un voyant-aveugle et un entendant-sourd…!!! Et, svp, pas trop de Phelphassa qui nous a conduit à la CATA…!!!
Les remèdes sont connus sauf pour les adeptes de ‘Maâza wa law Taret’…!!!
Merci Mr Djillali T
Bonne soirée
السلام عليكم
Ces enfants ont besoin d’écoute, mais aussi de limites, de fermeté. On ne construit pas une maison sur du sable, elle a besoin de fondations, de murs. L’enfant aussi a besoin de limites, d’interdits, pour pouvoir se reposer sur ses murs. Ce n’est pas toujours drole, mais il faut parfois punir son enfant, lui donner des regles pour qu’il puisse accepter et etre accepté par la société d’aujourd’hui
LES SOLUTIONS ENVISAGEABLES
Ces mesures bien que dures, peuvent donner de bons résultats car les parents dans ce cas vont être obligés de s’intéresser à leurs enfants pour leurs protéger et pour se protéger. L’attention sera double.
Il ne sera pas sans utilité aussi de mettre en clair un guide pratique qui réglemente le traitement des cas de violence dans les établissements scolaires